Réflexions sur l'actualité et la
politique Française.
Avec quelques exceptions sur le reste du monde.
Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
Le Docteur Gérard Delépine répond aux questions d'Alain Escada pour
l'émission
Une Heure de Vérités. Mensonges et manipulations concernant
le Covid 19, inexistence d'une seconde vague, tyrannie sous prétexte
sanitaire, dangers du masque, dangers du vaccin annoncé, corruption
organisée par Big Pharma, nécessité de résister au plan de Bill
Gates,...
Fini
l’été, c’est la rentrée ! Demain mardi, le mois de septembre arrive et
avec lui la rentrée des classes.
Un nouveau cru largement marqué par
l’épidémie de Covid-19 et ses conséquences.
Entre les écoles et les
entreprises, l’année démarre avant tout… masquée !
Sur le plan
international, la Turquie d’Erdogan poursuit ses provocations.
Après une
nouvelle série d’attaques contre la Grèce et la France, le dirigeant
turc semble avoir décidé de resserrer ses troupes au détriment des
Européens…
Et puis nous partirons en Allemagne où une censure
inédite a été lancée contre certains cadres du parti nationaliste l’AFD.
Une opération censée affaiblir le mouvement à un an des prochaines
élections fédérales.
Bordeaux, petite ville de province tranquille, est-ce terminé ? Depuis
le déconfinement, on compte beaucoup d'agressions, jusqu'à une attaque
au couteau par jour entre fin juin et fin juillet, exactement 31
agressions par arme blanche entre le 22 juin et le 27 juillet selon la
préfecture.
Les chiffres ne sont pas encore arrêtés mais la mairie compte déjà plus d'une dizaine d'agressions par arme blanche en août.
Une réelle problématique pour une municipalité qui vient juste de
s'installer.
L'adjoint au maire en charge de la sécurité n'a pas pris de
vacances.
Chaque jour, il remplit un tableau avec le nombre d'agressions.
Une quarantaine donc, depuis le début de l'été.
Pour Amine Smihi, il y a
deux raisons à cette recrudescence de la violence, avec en premier
lieu, la drogue : "On a affaire à une recomposition de territoire
qui entraîne des guerres de groupes autour du contrôle de la place du
trafic de stupéfiants."
Des enfants pris en charge par des trafiquants d'humains
Ensuite ce sont les problématiques liées aux mineurs non accompagnés, les MNA : "Des enfants, explique le maire adjoint, qui
sont pris en charge par des trafiquants d'humains qui profitent de leur
situation de faiblesse et qui pour survivre s’adonnent à des larcins
qui, parfois, dépassent l’enjeu de l'acte lui-même."
Les MNA représentent à eux seuls 44% des actes de violences au premier trimestre selon la préfecture.
La SAINE COLÈRE du Docteur Jean-Louis BELLATON,
né le 5 octobre 1943, 454 chemin des Vignerons, 69 830 SAINT-GEORGES de RENEINS.
J’ai 76 ans passés et j’en ai vu des épidémies de GRIPPE dès 1969-1970,
qui tuaient 30 à 40 000 personnes sans qu’on AFFOLE une population
INFANTILISÉE par l’idée de la MORT et -surtout- par MÉDIAS et hommes
POLITIQUES qui surfent sur la vague.
J’ai de nombreuses années
assumé un cabinet de 40 à 5O malades par jours et nuits et dimanches en
dépit de 3 associés que j’avais accueillis à mes côtés.
Encore
inscrit au Conseil de l’Ordre, je viens de soigner une dizaine de
personnes atteintes du COVID 19 et j’y suis passé moi-même sans encombre
en n’hésitant pas à prendre NIVAQUINE + ANTIBIOTHÉRAPIE.
Oui, on n’est pas certain de l’efficacité de ce traitement… mais alors,
que proposer à nos patients ? Pour mes amis et parents, comme pour moi,
je n’ai pas hésité.
TOXICITÉ de l’HYDROCHLOROQUINE
?
J’en ai prescrit comme tous les autres médecins pendant 50 ans (sans
qu’on m’emmerde) contre le PALUDISME et dans certaines affections
rhumatismales sans le moindre incident alors que j’ai dû hospitaliser
des cirrhoses au PARACÉTAMOL chez des non alcooliques, sans parler des
hémorragies digestives sous ASPIRINE…
Le CONFINEMENT : certes pour
les personnes fragilisées et afin de ne pas engorger les services de
réanimation qui n’existaient pas dans les années 70.
Mais on le
prouvera quand nous serons en possession de TESTS sérologiques FIABLES :
quoi qu’on fasse, les 3/4 de la population auront contracté le COVID 19
en ne présentant qu’une simple «GRIPPETTE» ou une forte GRIPPE.
L’histoire
se déroule dans une petite ville du Sud.
Une bastide jadis flamboyante
fondée par Alphonse de Poitiers, une petite Venise traversée par
l’Aveyron, dont les ruelles aux façades ciselées ceignent comme un
étroit écrin la collégiale tendue vers le Ciel.
Aujourd’hui, on croirait
parfois une petite vieille en EHPAD, recroquevillée sur elle-même,
ruminant son passé, quand elle était pimpante et joliette, courtisée et
entourée – des portraits sur les murs témoignent, d’ailleurs, de sa
beauté passée.
Mais à présent, elle est désorientée, fatiguée,
découragée, parfois revêche.
Car elle a peur, peur et peur.
Peur de
mourir, au point qu’elle finit par mourir de peur.
Dans sa gare, les trains ne passent presque plus.
Peut-être un jour
seront-ils tout à fait supprimés. Il faut dire qu’il y a peu de
voyageurs.
Peut-être parce que ceux qui s’essaient à prendre un billet
se cassent souvent le nez : TER retardé ou annulé, correspondance ratée…
qui est la poule, qui est l’œuf ?
Chaque année, on compte les nouvelles vitrines vides, les commerçants
qui ont déclaré forfait, les artisans ayant pris leur retraite ou jeté
l’éponge.
Un grand panneau rouge « À vendre », « À louer » ou « À
céder » barre la porte en travers, comme les scellés de la scène du
crime, et l’on aperçoit par la vitre sale les reliques de feu la
dernière activité : des rayonnages, un escabeau, un poster publicitaire.
Parfois, dans une sorte de thanatopraxie urbaine, de grandes
photographies riantes – des paysans à béret y moissonnent gaiement sous
le ciel bleu, des villageoises en tenue traditionnelle dansent la
bourrée avec entrain – sont placardées sur les vitres.
Naïvement, on était nombreux à penser, depuis Charlie Hebdo,
que les locaux de la presse seraient sanctuarisés et que l’intrusion
illégale devrait être condamnée par tous.
Mais que nenni ! Apparemment
ce qui est illégal n’est réservé qu’au système et à ses ouailles ; pour
les autres, débrouillez-vous, il ne fallait pas penser différemment des
bien-pensants.
Samedi 29 août, en réaction à un article qu’ils n’ont pas apprécié,
des membres du groupuscule extrémiste raciste, la Ligue de défense noire
africaine, se sont introduits dans les locaux du magazine Valeurs actuelles
en toute illégalité.
Cette intrusion, largement relayée sur les réseaux
sociaux, n’a bizarrement pas été dénoncée par la classe politique, elle
qui, d’habitude, éructe à gorge déployée pour rappeler la liberté de la
presse.
Ont-ils déjà oublié que la dernière intrusion dans les locaux d’un journal (Charlie Hebdo) a fait des morts ?
La liberté d’expression serait-elle réservée à BFM TV, Franceinfo, Le Monde, Libé, L’Obs et tous ces médias qui entretiennent la doxa de la pensée unique ?
Qu’on soit d’accord ou pas avec la publication de Valeurs actuelles qui fait débat, ces dernières heures, il est effarant de n’avoir entendu personne dénoncer cette intrusion de LDNA.
Les Allemands se sont dressés contre Bill Gates, exigeant que
l’humanité se réveille et rejette le soi-disant « dictateur mondial de
la santé », ainsi que les Big Pharma corrompus et l’élite qui conduisent
le monde vers le « totalitarisme mondial » et l' »esclavage ».
Robert F. Kennedy Jr. s’est adressé à une foule considérable à Berlin
samedi, alors que des dizaines de milliers d’Allemands ont uni leurs
forces pour protester contre ce que Kennedy Jr. a appelé le « programme
de biosécurité de Bill Gates, la montée de l’État de surveillance
autoritaire et le coup d’État parrainé par Big Pharma contre la
démocratie libérale ».
« La pandémie est une crise de convenance pour l’élite qui dicte ces
politiques », a déclaré Kennedy Jr, qui a fait l’éloge de l’immense
foule berlinoise pour être en première ligne de la lutte contre le
totalitarisme mondial.
« Il y a cinquante ans, mon oncle John F. Kennedy est venu dans cette
ville. Il est venu sur cette terre, parce que Berlin était en première
ligne contre le totalitarisme mondial. Et aujourd’hui encore, Berlin est
en première ligne contre le totalitarisme mondial », a déclaré Kennedy
Jr. sous les acclamations de la foule.
Lors de son discours d’ouverture, Kennedy Jr. a déclaré que les
grands médias américains corrompus disent aux gens qu’il est venu à
Berlin « pour parler à environ cinq mille nazis ».
« Mais je contemple cette foule et je vois le contraire du nazisme. Je
vois des gens de la démocratie. Des gens qui veulent un gouvernement
ouvert. Des gens qui veulent des dirigeants qui ne vont pas leur mentir.
Des gens qui veulent des dirigeants qui ne vont pas inventer des règles
et des règlements arbitraires pour orchestrer l’obéissance de la
population. »
👉🏼Après avoir pénétré illégalement dans les locaux de @Valeurs , le porte parole de la LDNA lance :
«À ceux qui pensent que la France est à eux on vous dit que dorénavant on occupe le terrain, De Gaulle, tout ça c’est fini, maintenant c’est la France de la LDNA!» @AlexLeroy90pic.twitter.com/Bzmw5pH9LR
Quelle insolite et même « surréaliste » polémique pour un simple pastiche !
A travers la personne de Danielle Obono,
porte-parole de la France Insoumise, l’hebdomadaire « Valeurs Actuelles
» a en effet mis en évidence sous une forme se voulant humoristique, le
rôle de certains peuples Africains dans la vente des esclaves noirs aux
négriers européens.
Présentée comme une victime de cette traite, Madame
Obono a, parait-il, été ulcérée de ce qui pourrait s’apparenter à une «
réponse du berger à la bergère ».
Au mois de juin 2020, devant le
Parlement européen, n’est-ce pas le groupe LFI qui a en effet déposé un
amendement visant à ne reconnaître comme « crime contre l’humanité » que
la Traite européenne, la seule traite européenne, et non « la traite
des esclaves » en général, comme cela était prévu dans le texte initial ?
Cette polémique illustre en réalité le
niveau d’abêtissement et, plus grave encore, de dhimitude intellectuelle
du monde politique français.
Trémolos dans la voix, la main sur le
cœur, Rassemblement national compris, tous les partis politiques ont en
effet réagi par réflexe pavlovien et dans l’ignorance » bétonnée de la
question.
Le professeur Eric Caumes était l’invité de Jean-Jacques bourdin sur BFMtv et le moins qu’on puisse dire c’st qu’ils ricanaient de de leurs arguments tellement ils étaient peu crédibles.
C’était vraiment trop visible qu’ils se rendaient compte à tel point leurs histoires ne tenaient plus debout.
Eric Caumes fut même obilgé d’admettre la stupidité de la situation.
Partagez un max, cette interview est vraiment la preuve qu’ils se fichent de nous.
Andrew Kaufman (médecin américain dont je suis presque toutes les vidéos à propos de la fausse pandémie) est interviewé par David Icke sur le protocole des tests PCR
Ces tests sont controversés et ne cherchent qu'à apporter de l'eau aux autorités sanitaires mondiales dans leur plandémie pour plusieurs raisons !:
- Selon leur inventeur (Kary Mullis), ils ne sont pas prévus pour détecter une maladie infectieuse.
- Ils peuvent donner des résultats différents selon le nombre de cycles d'amplification, plus on amplifie, plus on a de tests positifs)
- Et, ce qu'on voit dans la vidéo de Serebra Sana, celui de l'Institut Pasteur exploite une séquence du chromosome 8 que tout être humain possède.
La vidéo originale sur YouTube a été supprimée par Google, mais certains l'ont enregistrée et l'ont postée sur BitChute (plate-forme alternative qui permet de contourner la censure).
Si vous voulez voir la vidéo, vous devez vous inscrire sur BitChute.
Jean-Paul PELRASAgriculteur et rédacteur en chef de L'Agri
Publié le 28 août 2020
Le
panache, voilà probablement ce qui fait le plus défaut en ces temps
incertains où la France a perdu comme le déclamait Edmond Rostand « la
pudeur de l’héroïsme ».
La semaine passée je posais cette question : «
Que sommes nous devenus ? »
Voilà qu’il faut aller plus loin en se
demandant, bien entendu, ce que nous allons devenir.
Car, de jour en
jour, la situation se dégrade avec, d’un coté, ceux qui bénéficient
d’une impunité tout autant acquise qu’irréversible allant des
passe-droits politiciens aux « incivilités » en tous genres.
Et, de
l’autre, ceux qui abdiquent, démissionnent, se taisent, abandonnent,
car, contraints et désabusés, ils ont perdu le goût de l’insolence et ne
cherchent même plus à regagner la victoire de l’esprit, l’élégance de
la dignité.
Oui, que va devenir cette France ?
Celle où nous allions fêter la
liberté sous les lampions du quatorze juillet en regardant tourner un
monde fascinant et fasciné sur une piste de danse désormais désertée.
Cette France qui avait des opinions et le courage de les exprimer en
bravant la censure, en ignorant les compromis, en dénonçant la
soumission.
Cette France qui n’a plus fière allure et préfère désormais à
l’audace l’interdiction, au baroud l’absolution.
Voici donc ce peuple appelé à plus de résilience qui est en train de
se résigner un téléphone portable à la main, un masque vissé sur le
visage, des distances à respecter, la peur de l’autre en étendard, des
journalistes obéissant aux consignes du cardinal de service, des
entreprises ruinées, partout le déni de justice, la fin des contre
pouvoirs, des enfants qui doivent apprendre à se méfier, des adultes qui
ne savent plus à quel saint se vouer.
Et des « saints » qui promettent
ce qu’ils ne pourront jamais exhausser.
En 2004, Christian de Moliner publiait un thriller : Trois semaines en avril… Il vient d’en publier une version actualisée. Alexandre del Valle a bien voulu interroger l’auteur.
Votre thriller est terriblement pessimiste. Pour vous, suite au Covid-19, la France connaîtra une crise économique cataclysmique qui pourrait générer huit millions de chômeurs et induire des émeutes, voire la guerre civile.
L’impact économique du Covid-19 est inconnu à ce jour, mais il sera
lourd.
Je pense que les risques d’une déflagration ethnique et
religieuse sont élevés, indépendamment de la récession qui menace.
Il
suffirait d’une étincelle pour allumer le brasier.
Souvenez-vous des
émeutes de 2005 : les forces de l’ordre ont peiné pour reprendre le
contrôle du pays et il avait fallu décréter l’état d’urgence.
Depuis, la situation s’est encore dégradée.
En 2020, les policiers
n’osent plus effectuer d’interpellations dans une centaine de zones.
Les
invraisemblables affrontements des Grésilles, à Dijon,
démontrent l’étendue de la sécession.
Le gouvernement envisage des
mesures en partie sécuritaires pour la contrer.
On ne connaît pas ce
dispositif, mais il risque d’être insuffisant car nous avons dépassé le
stade de la simple police ; tôt ou tard, il faudra déployer des unités
militarisées (gendarmes dans un premier temps, armée dans un deuxième).
Bientôt, comme dans mon thriller, la loi martiale pourrait être mise en
place sur des portions du territoire, dans une France en proie à une
insurrection permanente intriquant délinquance et activisme religieux, à
l’instar de ce qu’a connu l’Irlande du Nord entre 1970 et 1998.
Depuis
plusieurs mois, avec l’état d’ensauvagement dans lequel s’installe la
France, nous sommes plusieurs à nous demander où est passée la gauche,
où sont passés ces moralisateurs pourtant si prompts, d’habitude, à
sauter sur tout ce qui bouge dans l’actualité, l’essentiel étant de
faire le buzz…
Jamais la France ne semble avoir connu, dans une période aussi
courte, un tel nombre d’actes violents et de crimes en temps de paix.
On
a l’impression que le déconfinement a libéré chez certains une violence
puissance triple.
Pour un regard, pour un mot de trop, on peut perdre
la vie.
Le pire, c’est qu’on bat tous les jours de nouveaux records
d’horreurs inimaginables et la similitude des actes violents pousse à
l’accoutumance.
Pour dénoncer cette exponentialité de la barbarie, seuls les courants
de pensée politique défendant l’ordre et l’autorité font entendre leur
voix, ce qui, somme toute, est logique.
Mais tout de même, comment un
être humain normalement constitué, fût-il de la gauche la plus sectaire,
peut-il rester impassible face au scénario de mise à mort d’Axelle
Dorier, de Mélanie Lemée, de Philippe Monguillot et de toutes les autres
victimes de la violence post-confinement ?
Récemment encore,
l’agression d’un conducteur de bus de la RATP, à Dugny, a été
étrangement ignorée par les leaders de la gauche, toutes les gauches.
Vous
êtes-vous déjà demandé ce qui se cache réellement derrière la crise
actuelle du coronavirus ?
Et en avez-vous également vérifié les
corrélations ?
Dans un double numéro du Kent Depesche sur le sujet
"Coronavirus : c'est vrai ou ça pue ?", le lanceur d’alerte Michael Kent
analyse la situation actuelle avec une précision extrême
Selon
la déclaration officielle du gouvernement allemand, la pandémie de
coronavirus ne prendra pas fin tant qu'un vaccin ne sera pas disponible
pour la population.
Cependant, de nombreux experts de haut niveau mettent en garde contre le
grand danger que représentent les nouveaux vaccins, car ils interfèrent
directement avec l'ADN humain et doivent être développés à la hâte.
Bill Gates s'attend à 700 000 cas de dommages dus à la vaccination ! Cependant, les médias de masse dissimulent largement ces dangers. C'est
pourquoi ce réveil urgent n'est pas seulement un réveil, mais un appel à
la diffusion de ces informations vitales !
Au début du mois de juillet 2020, la Société du Canal de Provence a choisi des canalisations d’eau en acier turc d'un importateur plutôt que celles en fonte française qui sont produites par une entreprise en difficulté financière.
Et ce n’est pas la première fois.
La
Société du canal de Provence (SCP) fournit l'eau à plus de 2 millions
d'habitants de deux départements dont 40 % de la consommation de la
ville de Marseille.
Au début du mois de juillet 2020, cette société a
choisi des canalisations d’eau en acier turc plutôt que celles en fonte
française de Saint-Gobain Pont-à-Mousson, un fleuron industriel
français qui emploie 2000 personnes et qui se trouve actuellement en
plein redressement.
Ce marché public perçoit, en plus, des subventions
régionales et européennes.
Pour justifier ce choix incompréhensible,
Bruno Grawitz le responsable ingénierie du Canal de Provence s’est
défendu dans les Echos : « Plus on achète cher, plus les contribuables
paient d'impôts ».
Le patriotisme économique coûterait-il donc cher ?
🔴Vaccination covid en Ukraine (Karkhiv)par des virologues américains. 5 morts, 4 soldats et un civil.15 candidats ont été sélectionnés pour tester le médicament et le vaccin , dont 10 combattants de l'APU atteints du coronavirus (porte parole de la LNR)🔴https://t.co/0hDJ9WnUei
Faudra-t-il tirer à vue sur la racaille ?
(écrit un commentateur sur le site Riposte Laïque).
C’est ce que ne se
prive pas de faire la police brésilienne avec ses commandos, formés
spécialement pour juguler l’extrême violence dans des favelas
criminogènes.
En employant les mêmes méthodes expéditives que les
voyous.
Bien sur, la France n’est pas le Brésil,
et pour le camp du bien nous reviendrons aux heures les plus sombres de
l’histoire.
Tellement nous sommes, comme liés et enlacés depuis
longtemps par des barrières juridiques qui sont autant de freins pour
que la société ne se défende pas contre des agresseurs de l’intérieur.
Et puis, il y cette idéologie gauchisante
qui a complètement submergé la magistrature, l’Etat, la politique (dite
de droite), la haute fonction publique, les médias et même la
hiérarchie policière.
Les franc-macs en avaleraient leur
dentier, les cathos du Pape François feraient sonner le tocsin et les
bobos-écolos allumeraient partout des bougies avec des fleurs.
Le Qatar refuserait toute aide financière
à la France et certaines personnes ne trouveraient pas de mots assez
durs pour dénoncer des méthodes inhumaines que la morale républicaine
réprouve etc…
Et pourtant, que disait Luc Ferry, quand il parlait de tirer à balles réelles sur les Gilets jaunes ?
Est il possible d’abandonner le pays à la racaille ?
On apprend que le 1/3 des vermines
d’importation interpellés au dimanche soir du PSG étaient des mineurs
isolés.
Et comme chaque fois, les forces de « l’ordre » avaient ordre de
ne pas intervenir devant les pillages de magasins, les vitrines
brisées, les voitures cabossées, retournées ou incendiées etc…
Isa Shana est une charmante jeune femme de couleur qui n’entend pas un seul instant suivre le troupeau de la bien-pensance ni céder aux mots d’ordre nous vantant les mérites du vivre ensemble.
Sur son compte Twitter, elle écrit bien souvent des propos de bon sens que bien des Français de souche n’osent plus prononcer.
Récemment, elle illustrait le grand remplacement avec une coupure de presse concernant l’état civil à Nice.
Or, Laurent Alexandre, membre du club Le Siècle et proche d’Attali, répond sur Twitter, en considérant que c’est la France du futur.
La drogue hallucinogène du vivre-ensemble ne fait plus effet sur le peuple… mais a de beaux restes chez l’urologue médiatique L. Alexandre.🤦♀️ @pierrejovanovichttps://t.co/iTlNY0u8xX
Rappelons que ce représentant du mouvement transhumaniste en France, chroniqueur dans Le Monde et L’Express, avait déjà tweeté en mars 2019 pour se réjouir que la France sera demain café au lait et majoritairement musulmane.
C’est peu de prétendre que la mort de Jacob Blake,
Afro-Américain, frappé de sept balles dans le dos par des policiers de
Kenosha (Wisconsin), n’en finit plus d’enflammer les rues et les esprits
américains.
Rappelons les faits.
Les forces de l’ordre, qui reçoivent un appel
téléphonique d’une femme s’inquiétant que son petit ami – Jacob Blake,
donc – soit chez elle alors qu’il ne devrait pas s’y trouver,
interviennent aussitôt. L’homme de 29 ans refuse de se laisser
maîtriser, malgré un coup de Taser™, assure posséder un couteau et se
précipite ensuite dans sa voiture.
Il est à moitié allongé sur le siège
du conducteur et les policiers ne voient que son dos.
Sept balles plus
loin, Jacob Blake est à l’hôpital, dans un état plus que grave.
Pour qui connaît un tant soit peu le mode opératoire de la police
américaine, il ne s’agit malheureusement que d’un banal fait divers.
En
effet, faut-il savoir qu’en cas de contrôle, le suspect est tenu là-bas
de toujours montrer ses mains et de ne jamais tourner le dos à
l’uniforme.
Aux USA, une majorité de citoyens est armée et une
arrestation peut toujours tourner au drame pour les policiers ; d’où
cette habitude que ces derniers ont de tirer d’abord au moindre geste
suspect.
Cela, Jacob Blake ne pouvait l’ignorer.
Les
commerces, les transports collectifs, le lieu de culte et le lieu de
travail, les musées, les voies publiques, y compris à vélo (ah non,
finalement, pas à vélo, la préfecture de police, dans sa grande
mansuétude, vient d’exempter les cyclistes et les joggeurs, Madame est
trop bonne, la bonté de Madame la perdra)… pas moyen d’échapper aux
injonctions « covidatoires ».
Sauf à rester chez soi.
Et encore…
Jean Castex,
de son ton patelin, est en train de tourner doucement le loquet de
votre porte et d’ôter ses lunettes pour plaquer son œil sur le trou de
votre serrure.
Pour votre bien et celui de vos anciens, cela va de soi.
Parce que le cercle familial est devenu un lieu à haut risque.
Après
famille je vous hais, famille je vous crains et vous évite.
Il faut ainsi, proclame-t-il, « éviter que papi et mamie aillent chercher leurs petits-enfants à l’école
». Sauf que les grands-parents du primaire ne sont pas des
pensionnaires d’EHPAD poussant leur déambulateur mais de fringants «
seniors » parfois toujours en activité, contemporains des plus âgés des
instituteurs et des nounous grisonnantes qui attendent devant la grille.
Faut-il aussi que tout ce petit monde-là, pour sa sécurité, arrête tout
de suite de travailler ?
Sauf que l’on ne peut pas demander aux parents de reprendre leur
activité et leur interdire (au moins moralement, en les culpabilisant)
de confier en toute tranquillité leur progéniture.
Sauf que recruter à tout berzingue du personnel périscolaire et
racler pour cela sans être regardant les fonds de tiroir de Pôle emploi
est passablement léger, pour ne pas dire très dangereux pour les petits
écoliers.
Sauf que c’est à des adultes qu’il s’adresse, et que bêtifier comme
si c’était eux qui rentraient en maternelle – le bisou au tonton et à la
tata, il n’en a pas parlé, mais c’est également prohibé, sinon panpan
cucul – commence à devenir pénible.
Plusieurs médecins craignent que des mesures trop restrictives n’entraînent un rejet de la part de la population, et appellent les autorités à fonder leurs décisions sur des bases scientifiques.
Masque
obligatoire dans les rues de Paris et de la petite couronne, de Nice,
Marseille, ou encore de Strasbourg et Montpellier, masque obligatoire à
vélo et à trottinette à Lille, fermeture des bars et restaurants à
Marseille dès 23 heures...
Les
autorités renforcent depuis plusieurs jours les mesures pour faire face
à la remontée des cas de Covid-19.
Des décisions qui ne font pas
toujours l’unanimité, et qui pourraient même s’avérer
contre-productives, s’alarment plusieurs médecins.
L imposition systématique du masque en extérieur est une mesure politique contre productive et vexatoire qui n a aucun sens sur un plan scientifique.
“Le
virus va nous accompagner durant des mois, il faut laisser des soupapes
aux gens, sinon il va y avoir un ras-le-bol général”, plaide le docteur
Jérôme Marty, qui craint un rejet massif des mesures sanitaires.
”Les
décisions prises n’ont plus rien de rationnel, elles deviennent
politiques.
Dans notre édition de fin de semaine nous reviendrons sur la gestion incompréhensible de la crise sanitaire par les pouvoirs publics.
De quoi faire la part belle aux accusations de “complotiste” du pouvoir pour éviter d’avoir à répondre de ses actes.
Nous ferons ensuite un détour par la Maison Blanche à Washington où le président américain Donald Trump a lancé sa campagne pour briguer un second mandat en novembre prochain. Une démonstration de force à deux pas des manifestations Black Lives Matter perçues par les démocrates comme un sacré pied de nez.
Et enfin nous retournerons en France pour évoquer le départ du Tour de France. Une Grande boucle 2020 qui semble déjà gâchée avant même son coup d’envoi par des contraintes sanitaires particulièrement rigoureuses auxquelles peu de compétitions sportives se soumettent, à commencer par le Football.
L'utilisation prolongée du masque produit de l'hypoxie... Kesako ?
L'hypoxie cérébrale concerne un faible approvisionnement en oxygène au cerveau...
Il y a quatre catégories d'hypoxie cérébrale différentes ; en ordre de sévérité sont : hypoxie cérébrale diffuse, ischémie cérébrale focale, infarctus cérébrale et ischémie cérébrale mondiale...
Respirer encore et encore l'air exhalé devient du dioxyde de carbone, c'est pourquoi nous sentons étourdissements...
Cela intoxique l'utilisateur et bien plus encore lorsqu'il doit être mobilisé, réaliser des actions de déplacement.
Ça provoque le malaise, la perte de réflexes et de pensée consciente.
Ça génère une grande fatigue...
En outre, le manque d'oxygène produit une décomposition du glucose et la montée dangereuse de l'acide lactique.
“J’ai encore vérifié les chiffres, il n’y a pas de hausse d’hospitalisations../…Arrêtons une fois de plus d’entretenir cette peur!” https://t.co/N04emOCDcf
"Je suis un médecin très simple, j'aime les enfants et j'ai à cœur qu'ils restent libres. Or, avec ce qui est en train de se profiler, on passe à la vitesse supérieure et on ne sait pas ce qui nous attend à la rentrée."
Le Dr. Eve Engerer, médecin généraliste Alsacienne, est interviewée par BFMTV.
Après une visite de son cabinet, elle s'exprime devant les journalistes sur la crise et fustige le gouvernement Macron.
Elle dénonce notamment la corruption de Big Pharma, l'imposition des mesures liberticides, la loi bioéthique, et la complaisance de l'État avec les réseaux pédocriminels en France.
"Le masque n'est pas le problème, monsieur le journaliste. Le masque, c'est pour embrouiller les Français, pour leur faire peur et les pénaliser avec des amendes."
"Big Pharma, c'est juste des intérêts financiers autour du médicament. C'est une élite qui s'enrichit sur la santé de Français."
"Nous médecins, avons été privés du droit de prescrire ! Ceux qui ont osé traiter ont été repris par le conseil de l'ordre, ils ont été convoqués."
"Aux États-Unis, Trump a dénoncé les magouilles de l'OMS, et il s'en est désolidarisé. En France, ce n'est pas le cas : Macron obéit à Bill Gates. Et moi, je dépends du conseil de l'ordre des médecins qui obéit à l'OMS."
"Ce qui est scandaleux, c'est qu'on ait envoyé des brigades traiter les personnes âgées avec du Rivotril, ou que des lois soient votées en catimini, en pleine nuit, pour favoriser le trafic d'embryons. C'est ça, le véritable scandale : STOP à ce gouvernement de dictature ! STOP à ce gouvernement qui appauvrit la France."
"Pour la rentrée, je peux vous dire que je vais me transformer en lionne, comme toutes les mamans. Le gouvernement a intérêt à faire marche arrière et à arrêter ces mesures liberticides, qui vont formater de tous petits enfants."
"Laissez tomber ce virus qui est terminé. Intéressez-vous aux réseaux pédocriminels en France, et aux ministres pédophiles." ℹ
Il existe une rumeur selon laquelle le Dr. Engerer aurait été radiée : c'est faux.
Elle est toujours active en Alsace et reçoit des patients en consultation.
Elle reste néanmoins dans le viseur du conseil de l'ordre car elle défend une pratique holistique de la médecine, une approche pertinente et efficace, mais peu rentable pour les laboratoires.
Témoignage éloquent sur un groupe dont je fais partie
Tosca Line
Bonsoir, ce matin je suis allée chez mon médecin traitant.
En entrant
dans la salle d'attente, il y avait deux personnes avec un masque, par
respect, j'ai mis un masque! ensuite, étant seule dans la salle
d'attente, j'ai ôté mon masque! le médecin vient me chercher, j'avais le
masque au poignet, il me dit : charmant sac à main que vous avez là , je lui dis : j'étais seule dans la salle d'attente, je me suis permise de l'enlever, mais je vais le remettre.
Et là, il me dit : sûrement pas,
je ne veux pas de masque dans mon cabinet, dans la salle d'attente je
n'oblige à rien, je laisse les gens faire comme ils veulent, mais je ne
veux pas voir mes patients avec cette cochonnerie sur le visage!
humm...ok! et il me dit : Très tôt ce matin, j'ai rencontré le préfet
parce que je faisais une garde à vue pour un jeune, à qui j'ai
d'ailleurs dit d'enlever son masque.
En voyant le préfet, je lui dis,
c'est quoi cette connerie d'avoir imposer le masque dans toute la ville,
toutes les rues et on me fait déplacer pour une garde à vue, pour un
môme qui n'avait pas mis de masque? le préfet lui répond : j'ai mis le
masque obligatoire dans toutes les rues, car je ne supportais plus la
pression, je voulais la paix, vous n'imaginez pas à quel point le
gouvernement nous met la pression tous les jours et nous menace, j'en
peux plus! mon medecin me dit, vous vous rendez compte, il n'y a pas de
malade dans les hôpitaux, il n'y a plus rien, ce n'est qu'une histoire
de vaccin et de gros sous.
Mettez-vous un masque quand il y a la grippe?
avez-vous déjà été confiné? non, parce que nous avons un système
immunitaire et chaque année, vous côtoyez des gens qui ont la grippe, la
gastro...soit vous choppez, soit non suivant vos défenses.
Mais ils la
veulent leur deuxième vague, ils vont l'avoir car ils empêchent les gens
de s'immuniser, mais en plus, quand çà va aller mal, on va pas avoir
que des cas COVID, on va avoir des gens avec de gros problèmes
pulmonaires (je pense aux ouvriers, aux enfants, étudiants..., qui vont
porter le masque toute la journée) c'est dramatique.
‼ Voici le clip de propagande publié par Erdogan lui-même...
Qui peut nier les visées néo-ottomanes et belliqueuses de la #Turquie ? Quand les dirigeants européens vont-ils enfin sortir de leur naïveté ? pic.twitter.com/76J8EFtuUE
Un véritable acte d’horreur s’est produit en Suède samedi dernier : deux jeunes hommes âgés de 18 et 21 ans ont violé et maltraité deux jeunes mineurs dans un cimetière de la ville de Solna pendant plusieurs heures, les pillant également.
Ils ont ensuite enterré les deux garçons vivants et les ont laissés à leur sort.
Ils n’ont été sauvés que parce qu’un marcheur est passé et a appelé la police.
L’âge des victimes n’est pas encore connu.
Les deux suspects, actuellement en garde à vue, seraient un Iranien et un Arabe.
À l’origine, ils voulaient vendre de la drogue aux deux mineurs
rencontrés dans le centre-ville peu après 23 heures. Lorsque les jeunes
ont refusé, leur calvaire a commencé, et aurait durer plus de dix
heures.
La cité d’Anne de Bretagne accueille sur la place Royale une délicate œuvre d’art nommée La femme qui pisse.
On avait déjà eu le plug anal en 2014, un sex toy gonflable de 24 mètres de haut
érigé sur l’une des plus belles places de l’une des plus belles villes
du monde, place Vendôme à Paris.
Puis, un an plus tard, on a installé
une sorte d’entonnoir en fer, long de 60 mètres et haut de 8,
délicatement nommé Le vagin de la Reine, dans l’un des plus beaux
jardins de l’un des plus beaux châteaux du monde, le château de
Versailles.
Le nom de l’engin rappelle cette bluette théâtrale, toute de
finesse et de tact, intitulée Les monologues du vagin que
trois femmes politiques, ministres actuelles ou ex-ministres, s’étaient
plu à lire, il y a deux ans, sur la scène de Bobino. Vulgarité…
Aujourd’hui, c’est Nantes
qui se met en branle pour le trophée d’or du bon goût artistique
urbain.
La cité d’Anne de Bretagne, épouse de deux rois de France,
accueille sur l’une de ses plus belles places, la place Royale, une
délicate œuvre d’art nomméeLa femme qui pisse.
Pas comme celle de Rembrandt, en position naturelle, non !
Ici, ce
n’est qu’un sexe féminin de 3 mètres de haut qui projette un jet d’eau à
l’horizontale, comme papa ! « Wouah ! » s’exclament les uns. « Beurk !
», répondent les autres.
France Info, ce soir, le journaliste annonce doctement dans son micro qu’il est « difficile
pour la droite d’exister en cette période de crise sanitaire, alors
elle axe son discours sur le thème de la sécurité ».
L’insécurité
en France ne serait qu’un sentiment ?
Qu’un argument de la droite pour
faire parler d’elle ?
C’est ce qu’il semble convenu de penser et de dire
dans les médias mainstream ou dans les beaux quartiers dans lesquels il est de bon ton de cacher ces « incivilités » que l’on ne saurait voir.
À l’inverse, d’autres n’ont que faire du langage médiatiquement correct et n’ont pas peur de dénoncer cette occultation des faits ou de « choquer les belles âmes ».
Ainsi Marion Maréchal, interviewée cette semaine par Azur TV, déplorait que l’on « mange du Covid matin, midi et soir » et que l’on ne fasse plus de politique depuis six mois, tout en entretenant une certaine forme d’angoisse. « Dans le même temps où la maladie ne tue plus, on va vers des mesures de plus en plus drastiques. »
Interrogée sur la violence accrue dans notre pays, la directrice de l’ISSEP précise qu’il « suffit
de regarder les chiffres officiels de l’Observatoire national de la
délinquance pour voir qu’il n’y a pas de “sentiment d’insécurité”, il y a
une barbarie qui s’installe en France, une violence gratuite. » Comment en est-on arrivé là, à cette France Orange mécanique ?
L’ancienne députée l’explique par trois phénomènes : l’immigration, la culture de l’excuse et l’effondrement de la chaîne pénale.
Une nouvelle agression d’équidés a eu lieu à Charny-Orée-de-Puisaye (Yonne) dans la nuit de lundi à mardi.
Deux poneys ont été blessés. Le responsable du refuge est parvenu à faire fuir les agresseurs. Les gendarmes ont mis au point et diffusé un portrait-robot, ce jeudi.
Alors
que des équidés sont régulièrement tués ou retrouvés gravement mutilés
depuis plusieurs mois dans toute la France, un témoignage capital vient
étoffer l’enquête en cours.
De tels faits ont été recensés en Vendée,
dans le Jura, la Somme, le Rhône ou encore le Puy-de-Dôme, la Normandie
et le Sud-Ouest de la France.
Cette fois, c’est dans un refuge de
Charny-Orée-de-Puisaye, près d’Auxerre dans l’Yonne, que les agresseurs
ont frappé.
Lundi vers 21h30, l’attention de Nicolas Demajean,
bénévole et président de l’association du « Ranch de l’espoir », a été
attirée par une agitation anormale et les cris de ses cochons et des
chevaux, relate France 3.
En sortant pour voir ce qu’il se passait, il a surpris deux hommes
armés de couteaux.
Ils étaient en train de commettre des actes de
cruauté sur deux poneys.
L’un des deux suspects l’a pris à partie et un échange de coups a eu lieu. « La bagarre a éclaté dans la mini-ferme en bas, et j’ai ma chienne qui a pu poursuivre le deuxième agresseur »
a-t-il témoigné auprès de de la chaîne.
Le duo s’est enfuit à bord d’un
véhicule de type 4×4, abandonnant sur place Nicolas Demajean, blessé au
bras gauche par un coup de serpette, et deux de ses poneys mutilés et
traumatisés.
Le
Covid-19 plonge un peu plus la France dans le délire.
Le Premier
ministre Jean Castex a annoncé ce matin les nouvelles mesures contre
l’épidémie. Maternelle, plages marseillaises, rues de la Capitale, la
généralisation du port du masque est de mise.
C’est désormais le
mot consacré : la France n’est plus en proie à la criminalité mais aux
incivilités. Du meurtre au tabassage en règle, tout y passe.
Retour sur
un glissement sémantique qui trahit l’abandon du régalien.
Et dans
ce cadre, nous partirons à Palavas-les-Flots.
La station balnéaire
héraultaise, prise d’assaut par les vacanciers, a été victime d’une
multiplication des violences, cet été.
Une situation hors de contrôle
contre laquelle les commerçants tentent de se mobiliser.
Dans une vidéo filmée le week-end dernier dans le quartier du Mistral à
Grenoble, on voit des hommes lourdement armés et cagoulés qui encadrent
une table sur laquelle se trouvent des stupéfiants.
La mise en scène est
pensée dans les moindres détails.
Sur le mur derrière eux, on voit un
portrait de Pablo Escobar.
Il s’agit d’une démonstration de force et
d’un message envoyé à leurs concurrents et aux clients.
Les dealers
n’hésitent plus à s’afficher sur les réseaux sociaux, voire même à y
faire la promotion de leurs produits.
Un long format proposé par Olivier
Jouglard, Quentin Baulier et Caroline Mier.
On a parfois l’impression qu’il est devenu plus criminel de nommer certains maux que de les commettre…
Le
mouvement nationaliste et royaliste fondé en 1898 a publié un
communiqué lapidaire, suite aux torrents de boue qui se sont déversés
sur lui et sur Augustin.
« Alors qu’Augustin faisait remarquer à des
jeunes gens qu’ils étaient en train d’importuner des jeunes filles,
l’un au moins de ces jeunes gens a décidé de l’attaquer par derrière en
lui portant un coup à la tête. Puis Augustin a été ramassé, plus tard,
la mâchoire brisée, les dents cassées et les cervicales déplacées », rappelle le mouvement, dans son communiqué.
Une remise au point qui fait écho aux 21 jours d’ITT prescrits au jeune homme.
Mais l’Action française ne s’arrête pas là «
Comme Augustin est blanc, français et de droite, comme ses agresseurs
sont maghrébins (comme les jeunes filles à qui Augustin voulait venir en
aide, sans attendre une hypothétique intervention d’une hypothétique
police de proximité tentant hypothétiquement de faire respecter les
chimériques lois de Marlène Schiappa),
certains mettent en doute le fait qu’Augustin soit à l’hôpital,
d’autres lui dénient le droit d’intervenir, d’autres enfin considèrent
que frapper un militant de droite est en soi une bonne chose. »
Le docteur Patrick Barriot fait le point sur la gestion « calamiteuse » de la crise du Covid-19 par les autorités et sur ses conséquences en France.
La France vit dans l’angoisse d’une seconde vague extrêmement virulente d’après certains. Est-ce le cas, selon vous ?
Le virus émergent SRAS-CoV-2, virus à tropisme respiratoire, a
déclenché une pandémie en se répandant dans des populations naïves au
point de vue immunologique.
Les mesures de confinement associées aux
gestes barrières ont eu pour seul effet de ralentir la diffusion du
virus sur le territoire national et d’offrir un sursis (certainement pas
une victoire), car seule l’immunité collective peut stopper la
diffusion du virus.
En l’absence de vaccin efficace, près de 60 % de la
population doit être infectée pour que cette immunité collective mette
un terme à l’épidémie.
Nous allons donc devoir apprendre à vivre avec ce virus dans l’attente de l’immunité collective.
Le taux de létalité du SRAS-CoV-2 (nombre de décès par rapport au
nombre de personnes infectées) est légèrement supérieur à celui de la
grippe saisonnière (0,1-0,2 %) mais bien inférieur à 1 %, les personnes
les plus à risque de mourir étant âgées de plus de 65 ans et porteuses
de comorbidités. Depuis le début, les autorités de notre pays ont
orchestré la dramatisation de l’épidémie (références à une guerre,
discours churchilliens, décompte quotidien des morts…) et entretenu une
angoisse disproportionnée parmi la population.
Nous sommes dans une
situation de crise sanitaire mal gérée mais certainement pas dans une
situation de guerre ni de catastrophe.
Le virus SRAS-CoV-2 menace bien
plus nos libertés et notre économie que notre santé.
Cette crise sanitaire est-elle abordée sur le plan médical ou est-ce le politique qui a pris la main ?
La santé publique, c’est 80 % de politique et 20 % de médecine.