Publié le 1 juin 2020 - par Jean d'Acre -
Grapiller des informations de-ci de-là sur l’affaire qui a agité
Minneapolis au début, et qui prend désormais des proportions
mondialistes, oblige à poser encore plus de questions plutôt que de
gober sans réflexion les réponses simplistes que les médias autorisés de
la propagande bien-pensante nous infligent.
Un article sur Dreuz info de monsieur Jean-Patrick Grumberg décortique la machine infernale qui ameute les USA.
Ainsi les faits de pillage ne seraient pas à attribuer aux habitants de Minneapolis qui, pour la plupart, déplorent la ruine de leur ville, mais à de véritables troupes fascistes antifas :
« Les Antifas sont des fascistes anti-fascistes qui, selon les experts, opèrent un peu comme les Chemises brunes de l’Allemagne nazie. Ils ne sont jamais difficiles à repérer parmi les manifestants. Regardez ce qu’ils portent : beaucoup de noir, souvent des sweatshirts à capuche, des sacs à dos avec de l’équipement, des radios, des appareils photo sophistiqués, des GO-PRO montées sur des casques, etc ».
Monsieur Grumberg explique pourquoi cette affaire prend une telle tournure médiatique :
« Les médias soutiennent les Antifas – ils sont du même bord politique et chacun contribue à la même cause avec ses méthodes : les journalistes par la désinformation et les attaques incessantes contre les idées opposées aux leurs, les Antifas par la terreur ».
On rappellera qu’aux États-Unis, les policiers de premier rang ne sont pas des fédéraux mais des policiers soit de la ville, soit du comté, soit de l’État local, et non de l’État fédéral.
On voit donc toute la malignité des journalistes, tant américains qu’européens, à attribuer la paternité des bavures policières locales au chef de l’État US, alors que ces forces de police ne dépendent aucunement de lui.
Concernant Minneapolis, les quatre policiers inculpés sont des agents dépendant du maire, monsieur Jacob Frey.
France info nous rapporte un élément curieux concernant le policier qui maintient monsieur Floyd au sol et ce dernier : monsieur Chauvin, le policier, a assuré la sécurité dans un bar pendant 17 ans, et monsieur Floyd a assuré le poste de videur en 2019 une dizaine de fois dans le même bar.
Il s’agit du club « El Nuevo Rodeo ».
Le policier assurait l’ordre à l’intérieur, Floyd vidait à l’extérieur.
Mais TVA nouvelles nous rapporte une information sur leur relation qui aurait couru en réalité sur plusieurs années :
« C’est la vice-présidente du conseil municipal de Minneapolis, Andrea Jenkins, qui a confirmé cette information, qui permet d’en savoir plus sur la relation qu’auraient pu entretenir les deux hommes.
Floyd et Chauvin ont travaillé au El Nuevo Rodeo, situé sur la rue Lake, au centre-ville de Minneapolis, et ce, plusieurs années.
« Ils étaient tous les deux des agents de sécurité de ce restaurant », a déclaré Andrea Jenkins à CNN. « Alors, l’officier Chauvin connaissait George. Ils étaient collègues depuis très longtemps », a-t-elle ajouté.
Se connaissaient-ils comment alors ? Pas du tout, bien, beaucoup, énormément ?
Avaient-ils un contentieux à vider ?
Personnel ? ou d’affaires ? D’affaires pas très claires ?
Une autre curiosité de l’affaire est son déroulement.
Le défunt était soupçonné d’avoir utilisé un faux billet de 20 dollars écoulé dans l’épicerie devant laquelle il a été interpellé au volant de son véhicule.
Le temps que l’épicier, qui aurait reconnu comme faux le billet, appelle le 911 (police secours) et que la patrouille arrive sur place, plusieurs minutes s’écoulent, et monsieur Floyd reste garé.
Interpellé, il sort de voiture sans se défiler et tout ce petit monde se laisse filmer par la foule du quartier pendant encore de longues minutes, dont les 9 où le prévenu restera au sol.
Vous connaissez beaucoup de faux-monnayeurs qui restent garés tranquilles comme Job devant le commerce où ils viennent d’écouler une fausse coupure ?
Ou alors il ne savait pas que le billet était faux ?
Mais alors il pouvait tout expliquer sans être inquiété et donner des pistes aux enquêteurs, savoir l’origine du billet.
Mise en scène organisée ? Dans quel but ?
La mort n’était pas prévue au scénario entre le policier et monsieur Floyd s’ils l’avaient préparé ?
En effet, le rapport d’autopsie, le premier sans doute d’une longue série, ne conclut pas à la mort par asphyxie ou compression uniquement, mais à un décès multifactoriel dont l’un serait la prise de stupéfiants.
Mais nous nous abstiendrons ici d’aller plus loin dans une version des faits, l’enquête en dira plus.
Ce qui devrait inquiéter et mérite d’être observé avec inquiétude, c’est l’exploitation médiatique et activiste de l’affaire.
Le site « les Observateurs » nous rappelle une interview de Georges Soros accordée à Bild en septembre 2014, mais qui est considérée comme une fake new, à qui il aurait affirmé :
« Je vais faire tomber les États-Unis en finançant des groupes de haine noirs. Nous allons les faire tomber dans un piège mental et leur faire mettre les fautes sur les Blancs. La communauté noire est la plus facile à manipuler».
Que ce soit une fake new, soit, mais il n’empêche que l’un des buts de l’open society, association de Georges Soros, est de saper les États qui ne lui plaisent pas.
Ainsi le site Polémia nous renseigne-t-il sur l’objectif poursuivi par l’une de ces associations :
« L’Open Society Justice Initiative vise à culpabiliser les nations occidentales.
Un moyen d’action privilégié de l’OSF est l’Open Society Justice Initiative (OSJI), programme qui utilise le droit pour pousser et aider des individus et des associations à soutenir les objectifs d’OSF par des moyens juridiques et des recours judiciaires. Ceux-ci sont lancés par des juristes rattachés au programme devant les juridictions nationales et internationales.
Il s’agit de « responsabiliser », en réalité de culpabiliser, les décideurs et les gouvernants notamment en matière de discrimination raciale, de justice pénale, d’abus supposés liés à la sécurité nationale et à la lutte contre le terrorisme et de promotion de la liberté d’information et d’expression ».
On a également appris récemment que la Cour européenne des droits de l’homme avait été noyautée par les organes de Georges Soros (Valeurs Actuelles, 20 février 2020, « Le scandale Soros : de l’open sociéty foundations à Strasbourg, l’étonnant parcours de certains juges de la Cour européenne des droits de l’homme », article de Sébastien Lejeune).
Du coup, on doit autopsier l’emballement médiatique et le déferlement de haine sur la ville de Minneapolis avec un regard plus perplexe qu’une énième bavure policière sur simple fond de racisme.
Car la contagion générale guette aussi en Europe.
En France plus particulièrement, les désordres américains et la profession de foi de Georges Soros ne sont pas sans rappeler les agissements de la LDNA et de tous les groupes indigènes et autres, y compris les associations qui se prétendent antiracistes comme le Crif, le Mrap, SOS Racisme, voire la Ligue des droits de l’homme et toute la litanie de groupuscules agitateurs de merdiers.
Et tout cela véhiculé par des influenceurs et prescripteurs comme les Camélia Jordana et autres artistes de cinéma et de la chanson ou du rap qui donnent le rythme de la bonne pensée à tous les médias nationaux autorisés avec une idéologie à sens unique : seul le Blanc serait raciste, il est temps de se révolter, et les pendre comme le chante Nick Conrad sur toutes les ondes.
« La communauté noire est la plus facile à manipuler» selon la fake new attribuée à Georges Soros. En France, ce n’est pas si sûr.
Avec les Antifas, le rapprochement mélanchonisto-communisto-écologiste avec l’islamisme, les anti-tout écolos qui attaquent les boucheries et veulent imposer la destruction de l’économie, les multiples communautés de multiples origines, Turquie, Maghreb, Pakistan, Chine, Afrique noire, cela fait bien une sacrée partie du pays manipulable par les Diafoirus de la lutte contre l’Occident.
La Déclaration universelle des droits de l’homme serait ainsi utilisée comme de nouveaux Protocoles des Sages de Sion, soit comme un faux destiné à égarer et perdre le genre humain occidental blanc.
Ce qui ne déplairait pas à la Chine, à la Russie, à l’Afrique, au Moyen-Orient.
Qui manipule qui ?
Soros lui-même est-il manipulé par des services qui le dépassent ?
Comme il y a eu l’internationale socialiste, nous semblons aujourd’hui assister à une internationale anti-Blancs et anti-Occident qui ne vise qu’à un but : créer une guerre raciale mondiale.
Beaucoup de gens ont oublié Charles Manson. Flower Power, années 60, Californie, nous sommes tous des hippies, Beach Boys surfin’ USA.
Et puis est sorti le titre « Helter Skelter », un morceau de l’album blanc des Beatles qui va agir sur Charles Manson comme un détonateur et lui donner l’obsession de créer de toute pièce une guerre raciale en faisant assassiner par ses ouailles Sharon Tate et les époux La Bianca en faisant porter le chapeau à la communauté noire.
Alors Georges Soros et ses associations, nouveau Charlie Manson ?
Ou des services de déstabilisation de pays friands de gouvernance mondiale sont-ils capables de s’inspirer des faits divers, et de manipuler communautés diverses, médias, politiciens et élites mondiales en détournant à leur seul profit des trucs comme la Déclaration universelle des droits de l’homme tout en jouant sur le ressort du désamour d’eux-mêmes de certains Occidentaux et leur culpabilité pour un passé qui n’a jamais été le leur, mais qu’on leur fait endosser et qu’ils endossent avec une facilité déconcertante due à leur connerie naturelle ?
Bref, des services de puissances étrangères seraient-ils capables, dans le but d’atteindre à une gouvernance mondiale pour le pays qu’ils servent, d’utiliser la crétinerie naturelle des zélites mondiales et mondialistes ?
L’esprit ouvert, moi je peux tout imaginer.
Tenez, figurez-vous que l’Agence de l’innovation défense française a décidé en 2019 de faire appel à l’imagination :
« dans un communiqué publié ce 12 décembre, l’AID a appelé les auteurs et les scénaristes de science-fiction souhaitant rejoindre cette « Red Team » à se faire connaître et à lui envoyer leurs CV, accompagnés d’une lettre de motivation ».
http://www.opex360.com/2019/12/12/lagence-de-linnovation-de-defense-lance-le-recrutement-dauteurs-de-science-fiction-pour-sa-red-team/
C’est vous dire comment nos énarques et politiciens sont des incapables du chihuahua.
Incapables majeurs même, vu que certains ne sont pas tombés de la dernière ondée.
Comment ?
Vous donniez une autre acception au terme « majeur » ?
Ma foi.
Jean d’Acre
Polémia – 23/2/2020.
https://www.polemia.com/les-fuites-de-lopen-society-foundations-de-soros-ingerence-et-subversion/
« Qui est George Soros ? George Soros, né György Schwartz en 1930 à Budapest, est un financier milliardaire américain d’origine juive.
Il est connu pour ses activités de spéculation sur les devises, notamment la livre anglaise qu’il a mise à genoux en 1992, sur lesquelles il a bâti une fortune immense ainsi que par ses activités d’influence politique.
Il est actuellement président de Soros Fund Management, basé à New York, qui gérait, en 2012, 25 milliards de dollars pour lui, sa famille et ses fondations.
Il a fondé et préside l’Open Society Foundations (OSF), dont l’objectif est de promouvoir le « développement de sociétés démocratiques et ouvertes », les sociétés européennes ne l’étant probablement pas assez.
En France c’est un repris de justice.
Il fut condamné pour délit d’initiés dans l’affaire de la Société Générale qui avait vu le gouvernement socialiste de la fin des années 1980 fermer les yeux sur la tentative d’OPA menée par Georges Pébereau et Robert Lyon, président de la Caisse des dépôts.
Le jugement fut confirmé en cassation et il fut condamné à payer une amende de 940.500 euros. Ayant fait un recours auprès de la Cour européenne des droits de l’homme en 2011, il fut débouté.
Selon Wikipédia, Soros utilise une partie de sa fortune à des activités philanthropiques.
En réalité ce sont des activités subversives qui s’inscrivent en pointe des objectifs de l’oligarchie mondiale.
Par exemple, George Soros a donné un million de dollars pour une proposition qui vise à légaliser la marijuana en Californie.
Il a financé à hauteur de 100 millions de dollars Human Rights Watch, sur 10 ans, à partir de septembre 2010.
Il a déclaré à la chaîne de télévision CNN en mai 2014 que sa fondation a pris une part importante dans les événements d’Euromaïdan en Ukraine entre l’automne 2013 et le printemps 2014.
L’Open Society Justice Initiative vise à culpabiliser les nations occidentales
Un moyen d’action privilégié de l’OSF est l’Open Society Justice Initiative (OSJI), programme qui utilise le droit pour pousser et aider des individus et des associations à soutenir les objectifs d’OSF par des moyens juridiques et des recours judiciaires.
Ceux-ci sont lancés par des juristes rattachés au programme devant les juridictions nationales et internationales.
Il s’agit de « responsabiliser », en réalité de culpabiliser, les décideurs et les gouvernants notamment en matière de discrimination raciale, de justice pénale, d’abus supposés liés à la sécurité nationale et à la lutte contre le terrorisme et de promotion de la liberté d’information et d’expression… ».
André Posokhow 18/10/2016.
Donnons 1 euro les gens de bonne volonté, 1 euro a des professionnels du nettoyage; 1 euro pour ce débarrassé de cette vermine de soros 1 euro pour le bonheur de l'humanité.
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