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jeudi 7 janvier 2021

Le Grand Reset



Appelé aussi, grande réinitialisation, c’est le nouveau moyen qu’ont trouvé les gros financiers pour faire disparaître ce populisme qui leur fait de plus en plus peur.

Il s’agirait de la concentration de l’activité économique et de tous les profits entre les mains des grandes entreprises mondialisées. Les personnes et les entreprises seraient gérées par l’intelligence artificielle. En fait, la vie dans un monde artificiel !

Un monde déshumanisé, dé spiritualisé, hyper-matérialiste, où tout est informatisé et connecté 24h sur 24h. Totalement éloigné de la vie biologique et de ses lois naturelles.

Le revenu universel, prôné dans une idée faussement généreuse, devrait permettre à tous de vivre avec un minimum garanti. Mais l’idée de consommer reste chez eux primordiale. Le consumérisme tout en maintenant une croissance exponentielle. Cela, avec le soutien du parti des « Verts ». Afin de reconstruire l’économie, après cette pandémie.

Curieusement, cette idée est aussi celle d’une partie de l’extrême gauche. Mais qui financerait ce revenu universel ?

Derrière ce projet, il s’agit pour les uns et les autres, de détruire les sociétés traditionnelles.

C’est le grand chamboulement vers un monde qu’ils veulent nouveau où le capital change de visage, en mettant un masque, mais reste aussi dominateur. Bill Gates en est un des principaux promoteurs, mais il n’est pas le seul. Il reste le plus inquiétant, par sa volonté de supprimer en douceur, plus de la moitié de l’humanité. Peut-être, pense-t-il que le fameux vaccin pourrait être utile.

Selon Klaus Schaab, (l’initiateur du projet), il existe trois formes de capitalisme: L’actionnarial, celui d’Etat et celui des parties prenantes.

Dans ce dernier choix, l’entreprise serait la seule détentrice du pouvoir souverain. Par conséquent, l’Etat se placerait sous la domination de l’entreprise multi et supra nationale. Les Etats étant déjà sous la dépendance bancaire globalisée.

Les lois seraient celles définies par ces trusts tout puissants. Ce qui est aussi le cas en France, avec un Macron et son faux nez, mis en place par ces mêmes super- entreprises.

Mais ce qui pour l’instant reste quand même mal défini serait officialisé. Comme le fichage des individus en fonction de leurs idées politiques. Les retraités ne seraient pas à l’abri d’une ponction sur leur retraite. Il existe un projet d’achat des retraites, par des fonds de pensions américains.

Les entreprises moyennes et petites seraient sous-traitées par les grandes. Quant à la monnaie, elle serait mondiale, pour un « nouveau  contrat social ». Plus d’argent liquide, mais de l’argent dématérialisé.

Leur intention qui peut paraître alléchante au premier abord, comme le salaire vital assuré, est de remettre tout à plat. C’est en fait, un piège à gogo. Une opération bancaire pour sauver le système financier. Avec l’abolition des frontières et le libre échangisme mondial.

Un revenu minimum assuré pour tous, pour désarmer les populistes, qui ne sont pas dupes de leur manigance. C’est une façon détournée de transformer les masses populaires en assistés. Et le virus est une aubaine pour eux. Faillites en vue, cafés et bars remplacés par des grands groupes, comme Mac Do. Qui se rappelle des propos d’Attali ? « Une petite pandémie servira à instaurer un Gouvernement Mondial. »

Des gens qui seraient dépendants de leur générosité, et qui ne réclameraient rien. Des consommateurs dociles. Comme l’écrit Orwell: « Le foot, les films, la bière, le jeu, (tiercé, loto) formeraient tout leur horizon et combleraient leur esprit. Les garder sous contrôle n’était pas difficile. »

Ce serait ainsi la victoire de ce « progressisme », qui tient déjà l’économie, la politique, la culture, l’Information, la Justice et par conséquent les forces de l’ordre.

Mais l’avenir n’est pas ce scénario faussement séducteur. Le réveil des peuples se dessine lentement mais sûrement. Des peuples qui ne veulent pas mourir et retrouvent leur volonté de vivre dans des Nations souveraines.

« Le nationalisme est une attitude de défense, nécessaire par la faiblesse de l’Etat » (Jacques Bainville, historien)

Onyx

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