La Calédonie est à nouveau dans l’oeil du cyclone sur fond de racisme anti blanc.
Ils seraient environ 8 000 individus violents revendiquant une indépendance pure et simple, malgré les élections qui chaque fois ont dit non à l’indépendance.
On compte aujourd’hui 45 000 français arrivés sur l’île depuis 1998 qui n’ont pas le droit de vote. Et LFI qui, en métropole ne veut pas entendre parler de statistiques ethniques, les réclame en Nouvelle Calédonie.
Cette gauche qui depuis plusieurs décennies à toujours mis de l’huile sur le feu au problème calédonien est en partie responsable des troubles actuels. L’influence de certains pays comme la Chine ou maintenant l’Azerbaïdjan est certaine, mais c’est bien parce que la France ne se fait plus respecter à l’extérieur et encore moins à l’intérieur que des prédateurs essaient de prendre sa place ou de la déstabiliser. N’oublions pas que c’est un point géo-stratégique riche en nickel et convoité par l’Australie et maintenant la Chine, par un travail de sape.
En attendant, ces jeunes émeutiers canaques ont des armes de guerre et ne craignent pas de s’en servir. Ne nous y trompons pas, car l’exemple du laxisme en métropole avec la racaille et l’impuissance forcée des forces de l’ordre, avec une justice qui ne punit plus, a trouvé un écho dans ce petit territoire. On cite l’influence négative de Tik Tok, mais ces casseurs de nouvelle génération qui ont mis à sac en partie Nouméa avec près de 200 millions de dégats, sont parfaitement renseignés grâce à la Télé et aux réseaux sociaux des dernières émeutes des quartiers en France. Ils ne font que reproduire ce qu’ils ont vu, en totale adéquation avec les voyous de la diversité. Même combat anti blanc, anti franchouillard sur fond de pillages et d’insultes racistes à l’encontre des caldoches.
Mais n’en déplaise à la grosse Panot et l’affreux Merluche, les kanaks ne vivent plus sous un modèle colonial, même s’il a existé autrefois.