Bien avant qu’un seul Blanc n’ait mis le pied sur le sol africain, l’esclavage
était, depuis de longs siècles, comme un mode de vie, une tradition, en
Afrique.
Tout le monde était esclave ou propriétaire d’esclaves.
On se revendait entre cousins.
Les hommes servaient de monnaie d’échange contre les produits et les biens.
Jusqu’à ce que les Africains nourrissent des liens avec les pays méditerranéens.
Le commerce deviendra triangulaire quand il s’étendra à l’Europe et à l’Amérique à partir du XVIe siècle.
L’historien et anthropologue sénégalais Tidiane N’Diaye affirme que toute traite et esclavage par les Blancs n’aurait pas été possible sans cette collaboration initiée par des fournisseurs africains.
Nos compatriotes noirs sont donc passés entre les mailles.
Félicitons donc Yannick Noah, Omar Sy, Rokhaya Diallo, Christiane Taubira, Lilian Thuram, Louis-Georges Tin et tant d’autres.
Ils ont accédé à la réussite professionnelle malgré le racisme ambiant.
Le sujet passionne nos journalistes.
Ils accusent de tous les maux, et tour à tour, Blancs, ancêtres ou passé.
Est-ce de l’inculture, de la mauvaise foi ou du masochisme ?
Et que dire de la traite oubliée de deux millions d’esclaves blancs en Afrique du Nord ?
Ce mythe de l’esclavage unique initié par les Blancs est cautionné par la gauche et l’extrême gauche depuis quarante ans : SOS Racisme, antifas, anarchistes et autres révolutionnaires s’en nourrissent, et toujours dans cette obsession : détruire notre Histoire pour faire un joli monde neuf.
Non merci, les communistes ont déjà fait le coup.
En supprimant carrément les populations.
Il ne manquait plus que l’huile sur le feu jetée par notre président de la République, voire nos deux grands derniers.
Ils cautionnent, dans leurs discours, cette idée de maltraitance des Français contre l’Algérie et l’Afrique noire.
Bientôt, si on n’y prend garde, les Français de souche n’auront plus qu’à rendre les clés.
Et quitter la France. Mais comment ce pays, à l’Histoire si sombre, reste pourtant le plus visité et le plus admiré du monde ?
L’Histoire du monde n’est-elle pas celle d’une suite de colonisations ?
Le mot n’est ni méchant ni grossier.
Les peuples ont été nomades avant d’être sédentaires.
La France est le premier pays au monde à avoir combattu et interdit l’esclavage, dès le VIIe siècle. D’abord sur son propre sol, sous l’influence de la civilisation chrétienne.
Par décision de la reine Bathilde, veuve de Clovis II, tout esclave était affranchi.
Le terme « France » vient du mot « Franc », « homme libre ».
On ne refait pas l’Histoire.
Sous Louis XIV, le fameux Code noir destiné aux colonies constituera une avancée juridique pour la protection des esclaves.
Mais qui le dit ?
L’ancien secrétaire d’État de Mitterrand, Franco-Togolais, Kofi Yamgnane, récuse toute idée de racisme français et condamne avec fermeté les récents propos d’Omar Sy et Virginie Despentes. Alors, Mesdames et Messieurs Taubira, Diallo, Noah, Thuram, Tin et les autres, faites encore un effort !
Plutôt que des discours, que de donner des leçons, plutôt que de vouloir déboulonner nos statues, puisque vous êtes si sensibles, si concernés et préoccupés par le destin des Africains, faites donc profiter l’Afrique de votre talent, de vos compétences et de vos richesses.
Ce grand continent n’attend que vous.
Isidore
Tout le monde était esclave ou propriétaire d’esclaves.
On se revendait entre cousins.
Les hommes servaient de monnaie d’échange contre les produits et les biens.
Jusqu’à ce que les Africains nourrissent des liens avec les pays méditerranéens.
Le commerce deviendra triangulaire quand il s’étendra à l’Europe et à l’Amérique à partir du XVIe siècle.
L’historien et anthropologue sénégalais Tidiane N’Diaye affirme que toute traite et esclavage par les Blancs n’aurait pas été possible sans cette collaboration initiée par des fournisseurs africains.
Nos compatriotes noirs sont donc passés entre les mailles.
Félicitons donc Yannick Noah, Omar Sy, Rokhaya Diallo, Christiane Taubira, Lilian Thuram, Louis-Georges Tin et tant d’autres.
Ils ont accédé à la réussite professionnelle malgré le racisme ambiant.
Le sujet passionne nos journalistes.
Ils accusent de tous les maux, et tour à tour, Blancs, ancêtres ou passé.
Est-ce de l’inculture, de la mauvaise foi ou du masochisme ?
Et que dire de la traite oubliée de deux millions d’esclaves blancs en Afrique du Nord ?
Ce mythe de l’esclavage unique initié par les Blancs est cautionné par la gauche et l’extrême gauche depuis quarante ans : SOS Racisme, antifas, anarchistes et autres révolutionnaires s’en nourrissent, et toujours dans cette obsession : détruire notre Histoire pour faire un joli monde neuf.
Non merci, les communistes ont déjà fait le coup.
En supprimant carrément les populations.
Il ne manquait plus que l’huile sur le feu jetée par notre président de la République, voire nos deux grands derniers.
Ils cautionnent, dans leurs discours, cette idée de maltraitance des Français contre l’Algérie et l’Afrique noire.
Bientôt, si on n’y prend garde, les Français de souche n’auront plus qu’à rendre les clés.
Et quitter la France. Mais comment ce pays, à l’Histoire si sombre, reste pourtant le plus visité et le plus admiré du monde ?
L’Histoire du monde n’est-elle pas celle d’une suite de colonisations ?
Le mot n’est ni méchant ni grossier.
Les peuples ont été nomades avant d’être sédentaires.
La France est le premier pays au monde à avoir combattu et interdit l’esclavage, dès le VIIe siècle. D’abord sur son propre sol, sous l’influence de la civilisation chrétienne.
Par décision de la reine Bathilde, veuve de Clovis II, tout esclave était affranchi.
Le terme « France » vient du mot « Franc », « homme libre ».
On ne refait pas l’Histoire.
Sous Louis XIV, le fameux Code noir destiné aux colonies constituera une avancée juridique pour la protection des esclaves.
Mais qui le dit ?
L’ancien secrétaire d’État de Mitterrand, Franco-Togolais, Kofi Yamgnane, récuse toute idée de racisme français et condamne avec fermeté les récents propos d’Omar Sy et Virginie Despentes. Alors, Mesdames et Messieurs Taubira, Diallo, Noah, Thuram, Tin et les autres, faites encore un effort !
Plutôt que des discours, que de donner des leçons, plutôt que de vouloir déboulonner nos statues, puisque vous êtes si sensibles, si concernés et préoccupés par le destin des Africains, faites donc profiter l’Afrique de votre talent, de vos compétences et de vos richesses.
Ce grand continent n’attend que vous.
Isidore
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