S’ils le pouvaient, les cheveux de Christiane Taubira se dresseraient sur sa tête.
S’ils le pouvaient, les cheveux de Christiane Taubira se dresseraient sur sa tête : voilà que le Sénat la double sur sa gauche en votant des amendements qui aggravent profondément sa loi !
Quand on croit avoir touché le fond de la déraison, on trouve toujours des socialistes pour gratter avec leurs ongles.
Le projet initial permettait déjà de revendre la moitié de nos prisons, mais avec les folles initiatives des papis du Luxembourg, le garde des Sceaux va pouvoir brader tout le lot.
Sans entrer dans le détail des amendements sénatoriaux, disons que, pour faire un jour de la cellule, il faudra désormais quasiment avoir découpé père et mère.
Le sabbat de la haute assemblée fut mené par le sénateur Jean-Pierre Michel, ancien magistrat et cofondateur du Syndicat de la magistrature.
Cette sinistre officine a connu la célébrité l’année dernière avec l’affaire du « mur des cons », sur lequel ses dirigeants affichaient sans vergogne les visages de leurs adversaires politiques ou professionnels.
Comble de l’abjection, ils n’avaient pas hésité à placarder l’image du général Schmitt, père d’Anne-Lorraine, assassinée dans des conditions atroces par un violeur récidiviste.
Depuis l’élection de « Pépère », ce sont plus que jamais ces magistrats voyous qui mènent le jeu dans les coursives du ministère de la Justice.
Il n’est donc pas inutile de revenir sur les schémas mentaux de ces enragés, dont une bonne part furent, dès la création de l’École nationale de la magistrature, les formateurs des juges actuels.
- Louis Joinet, cofondateur du SM, conseiller de plusieurs ministres : « La loi, nous la violons. C’est ce qui permet de la faire avancer. » (Il fit ensuite meilleur usage de ses talents en devenant président du… Centre national des arts du cirque !)
- Dominique Charvet, cofondateur du SM : « Il faut choisir parmi les lois contradictoires celles qui sont au service des travailleurs, des opprimés. Il faut faire un choix entre deux camps. »
Au cours d’une table ronde à l’ENM, il ira jusqu’à prôner une privatisation de la justice apparemment réservée aux bandes ethniques : « Le problème est de savoir si les magistrats et les avocats auront le courage de saborder leur profession, pour faire place à cette justice spontanée qui a surgi dans les favelas du Chili ou dans certains grands ensembles de nos régions. Il y a dans les arrière-salles des cafés de Bobigny ou de Nanterre des juges qui se lèvent pour rendre la justice dans leurs propres milieux : ce devrait être la magistrature de demain. » Darius, le jeune Rom laissé pour mort dans un caddie, appréciera certainement…
- Oswald Baudot au Congrès du SM de 1985 : « Soyez partiaux. Ayez un préjugé favorable pour la femme contre le mari, pour l’enfant contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour l’ouvrier contre le patron, pour le voleur contre la police, pour le plaideur contre la justice » […] « Dans vos fonctions, ne faites pas un cas exagéré de la loi et méprisez généralement les coutumes, les circulaires, les décrets et la jurisprudence. Il vous appartient d’être plus sage que la Cour de cassation, si l’occasion s’en présente. »
- J.-C. Bouvier, secrétaire général du SM : « Lorsque le législateur viole une liberté comme c’est le cas avec la loi Pasqua sur l’immigration, à nous de censurer cette loi. »
- Hubert Dalle, secrétaire général du SM et ancien directeur de l’ENM : « Il faut, en se basant sur une véritable analyse en termes de lutte des classes, trouver sur le terrain judiciaire les modes d’expression de celle-ci, participer à la création de contre-valeurs qui permettent aux juges de rendre des décisions dans un sens socialiste. »
Vous pensiez que les gens de loi se devaient d’observer neutralité et impartialité ?
Avec le Syndicat de la magistrature, vous savez à quoi vous en tenir…
S’ils le pouvaient, les cheveux de Christiane Taubira se dresseraient sur sa tête : voilà que le Sénat la double sur sa gauche en votant des amendements qui aggravent profondément sa loi !
Quand on croit avoir touché le fond de la déraison, on trouve toujours des socialistes pour gratter avec leurs ongles.
Le projet initial permettait déjà de revendre la moitié de nos prisons, mais avec les folles initiatives des papis du Luxembourg, le garde des Sceaux va pouvoir brader tout le lot.
Sans entrer dans le détail des amendements sénatoriaux, disons que, pour faire un jour de la cellule, il faudra désormais quasiment avoir découpé père et mère.
Le sabbat de la haute assemblée fut mené par le sénateur Jean-Pierre Michel, ancien magistrat et cofondateur du Syndicat de la magistrature.
Cette sinistre officine a connu la célébrité l’année dernière avec l’affaire du « mur des cons », sur lequel ses dirigeants affichaient sans vergogne les visages de leurs adversaires politiques ou professionnels.
Comble de l’abjection, ils n’avaient pas hésité à placarder l’image du général Schmitt, père d’Anne-Lorraine, assassinée dans des conditions atroces par un violeur récidiviste.
Depuis l’élection de « Pépère », ce sont plus que jamais ces magistrats voyous qui mènent le jeu dans les coursives du ministère de la Justice.
Il n’est donc pas inutile de revenir sur les schémas mentaux de ces enragés, dont une bonne part furent, dès la création de l’École nationale de la magistrature, les formateurs des juges actuels.
- Louis Joinet, cofondateur du SM, conseiller de plusieurs ministres : « La loi, nous la violons. C’est ce qui permet de la faire avancer. » (Il fit ensuite meilleur usage de ses talents en devenant président du… Centre national des arts du cirque !)
- Dominique Charvet, cofondateur du SM : « Il faut choisir parmi les lois contradictoires celles qui sont au service des travailleurs, des opprimés. Il faut faire un choix entre deux camps. »
Au cours d’une table ronde à l’ENM, il ira jusqu’à prôner une privatisation de la justice apparemment réservée aux bandes ethniques : « Le problème est de savoir si les magistrats et les avocats auront le courage de saborder leur profession, pour faire place à cette justice spontanée qui a surgi dans les favelas du Chili ou dans certains grands ensembles de nos régions. Il y a dans les arrière-salles des cafés de Bobigny ou de Nanterre des juges qui se lèvent pour rendre la justice dans leurs propres milieux : ce devrait être la magistrature de demain. » Darius, le jeune Rom laissé pour mort dans un caddie, appréciera certainement…
- Oswald Baudot au Congrès du SM de 1985 : « Soyez partiaux. Ayez un préjugé favorable pour la femme contre le mari, pour l’enfant contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour l’ouvrier contre le patron, pour le voleur contre la police, pour le plaideur contre la justice » […] « Dans vos fonctions, ne faites pas un cas exagéré de la loi et méprisez généralement les coutumes, les circulaires, les décrets et la jurisprudence. Il vous appartient d’être plus sage que la Cour de cassation, si l’occasion s’en présente. »
- J.-C. Bouvier, secrétaire général du SM : « Lorsque le législateur viole une liberté comme c’est le cas avec la loi Pasqua sur l’immigration, à nous de censurer cette loi. »
- Hubert Dalle, secrétaire général du SM et ancien directeur de l’ENM : « Il faut, en se basant sur une véritable analyse en termes de lutte des classes, trouver sur le terrain judiciaire les modes d’expression de celle-ci, participer à la création de contre-valeurs qui permettent aux juges de rendre des décisions dans un sens socialiste. »
Vous pensiez que les gens de loi se devaient d’observer neutralité et impartialité ?
Avec le Syndicat de la magistrature, vous savez à quoi vous en tenir…
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