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lundi 31 mars 2025

L'heure est grave, ils veulent la guerre

 

 

Il veut sa guerre


« I had a dream » Je l’ai vu tout penaud, encadré par deux gendarmes, les menottes aux poignets, en direction de la prison. 

Au réveil j’étais très déçu, le quidam était encore à sa place. 

C’est le sparadrap du capitaine Haddock qu’on arrive pas enlever sous la chaussure. Pourtant les motifs d’inculpation ne manquent pas. Mais se sentant protégé et sans véritable opposition il se permet de faire ce qu’il veut. 

Fidel Castro aurait dit en son temps que la prochaine guerre se fera en Europe entre la Russie et le fascisme, sauf que le fascisme se fera appeler démocratie. On serait tenté de le croire au vu du non respect de la liberté d’expression et de la volonté populaire, depuis un certain nombre d’années.

Alors que l’opinion publique réclame la paix en Ukraine, le freluquet veut continuer une guerre qui peut lui assurer un regain de popularité et faire oublier les « casseroles » qu’il traîne derrière lui. Que des ukrainiens meurent et souffrent inutilement, il s’en moque totalement. De ces trois faiseurs de guerre que sont lui, la der Leyen, et l’islamo-compatible Starmer, il reste le plus acharné à en découdre. Il veut créditer au petit clown triste Zelenski la somme fabuleuse de 2 milliards d’euros, alors que nos finances sont au plus bas et que cette guerre est perdue pour l’Ukraine.

 Mais où vont tous ces milliards donnés à l’Ukraine ? Sa dernière trouvaille c’est le « manuel de survie » envoyé à des millions de français avec en filigrane le soi-disant danger russe.

La Bombe ! Marine Le Pen déclarée COUPABLE et inéligible pour 2027 !


 

31 mars 2025

Aldo Sterone 

 

Chapitres: 00:00 Condamnation Marine Le Pen

00:50 Retour sur la Roumanie et l'Allemagne

02:00 Pas d'enrichissement personnel

02:45 Les assistants parlementaires

03:44 Exemple du garde du corps

05:20 Interprétation a posteriori

06:55 L'appel n'est pas suspensif

07:36 Que va-t-il se passer ?

09:08 Les gens se réveillent, le cas X

11:10 Un clone de Macron en 2027 ?

12:00 Un Melanchon Bardella en 2027 ?

Marine Le Pen : coup d’État judiciaire ? - JT du lundi 31 mars 2025


 
 
 
Publiée le 31/03/2025

Au programme de cette édition, Marine Le Pen mise hors-jeu par les juges. 

Favorite pour 2027, la présidente du groupe RN a été lourdement condamnée par le tribunal correctionnel de Paris. Parmi les peines prononcées : l’inéligibilité pour 5 ans.

L’avocat Régis de Castelnau décryptera pour nous cette décision de justice et ses conséquences. Nous avons également recueilli l’opinion de quelques Parisiens…

Et puis pour terminer, nous reviendrons sur la manifestation pour la Paix organisée samedi à Paris par Florian Philippot. 

La fabrication de l'histoire juive


Par Gordon Duff

Traduction MCT

« Le XXe siècle a été le témoin de la construction délibérée d'un récit associant l'identité juive aux Hébreux bibliques. Cet effort, enraciné dans les ambitions politiques et idéologiques des puissances européennes et des mouvements sionistes, visait à légitimer l'établissement d'une patrie juive en Palestine. Cependant, les preuves historiques et archéologiques remettent en question ce récit... Les Khazars, un peuple turc qui a établi un puissant empire... remettent en question la représentation monolithique de l'identité juive... Pourtant, les efforts pour explorer cette lignée ont souvent été confrontés à une résistance féroce, à la censure et même à la persécution. »

« La fabrication de l'histoire juive » - Une longue lecture de la TID
Extrait de « Greatness and Controversy » (Grandeur et controverse) des archives de la Truth Intelligence Division (TID)

Dans cet exposé détaillé, Gordon Duff dissèque les mythologies construites qui sous-tendent le sionisme politique moderne, faisant remonter leurs origines non pas à l'ancienne Jérusalem, mais aux élites turques converties de l'Empire khazar. Citant des études génétiques évaluées par des pairs, des chroniques européennes supprimées et des analyses médico-légales des flux migratoires médiévaux, Duff démonte la continuité fabriquée entre les anciens Hébreux et la majorité des populations ashkénazes modernes.

Cette section explore :

  • Comment la royauté européenne, les conseils religieux et les systèmes médiatiques modernes ont coopéré (sciemment ou non) pour élever un récit tribal au rang de doctrine mondiale.
  • Les implications de la lignée khazare sur la légitimité des revendications en Palestine.
  • Le rôle de la mémoire de l'Holocauste dans la consolidation d'une identité mythique - sans minimiser la tragédie, mais en recontextualisant la façon dont elle est politiquement utilisée.
  • La suppression académique et publique de faits clés qui révèlent une histoire d'origine beaucoup plus diverse et complexe pour les Juifs d'Europe - une histoire centrée sur le pouvoir, la banque et l'ethnicité autant que sur la spiritualité.

Le travail de Duff recadre la lutte géopolitique en Israël-Palestine non pas comme une crise de réfugiés post-Seconde Guerre mondiale, mais comme l'aboutissement de siècles de manipulation de l'identité. Il n'appelle pas à la haine, mais à la clarté, au courage et à l'honnêteté historique.

Points d'inflexion historiques clés :

Vers 740 de notre ère : Selon des sources arabes, byzantines et hébraïques, la classe dirigeante khazare adopte officiellement le judaïsme, non pas à la suite d'une révélation théologique, mais par décision stratégique de rester neutre entre la Byzance chrétienne et l'expansion islamique.

IXe-XIe siècles : Alors que l'empire khazar s'effondre, son élite juive migre vers l'ouest, dans ce qui est aujourd'hui l'Ukraine, la Pologne et la Hongrie, s'intégrant aux premières communautés ashkénazes et apportant avec elle les coutumes de la cour, le yiddish (une langue hybride germanique-turque-slave) et des pratiques bancaires centralisées.

XVIe-XIXe siècles : Les Juifs européens sont de plus en plus présentés comme les descendants directs des Israélites bibliques - un récit qui n'est pas étayé par des preuves génétiques, linguistiques ou migratoires, mais qui est renforcé par l'autorité rabbinique et l'interprétation sioniste chrétienne.
L'hypothèse khazare n'est donc pas une simple curiosité académique. Elle remet en question les fondements des revendications ethno-historiques sur la Palestine et recadre l'identité ashkénaze non pas comme un exil et un retour, mais comme une conversion impériale et un repositionnement stratégique.

L'armement du mythe : les médias, la mémoire et l'Holocauste

Aucun mythe ne survit par lui-même. Il doit être nourri, entretenu et défendu. Dans le cas de l'identité ashkénaze moderne, l'Holocauste est devenu la pierre angulaire émotionnelle - une blessure psychique si profonde que remettre en question tout récit environnant revenait à s'exposer à des accusations de dépravation morale. Mais dans les ruines d'Auschwitz, quelque chose d'étrange s'est produit : le mythe d'une continuité juive ininterrompue depuis l'ancien Israël jusqu'aux camps est devenu inattaquable, non pas en tant que fait historique, mais en tant que nécessité politique.

Le traumatisme était réel. La souffrance était indéniable. Mais la mémorialisation sélective de l'histoire juive - aseptisée, linéaire et mythique - a permis de créer un bouclier idéologique qui a mis les institutions juives les plus puissantes à l'abri de tout examen. Les historiens sionistes, les conglomérats médiatiques occidentaux et les maisons d'édition universitaires ont collaboré (intentionnellement ou non) pour faire taire les généalogies alternatives, effacer les données sur la lignée khazar et minimiser la diversité sauvage des origines diasporiques juives.

Trois mécanismes d'application du mythe :

Le contrôle de la narration historique

  • Les principales maisons d'édition et les départements universitaires ont discrètement gelé les recherches remettant en cause le modèle de la lignée biblique.
  • Des chercheurs comme Arthur Koestler (The Thirteenth Tribe) ont été mis à l'index, et non réfutés.
  • L'absolutisme de l'Holocauste
  • Toutes les souffrances juives ont été réduites à un traumatisme singulier, décourageant l'exploration d'identités plurielles.
  • Tout écart par rapport à la mémoire « officielle » était considéré comme du révisionnisme, même s'il concernait des événements survenus des siècles auparavant.
  • Symbiose médiatique mondiale
  • Les grandes agences de presse ont adopté et répété un scénario d'« exil et de retour », mêlant prophétie biblique et politique moderne.
  • Hollywood a renforcé cet arc par le biais de films, de documentaires et d'une distribution sélective des Juifs en tant qu'éternelles victimes.

Campagnol

 

 

Australie : « zéro chance » pour les clandestins


En Australie, l’immigration est une question technique. La politique drastique menée par les gouvernements travaillistes a fait s’effondrer le nombre de migrants clandestins et les visas sont sévèrement encadrés en fonction des besoins économiques.

Résultat : cette immigration régulée est considérée comme une chance pour le pays.
 
Une telle chose est-elle pensable en France ? En Australie, depuis la rentrée septembre, le nombre de permis de séjour délivrés aux étrangers demandant le statut de résident permanent a été divisé par deux par rapport à l’année précédente. Phénomène encore plus improbable, c’est un travailliste, le Premier ministre Anthony Albanese, qui est à l’origine de la décision. Pour couronner le tout, sa mesure s’inscrit dans le cadre d’une politique sociale de lutte contre la crise du logement !

Un sujet sensible

Principalement peuplée par des descendants de colons et de travailleurs étrangers (on ne recense que 3 % d’Aborigènes sur le territoire), l’Australie a un rapport apaisé à l’immigration. Il n’en a pas toujours été ainsi. Cette situation est le fruit d’une véritable révolution des consciences, qui s’est opérée depuis vingt-cinq ans. Résultat, le fait migratoire est aujourd’hui perçu par la plupart des Australiens comme une question technique sur laquelle des objectifs chiffrés et des données transparentes sont débattus chaque année au Parlement.

En Australie, les dernières statistiques connues sur l’immigration datent de la période 2022-2023. Au cours de ces douze mois, 212 000 nouveaux immigrés permanents ont été accueillis dans le pays qui compte 27,4 millions d’habitants. Une proportion stable depuis dix ans. 8 % des arrivants ont été admis dans un cadre humanitaire, 25 % en vertu du regroupement familial, et 67 % pour raison professionnelle. À quoi s’ajoutent les visas temporaires : 577 000 ont été distribués à des étudiants, 464 000 à des employés en CDD. Autrement dit, près de 95 % des titres de séjour ont été délivrés pour motif d’activité. En France, le taux s’élève à 20 %…

À lire aussi : Immigration : convertir l’opinion publique au lieu de l’informer

Les Australiens ont compris que l’immigration était un sujet crucial il y a quarante ans. À partir des années 1970, les flux historiques en provenance d’Europe ont commencé à se tarir, la natalité s’est mise à chuter (1,5 enfant par femme en 1984 contre 2,3 en 1974) et le développement économique de l’île a commencé son envol. Le modèle de l’« Australie blanche » a alors atteint sa limite. Il a fallu se tourner vers l’immigration asiatique. Dans un premier temps, les gouvernants ont procédé de façon empirique, voire anarchique, en faisant venir des travailleurs d’Inde, du Vietnam ou des Philippines au gré des besoins.

L’affaire du Tampa

En 2001, l’affaire du Tampa oblige toutefois l’Australie à se positionner de manière plus claire et stratégique. Le Tampa est un cargo qui se présente cette année-là au large de l’île Christmas, au nord du pays, avec 400 réfugiés afghans et irakiens à son bord. Un bras de fer débute alors entre le pouvoir et les associations humanitaires locales qui pressent le Premier ministre libéral, John Howard, de revenir sur son refus de laisser débarquer les passagers.

 

 


Quand le capitaine tente de forcer le blocus, les troupes spéciales interviennent. Les migrants sont arrêtés puis transférés sur l’île de Nauru, un petit État indépendant situé à plus de 1 000 kilomètres, où l’Australie finance pour eux la construction d’un camp d’accueil.

Vers la fin du risque de squat en France ?

 

 

 par | 31 Mar 2025

 

On peut avoir des difficultés financières. Cela peut arriver à tout le monde dans la vie.

 Ce n’est pas aux propriétaires privés qui sont surtaxés d’impôts et qui croulent sous les charges d’assumer les difficultés financières de leurs locataires, mais, MAIS, il y a un grand mais, il y a une différence évidente entre un locataire ne pouvant pas payer et un squatteur.

De la même manière, on peut ne pas payer son loyer (ce qui n’est pas bien ni une justification) et ne pas dégrader le logement. Ne pas payer ET dégrader sont là aussi deux choses totalement différentes.

Comme l’économie est affaire de bon sens avant tout, il faut déjà traiter ce qui est facile à traiter et surtout évident moralement à traiter.

Vous n’avez pas à squatter un logement. Squatter c’est s’approprier la propriété d’autrui. Inadmissible.

Dégrader un logement est également inexcusable.

Il faut donc taper très fort sur les squatteurs et les destructeurs de logements.

Il faut créer un fichier de tous les squatteurs et les destructeurs. Bien plus efficace que toute peine de prison non appliquée ou amende qui ne sera jamais payée. En étant fichés ces gens qui se tiennent trop mal et pénalisent des millions de familles irréprochables seront exclus du marché du logement. C’est cela la responsabilisation individuelle.

Une nouvelle loi se prépare pour avril 2025

Le projet de loi, qui devrait être présenté à l’Assemblée nationale en avril 2025, prévoit plusieurs mesures phares :

dimanche 30 mars 2025

Giorgia Meloni brise un tabou : l’islamisation de l’Europe est une réalité

 

L'alchimie du 11 Septembre ~ Arme à énergie dirigée & projection holographique | Part 1


 

La censure n'arrêtera pas la diffusion de la vérité




Attentats du 11 septembre 2001


Wikipedia • Les attentats du 11 septembre 2001 sont quatre attentats-suicides islamistes perpétrés le même jour aux États-Unis et provoquant la mort de 2 977 personnes, à Manhattan à New York, à Arlington en Virginie et à Shanksville en Pennsylvanie, en moins de deux heures, entre 8 h 14 et 10 h 30.

 

 L'alchimie du 11 Septembre ~ Arme à énergie dirigée & projection holographique | Part 1 (~3h)  Voir le documentaire : youtube.com/watch?v=QcnSnW

  Depuis les événements du 11 septembre, deux théories principales se sont opposées. La théorie officielle, celle des islamistes enragés avec des cutters et la deuxième théorie, celle de la démolition contrôlée conventionnelle et de la thermite. Et s'il y avait une autre possibilité ? Et si depuis le début, nous avions été incapables de voir la vérité sous nos yeux tellement elle était énorme ? 

  Certains prétendront que les armes à énergie dirigée et les projections holographiques n'existaient pas à l'époque, mais ce n'est (entre autres) que parce qu'ils ne savent pas que les entreprises contractées par le gouvernement américains pour effectuer l'enquête "indépendante" (lol) étaient spécialisées dans les armes à énergie dirigée, les projections holographiques et... la guerre psychologique.

 Ils ne savent pas non plus que Steven E. Jones, leader du Mouvement pour la Vérité sur le 11 Septembre, le premier promoteur de la théorie de la thermite, était lui-même impliqué dans la recherche sur la fusion froide dans les années 80. 

Fusion froide qu'il a ensuite catégorisé publiquement comme non-scientifique, tout en ridiculisant les travaux de Judy Wood quand elle a mentionné la possibilité d'utilisation de cette technologie le jour du 11 septembre.  

 Ces deux éléments ne sont que des petits détails comparé à toute la substance que vous trouverez dans les trois volets de cette série de documentaires. 

Je peux vous garantir qu'après l'avoir vue, vous ne regarderez plus jamais les tours de la même façon.

Victimes du prétendu vaccin Covid.

 

Les Conversations de Paul-Marie Coûteaux n°62 avec François Asselineau : Russie, Etats-Unis, Europe... si les Français savaient !


 

Publiée le 30/03/2025

Je me faisais une joie de retrouver François Asselineau, tant la conversation est avec lui riche et aisée, mais qu’avait-il encore à dire sur sa vie et ses vues, politiques mais aussi philosophiques, après les cinq Conversations qu’il nous a accordées voici deux ans ? 

Je n’ai pas été déçu : nous devions évoquer ses efforts, échecs et succès depuis la fondation de l’UPR il y a exactement 18 ans, mais très vite notre conversation a bifurqué vers de tous autres territoires, certes plus inattendus : les raisons pour lesquelles il veut inscrire les racines chrétiennes dans la Constitution française, l’importance du combat supra-politique, celui des valeurs morales, notamment du courage et de "la vérité à tout prix", les conséquences de la crise de l’Eglise et son possible renouveau, le sens que pourraient avoir les références satanistes parmi un nombre croissant de jeunes Français - mais aussi, face à la frivolité de Français qu’on dirait victimes d’un étrange sortilège, son rôle personnel, qu’il situe bien au-dessus de la politique, ou au-delà...

Groenland, taxes… Trump avait tout annoncé mais l’UE tombe faussement des nues

Trump

 

 

 Que l’on aime ou pas le style Trump, il faut admettre une chose : le républicain applique son programme à la lettre.

 En revenant au pouvoir, Donald Trump a musclé le jeu même contre les partenaires de longue date de Washington.

 L’instauration d’une taxe de 25 % sur les voitures importées en est le parfait exemple. « Nous allons faire payer les pays qui font des affaires dans notre pays et prennent notre richesse », a-t-il encore prévenu, il y a peu. Avant même son arrivée au pouvoir, Donald Trump avait prévu une hausse massive des produits importés. Rien de surprenant à cette politique protectionniste agressive. Même chose pour le Groenland. Alors que les dirigeants européens jouent les vierges effarouchées, Trump ne cache pas ses intentions depuis… 2019


Contrer les avancées sino-russes

Le président américain n’a qu'une seule idée en tête : briser les avancées sino-russes dans l'océan Arctique - inquiétant, au passage, Vladimir Poutine. Depuis plusieurs années, Chinois et Russes investissent massivement, en Arctique. En 2019, la seule Fédération de Russie avait un plan d’investissement de 185 milliards de dollars dans le cadre de son exploitation pétrolière. Les Chinois, eux, investissent massivement dans des entreprises en échange d’accès aux ressources. Pour le Groenland, cette injection massive d’argent représente la possibilité de s’extraire un peu plus de la tutelle danoise et, donc, de gagner en autonomie.

Royaume-Uni : Accélération de l’Effondrement

 


 29 mars 2025 

 L’effondrement se précipite en Grande Bretagne. 

Un des hommes les plus riches du pays, Laskmi Mittal a decidé de partir. 

Le pays s’effondre sur tous les plans pendant que la taxation explose. Beaucoup de créateurs d’entreprises partent…

samedi 29 mars 2025

Déja vu, mais pour ceux qui ne seraient pas au courant!

 

 

Cette vidéo traine sur les réseaux sociaux depuis des années et n'a jamais été censurée.

« Hunting Hitler… »


Ce portrait serait la dernière photo d’Hitler encore en vie, elle daterait du 20 avril 1945, et elle aurait été prise dans les jardins de la Chancellerie du Reich

 

 Le 29 mars 2025

 Par Patrick Ledrappier via profession-gendarme

 

« L’Allemagne a perdu la guerre, mais pas les nazis »

La première fois que j’ai douté du récit officiel sur la mort d’Hitler, je devais avoir 13 ou 14 ans. 

Je me revois encore, me disant : « Hitler dirigeait l’armée la plus puissante du monde. Il devait posséder une fortune colossale – or, diamants – mise à l’abri sur plusieurs continents. Est-il vraiment crédible qu’il n’ait pas préparé un plan de survie en cas de défaite, dans l’espoir de renaître comme Napoléon revenant de l’île d’Elbe ? Rien ne l’empêchait de fuir l’Allemagne en sous-marin pour gagner les côtes de l’Amérique du Sud… »

   Et je m’en souviens parfaitement : il y avait cette photo, présentée comme la dernière le montrant vivant. L’homme qui y figurait ressemblait à un mauvais sosie – trop âgé, trop gras. Officiellement, elle datait du 20 avril 1945, prise dans le jardin de la Chancellerie du Reich. Mais quelque chose clochait, me disais-je.

   « Hunting Hitler »

D’ailleurs, l’excellente série dirigée par le vétéran de la CIA, Bob Baer, et une équipe d’enquêteurs : « Hunting Hitler » (trois saisons), adopte cette thèse qui reprend les questions que se posait le jeune adolescent que j’étais :   – Hitler n’est pas mort dans le bunker le 30 avril 1945, mais aurait simulé son suicide avec un corps substitué.   – Une évasion organisée aurait eu lieu via des réseaux nazis (avec la complicité de membres du régime, de services secrets, ou de l’Église catholique).   Destinations possibles selon les enquêteurs de la série :    – L’Amérique du Sud (Argentine, Brésil, Paraguay), où des nazis ont effectivement fui.   – Une base secrète en Antarctique (mythe du Nouveau Berchtesgaden).   – L’Espagne franquiste.    – Un pays arabe.      La thèse centrale de la série s’appuie sur :   – Des témoignages de riverains en Amérique latine.   – Des documents déclassifiés du FBI.   – Une analyse des restes du bunker (fragments de crâne contestés).
   « Le crâne d’Hitler ne serait pas son crâne. »
   Les enquêteurs de la série reprennent également les résultats d’un test ADN qui aurait été pratiqué en 2009 et qui conclurait que : « Le crâne retrouvé dans le bunker est celui d’une femme », il ne serait donc pas celui d’Hitler » (test ADN de 2009)
   Une théorie jugée jusqu’alors complotiste, va-t-elle révéler la vérité sur la mort d’Hitler ?
  
  
 
  Ce serait la photo de la dernière résidence d’Adolf Hitler, quelque part en Amérique du sudÀ gauche, la photo représenterait Phillip Citroën, ancien soldat S.S. en présence Adolf Hitler, alias « Adolf Schrittelmayor », à la « Residencias Coloniales » à Tunja (Colombie).
   Nous n’attendions aucune révélation de faits que nous ne connaissions déjà sur l’assassinat de JFK, et sur ce point, pour l’instant, nous avions raison.

Et on ne s’attendait absolument pas non plus, à ce que des documents qui remettent en cause le suicide d’Hitler à Berlin le 30 avril 1945, fassent partie des documents déclassifiés sur l’assassinat de JFK (cela serait dû au fait que JFK s’intéressait à cette question, et également au fait qu’une fausse piste aurait été lancée par la CIA : l’assassinat de JFK serait l’œuvre de nazis).

   Résumé des documents concernant Hitler qui sont présents dans les documents déclassifiés sur l’assassinat de JFK

On peut-être un immense athlète et dire des sottises absolues, comme être « l’idiot utile de l’islam des frères musulmans »


 

Michel Festivi 

 

Personne ne contestera que Teddy Riner est un immense sportif, peut-être le plus grand en nombre de médailles, aux jeux olympiques, et aux championnats du monde. 

Mais comme souvent, les sportifs feraient mieux de rester concentrés sur leur sport et ne pas se mêler de politique, du moins d’éviter les prises de paroles publiques. 

Et c’est exactement, ce qui s’est passé. Notre judoka national a eu la saugrenue idée de venir au secours de femmes qui entendent porter le voile lorsqu’elles pratiquent leur discipline. Il a prétendu que la liberté et l’égalité devraient être prioritaires et « ne pas s’acharner sur une seule et même religion ». Le problème que Teddy Riner ne voit pas ou refuse de voir, c’est que justement, seule une religion pose problème, et aucune autre.

C’est l’ex-champion du monde de boxe en 2003 et 2006, d’origine iranienne, mais naturalisé français, Mahyar Monshipour qui lui a répondu en renvoyant Teddy Riner dans son dojo, « pour lui dire qu’on ne peut pas prendre position sur certains sujets que l’on ne maîtrise pas ». Conseiller technique de la Fédération française de boxe, né à Téhéran, il connait lui, contrairement à Teddy Riner, ce que veut très précisément signifier, le port du voile.  Pour Mahyar, « Il s’agit de rendre habituelle la présence du fait religieux. On ne parle pas du port d’une simple croix, mais de la volonté de cacher la femme avec le voile. Ce voile est un linceul et le signe visible d’une inégalité entre l’homme et la femme. ». En une phrase, bien sentie, Teddy Riner, est remis à sa place par ippon, celle d’un judoka, qu’il n’aurait jamais dû quitter. 

Et d’en rajouter judicieusement « Teddy se trompe par méconnaissance du sujet, les sportifs...ne doivent pas devenir les idiots utiles de l’islam des frères musulmans... je le répète, une recommandation religieuse n’a rien à faire dans la pratique sportive, dans les activités culturelles ou à l’école. Le permettre, c’est accepter un petit pas de plus des frères musulmans dans notre société. » 

Mahyar, dans cet entretien qu’il a donné au Figaro revient sur la manière dont le voile s’est imposé en Iran, et il lance ce cri « Réveillons-nous et réveillez-vous Teddy Riner... ils veulent rendre le port du voile classique, pour extraire les femmes du monde du sport ».

Rennes. Le 1988 Live Club capitule, LFI se félicite du licenciement du Jarl, la droite regarde ses chaussures


 

L’affaire était inévitable vu la trouille qu’ont les autorités des antifas : Yovan Delourme, dit « Le Jarl », figure emblématique du 1988 Live Club de Rennes, a été licencié. 

 

Membre de la direction d’un établissement aussi central que sous pression, cible de la gauche radicale depuis des semaines, l’homme au look de Viking n’a pas résisté à l’offensive politico-médiatique. L’extrême gauche jubile, le patron du club capitule, et la droite ? Elle détourne poliment le regard.


Un membre de la co-direction ciblé, un symbole exécuté

Depuis l’épisode de la nuit du 8 mars 2025, où agents de sécurité et participants d’une free party illégale se sont affrontés aux abords de la discothèque, Le Jarl est devenu l’homme à abattre pour une certaine frange de l’extrême gauche. Accusé d’avoir usé de la force pour empêcher l’installation sauvage d’une rave « antifasciste » que n’ont pas interrompu les policiers,, le membre de la co-direction a été exposé à la vindicte militante.

Des vidéos circulent, les plaintes fusent, et les élus insoumis se bousculent pour dénoncer, exiger, réclamer sa tête. Marie Mesmeur, députée LFI, a même saisi le procureur de la République, à la fois pour cette affaire mais aussi pour son livre, « ça va mal finir », qui cartonne niveau vente. L’affaire prend une tournure nationale : pas pour parler de l’anarchie ambiante à Rennes ou de la violence endémique des milieux ultra-gauchistes, mais pour liquider un homme jugé coupable d’incarner un ordre que l’on ne tolère plus.


Le 1988 se prosterne

La préfecture avait ordonné une fermeture administrative d’un mois pour « troubles à l’ordre public ». Plutôt que de défendre son équipe ou de dénoncer une tentative de prise de pouvoir idéologique, le 1988 Live Club a décidé de plier, de rompre et de se repentir.

Dans un communiqué publié le 28 mars, le dirigeant de l’établissement, Sébastien Bétin, se confesse : « J’ai trop tardé à mesurer l’impact de certaines dérives individuelles. » La personne visée ne fait « désormais plus partie de l’équipe ». Le message est limpide : pour rouvrir le 24 avril, le club sacrifie son leader charismatique. La sécurité sera réorganisée, une « gouvernance collégiale » instaurée, et l’on jure sur l’honneur de respecter « des valeurs de bienveillance, de neutralité politique et de vivre-ensemble ». La liturgie est complète.


Une droite absente, une victoire de la rue

« Il ne voulait pas qu’elle vive comme une Française »

 

 

Ukraine, France, Macron : le déni partout et tout le temps - JT du vendredi 28 mars 2025


 

Publiée le 28/03/2025

A la une de cette édition : Emmanuel Macron s’entête dans sa posture belliciste avec des nouvelles annonces en décalage avec la réalité de la guerre en Ukraine.

Nous reviendrons ensuite sur le départ d’Alexis Kohler, le fidèle secrétaire général de l’Elysée.

Et enfin, un reportage à la manifestation de l’UPR de François Asselineau.

vendredi 28 mars 2025

On n'a jamais marché sur la Lune

 

Révélations Wikileaks sur Macron et le système En Marche à voir absolument pour comprendre.


 


Copains coquins, copinage, pantouflage, j'hésite!

 

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Société Générale, au secours

 

Allo BFmerde?


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 AFFAIRE EXPLOSIVE : perquisitions pour blanchiment d’argent russe chez l’associé de Tiphaine Auzière, la fille de Brigitte Macron.
 
 Oui, vous avez bien lu. 
 
 L’enquête cible les montages financiers d’un oligarque proche de Poutine : Suleyman Kerimov. Et devinez qui se retrouve éclaboussé ?  
 Frédéric Moréas, avocat fiscaliste… et partenaire professionnel de la belle-fille du président de la République depuis 8 ans.  
 
Alors bien sûr, silence radio dans les grands médias. 
Pas de plateau TV. Pas de breaking news en boucle. 
Mais il se passe clairement quelque chose.  
 L’affaire est grave. 
 
Elle implique de l’argent russe, du pouvoir, et un lien direct avec la famille Macron.
 Et si c’était un autre camp politique ?  Ce serait déjà une tempête nationale. 
 
Mais là ? On temporise. On minimise. On étouffe.  Trop de coïncidences. 
Trop de liens. 
Trop de silence.
 
 Ce dossier mérite qu’on le regarde de très, très près.

Bulletin STRATPOL N°231. 25 ans déjà, Arctique, bunker pour Macron. 28.03.2025.



Ce ramassis d'incapables nous prend pour des cons

 

« Coup de gueule sur TV Finance. Il n’y a rien de plus stérile économiquement que les dépenses de réarmement !». L’édito de Charles SANNAT


 

 par | 28 Mar 2025 |

 

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Je connais mes classiques rassurez-vous.

 Je connais le “Si vis pacem para bellum” si tu veux la guerre prépare la guerre. 

Mais cette locution latine parfaitement juste n’est qu’une partie, une petite partie de l’équation que j’appelle “guerre & paix”. Vous pourriez ajouter utilement l’Art de la Guerre de Sun Tzu ouvrage militaire le plus ancien puisque datant du 6ème siècle avant JC. Pour Sun Tzu la victoire ultime qui doit être recherchée est celle qui s’obtient à moindre coût et la plus belle des batailles est celle qui peut être évitée. Pas à tout prix bien évidemment.

Je connais tout cela et bien plus encore sur la géopolitique, l’histoire tout court ou militaire en particulier, sur la stratégie et la dissuasion et j’ai aussi quelques notions en économie.

J’en suis arrivé à une conclusion.


Les dépenses militaires sont stériles économiquement. Toujours.

Ces dépenses sont indispensables pour nous assurer collectivement qu’un voisin animé d’intentions belliqueuses ne viennent pas nous menacer. Nous sommes tous d’accord là-dessus.

Mais, même si ces dépenses sont nécessaires elles sont quand même stériles !

Il ne faut donc pas venir m’expliquer comme vous pourrez l’entendre dans la deuxième partie de cette vidéo qu’avec les dépenses militaires nous allons augmenter le PIB de la France et de l’Europe en produisant des piles d’obus que nous allons stocker en espérant n’avoir jamais besoin de les utiliser pour tout détruire, avec de l’argent que nous n’avons pas et que nous allons emprunter pour payer des intérêts dessus et que c’est une bonne idée économique.

Vous pourriez me dire que la Russie représente une menace existentielle pour la France et qu’il nous faut nous réarmer massivement pour nous protéger, mais pas me dire que grâce à l’économie de guerre nous deviendrons riches !

Non.

Le réarmement est forcément stérile économiquement, soit nous produisons des chars et des obus que nous stockons sans les utiliser ce qui ne sert à rien, soit nous les utilisons et alors c’est pour tout détruire ce qui est loin d’assurer une grande prospérité. Le réarmement est donc une erreur économique fondamentale, tel qu’il nous est présenté et imaginé par le Mozart du Palais. Il faut se réarmer juste ce qu’il faut, et d’ailleurs si je suis contre le réarmement, c’est parce que je suis pour le maintien en conditions optimales d’un système de défense réel. Je n’ai jamais été de ceux qui voulaient encaisser les “dividendes de la paix” en baissant la garde. Quand on ne baisse pas la garde, on n’est pas contraint de la remonter quand on ne peut plus le faire. Mais dire cela c’était du fascisme. Dire cela c’était passer pour un méchant nationaliste alors que l’Europe c’est la paix. Brillant résultat de l’aveuglement de ceux qui nous font des leçons aujourd’hui.


A un moment les faits doivent se traduire en pensées et en analyses !

Justement, parlons de la réalité de la menace. Pour qu’une menace soit existentielle il faut qu’elle soit immédiate, pas imaginaire. En trois ans de guerre les faits vous montrent qu’il n’y a pas de guerre de mouvements car l’hypersurveillance du champs de bataille et les drones a changé la nature même de la guerre. Nous pensions avoir une guerre de mouvement, nous avons une guerre de tranchées, comme en 14/18 mais encore plus mortelle.

La Russie n’arrive même pas à reprendre le Dombass, et difficilement le territoire même de la Russie conquis par l’Ukraine !

Alors avant que les chars russes défilent à Paris, il faudra d’abord envahir le reste de l’Ukraine et le reste des pays européens.

Cela ne veut pas dire qu’il ne puisse pas y avoir de menace russe. Cela veut dire qu’il ne faut pas raconter n’importe quoi et qu’à un moment les faits sont importants pour penser et analyser.

De la même manière les faits nous montrent qu’avec 3 400 milliards d’euros de dettes nous n’avons pas les moyens de notre ambition guerrière.

L’Autriche suspend le regroupement familial. À quand, la France ?

Capture écran Euronews 
 
Capture écran Euronews

 

Une mesure qui devrait garantir « une maîtrise stricte des flux migratoires » et préserverait « notre modèle social ». 

L’Autriche l’a fait, pourquoi pas la France ? 

Le nouveau gouvernement autrichien du conservateur Christian Stocker a annoncé la suspension du regroupement familial dans son pays. Motivée par les « capacités limitées » et afin « d’empêcher toute surcharge [migratoire] supplémentaire », cette décision est inédite au sein de l’Union européenne. Lors d’un Conseil des ministres tenu à Vienne, le ministre de l’Intégration Claudia Plakolm a promis qu’un décret serait publié « d’ici le mois de mai », assurant que « la probabilité d’une intégration réussie diminue à chaque nouvelle arrivée ». Cette mesure d’une durée de six mois, prolongeable jusqu'en 2027, aura pour effet d’encore diminuer les flux migratoires dans un pays qui a déjà connu une baisse de son nombre de primo-demandeurs d’asile de 61,1 %, en 2024. Mis en place depuis 1976 en France, le regroupement familial fait régulièrement débat. De fait, 61 % des Français sont favorables à sa suppression complète, d'après un sondage CSA pour CNews paru en 2023.


Une décision « pertinente pour la France »

En France, la décision de Vienne fait des envieux, à droite. Peu de temps après l'annonce du gouvernement autrichien, Éric Ciotti, président de l'Union des droites pour la République (UDR), demande que la France suive les pas de l'Autriche, sur X : « Qu’attend le gouvernement français pour mettre fin au regroupement familial à son tour ? » Au Rassemblement national (RN), on félicite une mesure qu’on estime aller dans le bon sens. Contactée par BV, Angéline Furet, eurodéputée RN du groupe Patriotes pour l’Europe, juge cette suspension « pertinente pour la France ». La mesure, selon l’élue, garantirait « une maîtrise stricte des flux migratoires » et préserverait « notre modèle social ».

Même son de cloche pour le député européen RN Aleksandar Nikolic, qui appelle à ce que la France « [suive] cette voie ». « Alors que de nombreux pays européens tels que l'Allemagne, le Danemark ou encore l'Italie durcissent leurs règles, la France prend le risque de devenir le dernier pays ouvert à tous les vents et, donc, un véritable eldorado pour les migrants du monde entier », souligne l’eurodéputé. Pierre Pimpie, élu RN au Parlement européen, emboîte le pas de son confrère, considérant que la présence « des bénéficiaires du droit d’asile » en France « n’a pas vocation à être permanente et ne doit pas se transformer en une immigration de peuplement ».


Des répercussions néfastes pour la France ?