L’émission d’Elise Lucet produisait il y a quelques jours un reportage sur le repeuplement des campagnes. Autrement dit, le grand remplacement, ou en termes plus mesurés la transition démographique.
Comme il fallait s’y attendre, la bonne parole de la télé gouvernementale ne nous a pas déçu. La petite ville de Callac, mais aussi celle de St Brévin les Pins avaient toutes les deux l’honneur d’être placées sous les projecteurs des caméras.
Des caméras qui filmaient seulement ce que la réalisatrice de l’émission voulait bien montrer. C’est à dire, le côté pro-immigration des quelques personnes choisies pour valoriser l’arrivée de migrants dans leur cité. Les autres, celles qui s’opposaient, ( les plus nombreuses), elles étaient réduites à néant. Elles étaient à peu près totalement invisibles.
Ceci dit en passant, cette population exotique trop nombreuse qui encombrait les rues parisiennes et faisait mauvais effet par son côté bidonville, pour le tourisme, est répartie à présent en petits groupes de quelques personnes dans le moindre petit bourg. L’Etat a vite compris qu’en procédant de cette façon il arriverait mieux, par la tactique du saupoudrage à recaser les clandos, et que cela passerait inaperçu.
Tout cela, sans consultation préalable, tout en laissant croire qu’une extrême droite fantasmée menait le combat. Les rares acteurs sur le terrain qui contestaient ces arrivées inopportunes de clandestins étaient soigneusement marginalisées et traitées d’égoïstes dépourvus d’humanité, voire de fachos. Par contre, ceux qui se montraient favorables à leur l’accueil disposaient de presque tout le temps d’antenne. Avec un grand sourire d’Elise Lucet.
Les familles ayant quitté la grande ville pour être plus tranquilles et à l’abri d’une certaine promiscuité n’ont pas eu droit à la moindre parole. Pas un mot aussi sur la violence des antifas qui s’en prenaient rageusement aux manifestants, contre le projet pro-migrants.
En fait, les téléspectateurs ont pu assister à une émission entièrement dévouée à l’immigration extra-européenne, totalement falsifiée en toute malhonnêteté. Dégoulinant de compassionnel et d’humanisme à deux balles. Un chef d’oeuvre de la désinformation. Pourtant il est temps de voir la réalité en face.
Selon l’INSEE, depuis 1968 la population d’origine subsaharienne a plus que doublé. Elle compte à présent plus de 3 millions d’individus. Ce continent de 228 millions d’habitants en 1950 en abritait en 2022 (1 milliard et 426 millions). Le chiffre se passe de commentaires. Le fameux Soros affirmait « Notre plan traite la protection des « réfugiés » comme but et les frontières comme obstacle« .
Le rapport Milloz, en 1999 situait déjà le coût de l’immigration entre 20 et 30 milliards par an. Avec tout cet argent dépensé pour les autres et pas pour les nôtres, il n’y aurait actuellement aucun problème pour payer les retraites. Cette aide se chiffrerait pour 2023 à 736 millions supplémentaires et 1500 de plus pour les aides aux clandos à s’installer dans nos campagnes.
Cette intégration qui ne se fait pas a aussi un prix. Selon le Parquet de Paris: 30% des cambriolages, 44% des vols à la tire, 32% des vols avec violence et un nombre considérable de viols ont lieu dans la capitale de la part des MNA (mineurs non accompagnés). D’autre part, pour les islamistes radicaux l’arrivée de ces nouveaux venus est une opportunité, pour les prendre en charge et les gagner à leur cause.
Ceux qui, endoctrinés qu’ils sont par une propagande médiatique digne de la Pravda de l’ex-Urss, ouvrent les yeux qu’ils tiennent grand fermés et voient la réalité telle qu’elle est. Ces migrants ne sont pas des réfugiés, ils ne viennent pas en France pour 2 ou 3 ans, ce qui serait acceptable. Non, ils viennent pour s’établir ici et ne plus en repartir. Comme le clan Traoré et d’autres qui amènent chez nous leurs mœurs, religion et traditions; nos lois ne sont pas les leurs. Et quand les natifs ont 2 à 3 enfants, ils en ont 8 ou 10, qui sont difficiles à recaser dans le marché de l’emploi. Ce qui se termine par la détestation du pays d’accueil et en revendications toujours insatisfaites.
Pour Alexandre Benalla, (bien connu de Mr Macron) « La France n’est qu’un paillasson sur lequel tout le monde peut venir impunément s’essuyer les pieds ». Je cite encore Driss Ghali, un écrivain essayiste franco-marocain: « La seule chose qui intéresse ce pays est de faire en sorte que sa décadence soit la plus douce et la plus confortable. D’où l’obsession des retraites ». Propos acides mais qui conviennent pourtant à certains français qui font passer le côté matériel de la vie et l’accueil de l’autre, pour se donner bonne conscience. A condition que le reste de la population en subisse les inconvénients. Choix dommageable qu’ils placent avant l’avenir de leur pays.
« L’immigration est le seul défi qui menace la paix civile » (Pierre Brochand ex-directeur de la DGSE)
Onyx
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