Sur plusieurs points de saccage, l’acronyme « ACAB » a été inscrit pour revendiquer l’action.
Ce vocable peut signifier « all cops are bastards » (tous les flics sont des salauds) ou encore « All colours are beautiful » (toutes les couleurs sont belles).
En France, ces dernières années, cet acronyme est exclusivement utilisé par l’ultragauche.
Les Zadistes ou des groupes d’extrême-gauche comme « Action Antifasciste Nantes », usent et abusent de cet acronyme.
Dès lors, la signature en guise de revendication apposée sur plusieurs points de saccage dans le quartier des Champs-Elysées, laisse peu de place au doute quant à leurs auteurs.
« A bas l’Etat, les flics et les fachos » peut-on lire sur une autre signature.
Peu probable que la peste brune s’autocritique..
Malgré ces éléments factuels, la République en Marche et le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, imputent les violences à l’ultradroite.
France Police – Policiers en colère ne peut pas dire qu’il n’y avait pas de casseurs d’ultradroite mais notre syndicat peut affirmer que les saccages les plus significatifs ont été perpétrés par des casseurs d’ultragauche, ces derniers ayant pris le soin de signer leurs actions.
Décidément, entre les chiffres fantaisistes de la participation des gilets jaunes et la désignation hâtive et litigieuse de l’appartenance des casseurs, la macronie a dû mal à faire œuvre de transparence et de sincérité.
Juste pour l’anecdote, qui a fait passer en force à l’Assemblée nationale le texte de loi « fake news » contre la manipulation de l’information ?
La République en marche, non ?
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