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mercredi 22 janvier 2025

« Délire transgenre » : Donald Trump sonne la fin de la récré

Capture d'écran : page officielle FB Donald J. Trump  Capture d'écran : page officielle FB Donald J. Trump

 

 

Donald is back ! A peine investi ce lundi 20 janvier, lors d’une cérémonie au sein de la rotonde du Capitole, le 47e président des États-Unis a promis « un déluge de décrets » qu’il signerait dans la soirée, devant les membres du Congrès. 

Parmi ces engagements figure celui de « mettre fin au délire transgenre ». « Désormais, aux États-Unis, il n'y a que deux genres : homme et femme », a lâché Donald Trump lors de son investiture.

 

 

Ce décret exécutif a pour but de « défendre les femmes face à l’extrémisme idéologique du genre et à restaurer la vérité biologique au sein de l’État fédéral », a affirmé à la presse un responsable républicain, précisant que l’identité sexuelle des individus serait désormais définie exclusivement par les gamètes, mâles ou femelles. Plus globalement, il s’agit de mettre fin aux politiques gouvernementales qui tentent « d'intégrer la race et le sexe dans tous les aspects de la vie publique et privée ».

Un engagement de longue date

Les traitements médicaux destinés aux mineurs dits « transgenres » ou l’accès de certains hommes « devenus » femmes aux compétitions sportives féminines sont des sujets brûlants dans des États-Unis où certaines élites ont tenté d’imposer par le haut une idéologie détachée du principe de réalité. Pendant la campagne électorale, le candidat républicain s’était également fermement opposé à l’accès des hommes aux toilettes pour femmes, à l’admission de personnes trans dans l’armée, ainsi qu’à toute propagande LGBT au sein des établissements scolaires. Le « wokisme doit s’arrêter », avait lancé le milliardaire en décembre dernier, très soucieux, notamment, de « mettre fin aux mutilations sexuelles des enfants » 

 

 

mardi 21 janvier 2025

Marc Botenga dévoile la vérité sur la présidente de l'Union Européenne.

 

L'ébouriffé a connu sa minute de gloire

 

 

 

Quelqu'un peut il lui conseiller un coiffeur ou un toiletteur pour chien ?

Qui a voté pour cet énergumène?

Profite bien pépé, tu vas finir en cabane avec un beau pyjama orange

 

 

Les gauchiasses du CNRS pris la main dans le pot de confiture excusés par la représentante de leur ministre de tutelle retenue à Davos pour cause de remise à niveau


 

Quand tu crois qu'ils ont touchés le fond!

 

 

 


 

Je n'aurais jamais pensé reposter un tweet de cet abruti

Trump 2.0 : l’heure de la bascule mondiale ? - JT du mardi 21 janvier 2025



 Publiée le 21/01/2025

Au programme, l’arrivée en fanfare de Donald Trump. 

Le nouveau président des Etats-Unis a mis à profit ses premiers instants à la tête du pays pour lancer son programme. 

Sortie des accords de Paris, sortie de l’Organisation mondiale de la Santé et fin des politiques immigrationnistes, le nouveau monde est de retour. 

Nous ferons ensuite le point sur la situation en Argentine et sur les conséquences de la politique inclassable de Javier Milei.

Et puis en France, les gauches se déchirent. D’un côté, les Insoumis et les socialistes ont déterré la hache de guerre. De l’autre, écologistes et communistes restent éloignés de la bataille. 

Ils poussent toujours le curseur un peu plus loin, il suffira d'une étincelle


 

 

En Quatre Ans aura-t-il le Temps ?


 

Pourra t-il donner un renouveau aux USA en un temps si court ?

 Il dispose d’une grande majorité au Sénat, la Chambre des représentants ne lui est pas hostile et les 3 juges déjà nommés à la Cour suprême lui seront d’un grand secours. Mais est-ce suffisant ?

Trump est tenace, mais ses adversaires du clan adverse et de l’Etat profond sont particulièrement teigneux et ne reculent pas devant les coups tordus, la tricherie et le mensonge; aidés en cela par la magistrature gauchiste et ces médias qui ont tout fait pour qu’il perde les élections précédentes. En définitive, la situation sociale en ce moment  aux USA n’a rien à envier à celle que nous vivons ici même.

Trump aura fort à faire, avant de s’attaquer au « progressisme » woke et au LGBT. D’abord, réformer le système électoral et mettre fin à l’anarchie qui sévit à chaque élection. Avec des électeurs qui ne justifient pas de leur identité et des dépouillements  de bulletins sans trop de précautions, abandonnés à des bandes de tricheurs. Ce qui a permis une fraude électorale monumentale. Il en a déjà fait l’expérience, ce qui a permis au clan Clinton-Obama de placer le (très diminué mentalement) Biden à la Maison Blanche. Il veut aussi, non seulement juguler l’immigration, mais mettre en place la remigration des clandestins. Pour cela aussi la France pourrait prendre exemple !

Les parasites quittent X, aussitôt l'air paraît plus pur




Le Comité Trump annonce ne pas avoir invité : Éric Zemmour, Sarah Knafo, Marion Maréchal et Louis Aliot


 
 
Philippe Karsenty : Ils se servent de Washington pour jouer un rôle qu’ils n’ont pas.

 

 le 21/01/25


Philippe Karsenty dénonce la supercherie des soi-disant invités de Trump !

Zemmour, Maréchal, Aliot et Sarah Knafo se faufilent à Washington et cherchent à se donner de l'importance avec des selfies. Mais la vérité est toute autre.

Dans une interview, Philippe Karsenty, porte-parole du Comité TrumpFrance, a fait des révélations explosives concernant certains hommes politiques français qui se targuent d’avoir été invités par Donald Trump. Selon Karsenty, ces prétendues invitations sont loin de la réalité. Ce ne sont pas des figures politiques influentes, mais plutôt des opportunistes qui tentent de se donner de l’importance en se faufilant parmi les milliers de participants.

Des imposteurs qui cherchent à se faire remarquer

Philippe Karsenty a été formel : « Aucun politique français n’a été effectivement invité par Donald Trump ». Selon lui, des personnalités telles qu’Éric Zemmour, Sarah Knafo, Marion Maréchal, et Louis Aliot, bien qu’ils se pavanent en public comme s’ils faisaient partie des invités de Trump, n’ont en réalité jamais été approchés par le président américain. « Ce sont des gens qui vont à Washington, prennent des photos et cherchent à se mettre en scène », a-t-il ajouté.

Le porte-parole du Comité TrumpFrance insiste sur le fait que ces individus, qui se pavanent sur les réseaux sociaux avec des selfies et des photos prises lors de leur passage à Washington, ne font que tenter de s’inventer un rôle influent, cherchant à manipuler l’opinion publique.

Une réalité plus pragmatique

Karsenty rappelle que Donald Trump, bien qu’il soit une figure majeure sur la scène mondiale, est avant tout pragmatique dans ses relations internationales. En ce qui concerne la France, il reste encore deux ans et trois mois à travailler avec Emmanuel Macron, et il n’a pas l’intention de perturber cette relation en recevant des représentants de partis politiques français marginaux.

« Etats-Unis, vers l’hyperpuissance de Trump ! ». L’édito de Charles SANNAT

 

 

 par | 21 Jan 2025 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Ce lundi marque l’investiture de Donald Trump à la présidence des États-Unis. 

Cette entrée à la Maison Blanche survient à un moment où les États-Unis n’ont jamais été aussi puissants, avec près de la moitié des flux de capitaux mondiaux en 2023.

Pourquoi une telle puissance ?

Simple.

L’Europe est engluée dans la guerre, une crise énergétique sans précédent, une technocrature étouffante, une régulation délirante, des salaires miteux et un niveau de vie qui plonge.

Les USA récupèrent ce que nous perdons.

Les usines qui ferment en Allemagne faute d’énergie abondante et peu coûteuse partent aux Etats-Unis ou au Mexique.

Je vous passe nos politiques environnementales qui sont suicidaires.

Prendre soin de la planète et de l’environnement ne nécessite pas notre suicide européen dans une forme d’harakiri économique et de sacrifice sur l’autel de la terre mère Gaïa. Nous pouvons faire les deux. Sauver l’économie ET la planète.

Enfin, même si vous n’aimez pas Trump, il veut la liberté de la parole et de la presse et des opinions.

Ce qui hérisse le camp du bien, ce n’est pas qu’ils puissent être censurés, c’est de ne plus pouvoir faire taire ceux qui ne pensent pas comme eux sans même avoir à se fatiguer à convaincre et à opposer d’autres idées dans une bataille d’idées appelée pluralisme.

Le “Trump effect” sera massif et désastreux.

Si nous faisons l’inverse de la politique de liberté, de création de richesse et d’attractivité menée par les Etats-Unis alors nous nous effondrerons, et c’est exactement ce qu’a dit Bayrou.

Je vous laisse regarder l’émission écorama consacré à ce sujet.



 

De son côté notre Bayrou national appelle au “ressaisissement” des Européens qui risquent de finir “dominés, écrasés, marginalisés” face à “la politique incroyablement dominatrice” des US.

Il a raison.

Mais la politique dominatrice américaine ne date pas d’hier.

C’est une constante.

Cette constante vous pouvez la dénoncer quand c’est le méchant Trump.

Mais quand c’est les guerres des Bush silence. Quand c’est le gentil Obama qui fait des guerres lui aussi partout. Silence.

Car il y a les gentils dominateurs qui vous dominent et vous étranglent et il y a le méchant dominateur qui vous domine et vous étrangle. Vous ne voyez pas la différence ? Normal il n’y en a pas.

Si.

Une.

Bush, Obama deux fois deux mandats de 4 ans, 165 ans de guerres continuelles.

Trump.

4 ans… aucune guerre. Une vraie pourriture fasciste ce type. Pensez donc, aucune guerre.  Un “pacifaciste” ! Un pacifiste de droite. Immonde. Les guerriers de gauche menés par notre professeur Trouposol qui enverrait bien la jeunesse européenne se faire trouer la peau dans les tranchées ukrainiennes, lui est l’incarnation du camp du bien.

AMERICA IS BACK.

 

lundi 20 janvier 2025

Suite à la polémique à Nice concernant la statue de Jeanne d'Arc, voilà la plus belle des réponses de l'Atelier Missor :


 Image

 

La seule raison à cette polémique, c'est que ceux qui nous ont commandé le monument de Jeanne d'Arc, en toute bonne foi savaient que nous étions les seuls capable de faire une statue aussi belle, tandis que d'autres, atteint d'un mal bien français, tentent de faire croire qu'en Art, le Laid surpasse le Beau.
 
 Le problème en France, c'est que depuis un demi siècle, les professeurs des Beaux-Arts (qu'ils devraient renommer les Moches-Arts), ont découragé systématiquement tout élève naïf et doté de talent, en leur expliquant que la beauté c'était pour les gueux, et qu'il fallait développer un goût aristocratique pour la laideur. 
La seule manière qu'ils ont trouvé pour panser leur blessure narcissique de n'avoir aucun talent, c'était de saboter toute une génération d'artiste. 
 Ils ont volé l'âme d'une civilisation en enlaidissant tout, pour qu'au milieu de cette laideur ils se sentent moins seuls. 
Et quand au milieu de ces abysses une statue d'or se dresse fièrement, et que l'éclat du soleil s'y reflétant, brule leurs yeux habitués à l'obscurité, d'un coup de paperasse ils frappent.
 
 Frappez donc.
 
 Nous nous battrons.
 

Edition spéciale retour de Trump : début ou fin du chaos ? - JT du lundi 20 janvier 2025


 
 
 

 
 Publiée le 20/01/2025 
 

Edition spéciale largement consacrée à l’investiture de Donald Trump. 

L’ancien et nouveau président américain est investi ce 20 janvier et son retour promet des transformations majeures de l’ordre mondial. Des bouleversements dont l’Europe et ses dirigeants pourraient faire les frais. 

Nous reviendrons également sur le premier succès de Donald Trump : la trêve qui a débuté en Palestine avec les premiers échanges d’otages et de prisonniers.

Et puis nous terminerons par un retour en France où s’est déroulée dimanche à Paris la Marche pour la Vie. Une mobilisation à l’heure où les questions sociétales pourraient refaire surface à la faveur du blocage politique suscité par Emmanuel Macron.  

Les gueux sont priés de travailler plus pour éponger les milliards que des dirigeants incompétents ont dilapidés

 

 

Les criminels devront être jugés et l'Histoire retiendra le silence assourdissant des états complices

 

 

 

Gaza. Irréel. C'est absolument irréel ce que l'humanité permet qu'il se passe ici

ZFE : la colère monte avant d’exploser

 

 

La providence est-elle avec nous?



Comment Big Pharma utilise les tissus des bébés avortés pour les vaccins

 

comment Big Pharma utilise les tissus des bébés avortés pour les vaccins


— par Pierre-Alain Depauw — 3 janvier 2025 
 

Tucker Carlson « choqué » après avoir appris comment Big Pharma utilise les tissus des bébés avortés pour les vaccins

L’avocat de Robert F. Kennedy Jr., Aaron Siri, a déclaré au reporter Tucker Carlson, stupéfait, que certains vaccins pour enfants contiennent « littéralement des millions de morceaux de la lignée cellulaire cultivée d’un fœtus avorté dans chaque injection » et que les vaccins sont cultivés sur des « tissus fœtaux avortés » qui sont « vivants ».

L’avocat de Robert F. Kennedy Jr. a laissé Tucker Carlson presque sans voix après lui avoir révélé que l’industrie pharmaceutique utilise des cellules de bébés nés vivants avortés pour la recherche.

Aaron Siri a répondu pendant près de deux heures aux questions de l’ancien présentateur de Fox News. Leur conversation a été diffusée sur X le 27 décembre et a suscité une large attention sur les réseaux sociaux, car Siri, qui aide Robert F. Kennedy Jr. à sélectionner les candidats potentiels pour le département de la Santé et des Services sociaux, a fait l’objet d’un article à charge dans le New York Times le mois dernier.


Des millions de fragments de cellules issues de cultures de fœtus avortés

Parmi les sujets abordés par Siri et Carlson figurait l’horrible question de la façon dont Big Pharma s’appuie sur les bébés avortés pour fabriquer ses produits.

« Dans chaque dose du vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole), il y a littéralement des millions de fragments de cellules issues de cultures de fœtus avortés », a expliqué Siri à Carlson, stupéfait.

Siri a remporté des procès importants liés à la liberté médicale et aux préjudices causés par les vaccins dans le cadre de son expérience en contentieux. Il a ensuite expliqué à un Carlson déconcerté que pour que les vaccins soient développés, ils doivent être cultivés sur des « tissus fœtaux avortés » qui sont « vivants ».

Hollande, Villepin et Philippe en lice pour 2027 : la France mérite mieux

Capture d’écran © BFMTV
Capture d’écran © BFMTV

 

Par son accession à Matignon, Bayrou a ouvert le bal, et le dernier tome de la recherche du temps perdu des vingt dernières années politiques. 

Comme dans Le Temps retrouvé de Proust, ils défilent devant nous, vieillis, leurs bilans peu reluisants aiguisant chaque ride, les ex-espoirs des années Chirac, Hollande, Macron.

 Ils ont d'abord montré leur museau dans son gouvernement, comme Valls et Borne. Mais voilà maintenant l'étage du dessus, ceux qui lorgnent vers 2027. Et tout en prétendant qu'ils ne souhaitent pas de présidentielle anticipée, ils s'y préparent furieusement, sentant une occasion : qui sait, sur un malentendu, une affaire de costume, une décision judiciaire, un appel à faire barrage ?

Bayrou a ressuscité le PS... et François Hollande !

On savait que Bayrou avait ressuscité le PS, un ex-parti de gouvernement tombé à moins de 5 %, pour sauver son gouvernement. On apprend, ce dimanche matin, par La Tribune, que « lors de cette semaine cruciale, François Hollande a joué un rôle actif en coulisses ». Laissant parader les ternes Olivier Faure et Boris Vallaud, il apparaît le surlendemain comme le grand marionnettiste et savoure l'événement : « Les socialistes constituent désormais le pôle central au sein de l’Assemblée nationale, puisque rien ne peut se faire sans eux ni contre eux », estimant qu'ils « ont la clé jusqu’en 2027 ». C'est vrai, à quelques nuances près. On voit mal la droite LR accepter cette mainmise du PS sur les orientations du gouvernement. Et, surtout, on voit mal comment une politique socialiste pourrait répondre efficacement aux problèmes de la France et des Français durant les deux ans qui nous séparent de 2027. Mais, pour François Hollande, l'essentiel est de croire être revenu au centre du jeu parlementaire, ramenant l'Assemblée à un trivial congrès du Parti socialiste - son terrain de jeu favori. Il cherchait déjà un trou de souris, en 2017, pour pouvoir se représenter...

« Impôts. Pourquoi tous les pays les baissent… sauf la France ? ». L’édito de Charles SANNAT

 

 

 par | 20 Jan 2025 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Il existe un petit village gaulois entouré de camps retranchés de pays libéraux, sans impôts, que dis-je de paradis fiscaux.

Heureusement, les chefs gaulois, Bayroutix et Macronix veillent aux grains, le grain des “zImpôts”, une exception culturelle gauloise.

Sous la pression du Druide Mélenchonix, les impôts ne font que monter, il faut dire qu’il sait la faire la potion amère des zImpôts, qui donnent cette force surhumaine à l’économie gauloise du Menhir… d’ailleurs il paraît que menhir est mort ce soir, comme le lion d’une certaine chanson.

Aux Etats-Unis, l’IS, l’impôt sur les sociétés, doit passer à 15 %, en Allemagne, c’est même le 10 % qui est envisagé. Au Portugal ce sera 12 % pour les PME.

En France, Bayroutix au nom de l’égalité gauloise, et de la justice fiscale augmentera la flat tax et le chiffre de 37.5 % circule au lieu de 30 %. Bayroutix voudrait même pour faire plaisir au Druide Mélenchonix remettre un impôts sur la fortune nouvelle formule. Une nouvelle potion donc.

A ce stade, heureusement, les chefs gaulois n’ont pas encore voté le nouveau budget. A ce rythme, il serait souhaitable qu’ils ne votent rien et qu’ils fichent la paix aux Français, car comme à chaque fois qu’ils font quelque chose, ils font plus de mal que de bien.

Voilà donc le sujet de cette vidéo.



Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

dimanche 19 janvier 2025

Climat : un député se réveille enfin…


 

L’eurodéputé polonais Adam Bielan semble incarner un genre de réveil de la classe politique européenne qui assiste sans mot dire, depuis des années, à un empilement de normes techniques ahurissant et qui a eu pour effet de liquider nombre d’industries florissantes, particulièrement en Allemagne et en France, si ce ne sont des filières entières.

 Il explique : « Le seul effet de la politique climatique actuelle est une énergie plus chère, des voitures plus chères, un chauffage plus cher et une nourriture plus chère ». C’est bien de finir par s’en apercevoir, mais ce serait encore mieux de se mettre au travail pour sauver ce qui peut encore l’être, à savoir, la filière automobile, la production nucléaire d’électricité, la métallurgie, la chimie… en réalité, on comprend qu’il s’est rendu compte que la politique écologique est en réalité un plan d’asservissement concerté, visant à instaurer une ségrégation par l’argent et des catégories sociales hermétiques.

Mais ce député arrivant a la conscience pourrait reprendre notre discours, celui du RPF, qui ajoutait que cette écologie punitive vise aussi l’exclusion sociale. Plus le droit de circuler pour les gens les plus modestes, plus accès à certains quartiers, à certains logements, à certains types de chauffage, ceci dans un contexte de consommation record de charbon au niveau mondial. L’Europe, le continent industrialisé le moins polluant, est celui qui impose les pires contraintes à ses populations, alors qu’il est à la fois le plus vertueux et le moins peuplé. Comment nos dirigeants peuvent-ils imaginer que le braquage d’une partie largement minoritaire de la population mondiale va avoir un quelconque effet sur la planète dans quelques dizaines d’années ?

Les incendies surnaturels de Los Angeles

 

Qui sont les “élites” par Todd Hayen


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Les gens me corrigent toujours lorsque j'utilise le terme "élite" pour décrire ce groupe de "personnes" (ou peut-être de lézards) qui prennent les décisions et qui ont créé l'"agenda" et veulent le reste d'entre nous (les mangeurs inutiles) soit sous leur contrôle, soit morts. 
 
 Les personnes qui me corrigent prétendent que ces personnes (ou lézards) ne sont pas "élites", ce qui implique faussement "meilleur", "avancé" ou "spécial". Ils ne veulent pas leur accorder un crédit qu'ils ne méritent pas. 
Je le comprends. La définition officielle et indiscutable de "élite" est : "Un groupe ou une classe de personnes considérées comme supérieures aux autres en raison de leur intelligence, de leur statut social ou de leur richesse". Mais qui fait le "considérant" — eux, ou nous, les "non-élites" ?
 
 Cependant, c'est un mot facile à utiliser pour décrire un groupe, tout comme "mouton" et "fouine" sont faciles à utiliser. Ce n'est pas nécessairement totalement précis, mais tout le monde sait à quoi je fais référence quand j'utilise ces termes. Je reçois le même type de critique quand j'utilise l'expression "les puissances en place" — beaucoup de gens veulent que j'utilise l'expression plus maladroite "les puissances qui ne devraient pas être" — oui, plus précis, mais plus maladroit.
 
 Alors, qu'en est-il de ces "élites" ? Qui sont-ils et à quoi s'occupent-ils, et pourquoi sont-ils considérés, au moins par eux-mêmes, comme "meilleurs", "avancés" et "spéciaux" ?
 Qu'ont-ils tous en commun, à part le mal ? Sont-ils tous mauvais ? Sont-ils vraiment des lézards ? Je dirais que la chose qu'ils ont tous indiscutablement en commun est l'argent — ou au moins le contrôle de grandes quantités d'argent. 
Un deuxième dénominateur commun est probablement le "pouvoir" — mais n'est-ce pas évident ? Avoir de l'argent, c'est automatiquement avoir du pouvoir. Voici quelques faits et chiffres à jeter dans la conversation. 
Les personnes les plus riches du monde sont Elon Musk (valant plus de 230 milliards de dollars), Bernard Arnault et sa famille (valant plus de 200 milliards de dollars), Jeff Bezos (valant plus de 160 milliards de dollars) et Bill Gates (valant plus de 130 milliards de dollars). 
 
Comme vous l'avez certainement entendu des millions de fois, le 1% le plus riche détient plus de 40% de la richesse mondiale totale. 
Tandis que les 50% les plus pauvres contrôlent moins de 2%. 

mimi marchand l'écho des égouts

 

 

Contre-enquêtes - La nouvelle gauche : sexe, drogue et pédophilie


 

 

Publiée le 19/01/2025
 

Dans ce numéro de "Contre-enquêtes", David Louis revient sur deux affaires qui ont secoué la gauche ces derniers mois : les affaires Andy Kerbrat et Pierre-Alain Cottineau.

 A travers leurs histoires sordides, c'est toute une tendance à la déliquescence au sein de cercles bourgeois homosexuels qui se dévoile. 

Un état d'esprit possiblement hérité des années 70 et 80, où une toute autre approche de la drogue et de la sexualité a émergé

Soros et Musk : deux milliardaires, deux idéologues…deux méthodes

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Ils sont tous les deux riches à milliards. Ils planent tous les deux bien au-dessus des frontières et des patries charnelles.

 L’un vient de Hongrie, l’autre d’Afrique du Sud, et tous deux sont américains. Aucun d’eux n’a de goût pour le star-system ou l’ostentation. Et tous deux sont supérieurement intelligents. Les points communs s’arrêtent là, car George Soros et Elon Musk sont sur deux longueurs d’onde, deux planètes même, pourrait-on dire, complètement différentes.

Depuis des dizaines d’années, George Soros milite pour ce qu’il appelle une « société ouverte ». C’est un vocable poli et commode pour désigner l’absence de frontières, la promotion du progressisme sociétal, du wokisme, des musulmans du CCIF ou de la dépénalisation de la drogue. Ami des démocrates américains, figure clivante qui regroupe contre lui toutes les droites nationales d’Europe, Soros est devenu un épouvantail. Musk est son exact opposé, son négatif. Lui, il milite pour une société traditionnelle et à la pointe de la technologie, soutient Israël et finance la lutte contre les woke - dont il considère qu’ils lui ont volé l’un de ses douze enfants, qui a fait une « transition de genre » il y a quelques années, et que le milliardaire considère comme mort. Musk finance autant les républicains que Soros les démocrates.

Et puis, surtout, il y a une différence majeure : les modes d’action. Tout ce que fait Soros est en sous-main, sinon caché en tout cas discret. On ne découvre son passage ou son implication qu’après coup. George Soros a toujours privilégié les circuits complexes, les coups à plusieurs bandes. Elon Musk, lui, hurle ce qu’il va faire et le publie, plusieurs fois par jour, sur les réseaux sociaux. Il traite de « fillette » le Premier ministre du Canada, envoie bouler ceux qui se drapent dans des éléments de langage de pacotille et partage des posts écrits par des comptes que la bien-pensance qualifie de « controversés » ou « problématiques ». Quelle stratégie est la meilleure ? L’histoire jugera. Il semble toutefois que, ces jours-ci, elle tourne en faveur de Musk.

Annonce : je quitte l’Angleterre DÉFINITIVEMENT


 
 
 
Aldo quitte le Royaume Uni et nous dit pourquoi

samedi 18 janvier 2025

Boum: «Nous les juifs n’avons rien à voir avec le sionisme ni ses guerres, ni avec l’état d’🇮🇱!»