samedi, 17 novembre 2018
Bernard Plouvier
Les manifestations n’ont jamais entraîné de recul chez nos petits rois : les énormes mouvements de foule n’ont pas empêché Gras Hollande de faire voter une loi antinomique instituant le « Mariage » pour les homosexuels.
L’agitation stérile avait alors procuré beaucoup de publicité aux leaders des pro et des anti.
Le résultat voulu par les maîtres de la manipulation mondialiste avait été obtenu, comme cela le fut pour l’abolition de la peine de mort des grands criminels, pour l’avortement de complaisance remboursé par la Sécurité sociale, pour l’Europe des économies unies faisant le malheur des peuples autochtones ou pour ce phénomène dangereux qu'est l’immigration incontrôlée de millions d’extra-Européens.
Ces manifestations dites « spontanées » (alors qu’elles sont organisées par des agitateurs professionnels) ne servent en rien la cause des Nations.
En outre, les inévitables débordements hystériques occasionnent des morts : on ne doit pas oublier qu’une « gilet jaune » a été massacrée par une toquée utilisant un véhicule-bélier comme un vulgaire djihadiste.
De deux choses l’une : ou l’on se lance dans une véritable révolution - cela se prépare en sachant que cette option coûtera obligatoirement beaucoup de vies humaines et de dégâts matériels - ou l’on choisit l’accès démocratique au Pouvoir et l’on intensifie la propagande honnête et véridique, de façon à obtenir l’adhésion de 60 à 80% de l’électorat de souche européenne… qui, à terme, doit redevenir le seul chef légitime de l’État.
Il est évident que le cirque de Macron et de sa femme est insupportable, venant après les deux mandats de Chirac le Nul-Président des Black-Beurs, après Sarkozy aux bonnes idées, mais uniquement préoccupé de son ego et de son train de vie, après Hollande le grotesque Hyper-Nullard.
Chacun sait les ravages de l’immigration-invasion et la honte des deux mille cités de non-droit sur le sol métropolitain.
Chacun connaît les ravages de l’économie globale qui ont fait de la France un désert industriel, où traînent une vie lamentable six millions de chômeurs pleins ou partiels.
Les problèmes (que les savants disent « structurels ») sont infiniment plus importants et lourds de risques qu’une taxation, même si la charge fiscale, directe et indirecte, devient ridiculement forte en comparaison du désengagement croissant de l’État dans la gestion du Bien Commun, singulièrement pour ce qui est de la sécurité des personnes et des biens.
Nous sommes gouvernés par des clowns incompétents.
C’est une évidence.
Mais ces clowns ont été élus par une majorité de suffrages exprimés.
Au-delà des « manif. » à la petite semaine il faut se décider une bonne fois.
Le choix est simple : Révolution ou prise démocratique du Pouvoir et, dans un cas comme dans l’autre, s’en donner les moyens.
Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent |
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