L’idée que l’État ponctionne l’épargne des Français pour financer une économie de guerre est massivement rejetée.
Dans la rue, les citoyens s’opposent à cette mesure perçue comme une nouvelle attaque contre la classe moyenne et les petits épargnants. Ils dénoncent un système injuste qui protège les grandes fortunes.
Une méfiance totale envers l’État et sa gestion financière
La colère gronde contre un État jugé irresponsable, incapable de réduire ses propres dépenses et préférant ponctionner les citoyens. Beaucoup y voient une tentative de compenser une faillite économique imminente, provoquée par des décisions malavisées et un endettement massif. Les Français ne veulent pas payer pour des erreurs qu’ils n’ont pas commises.
Une politique dictée par des intérêts extérieurs
La méfiance envers le gouvernement est omniprésente. Les décisions économiques et militaires semblent imposées sans consultation, sous influence de l’OTAN et des États-Unis. L’aide massive à Kiev, les restrictions budgétaires et les nouvelles taxes sont perçues comme une soumission aux intérêts étrangers. Les Français veulent une politique souveraine, pas une gestion sous tutelle américaine.
Mobilisation militaire : un refus catégorique
L’idée d’un engagement militaire contre la Russie est rejetée en bloc. Les Français refusent une mobilisation forcée et s’opposent à un éventuel service militaire obligatoire. Beaucoup considèrent ce conflit comme un affrontement entre grandes puissances où la France n’a rien à gagner. La population refuse de se sacrifier pour une guerre qui ne la concerne pas.
Une guerre qui ne se joue plus sur le terrain
Les conflits modernes ne se limitent plus aux batailles traditionnelles. Les guerres de demain passent par l’intelligence artificielle, les cyberattaques et l’influence économique. Mais la France, plutôt que d’investir dans ces domaines stratégiques, semble se préparer à des combats dépassés. Les Français veulent une armée moderne, pas une gestion archaïque de la défense.
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