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mercredi 13 juin 2018

Profanation d’un monument aux morts : l’anti-France en graffitis

 
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La profanation est signée : « Des inscriptions comme “antifrance”, “no border” ou encore “no nation” ont ainsi été retrouvées…»

En 2004, le monument à la mémoire des combattants israélites de Fleury-devant-Douaumont (Meuse) – édifié en 1938 pour honorer les soldats juifs de la Première Guerre mondiale et épargné par les Allemands pendant l’Occupation ! – avait été profané par un sombre individu ayant tagué des symboles nazis dessus.
Ces trop fréquentes profanations sont souvent le fait d’extrémistes de tout bord qui tantôt attaquent des tombes, tantôt des lieux de mémoire, dans le seul but de vomir une haine incohérente et gratuitement cruelle.
Une commune du Gard vient encore d’en faire les frais : « Samedi 9 juin, des individus ont tagué le monument aux morts de la place Carnot à Saint-Jean-du-Gard » (Midi libre).
La profanation est signée : « Des inscriptions comme “antifrance”, “no border” ou encore “no nation” ont ainsi été retrouvées, accompagnées de “A” cerclés, un symbole anarchiste » (Valeurs actuelles).
Michel Ruas, le maire de Saint-Jean-du-Gard, indique qu’il va vraisemblablement porter plainte. D’autant que d’autres bâtiments de sa commune ont été maculés.
Ces tags nauséabonds portent une signature reconnaissable.

À moins qu’il ne s’agisse d’une « affaire de Carpentras » à l’envers.
Auquel cas, je fais par avance mon mea culpa.
Évidemment, le fait que ce monument aux morts soit couvert des noms de pauvres gars issus du peuple, pour la plupart, n’a sans doute pas traversé l’esprit tordu de ces probablement extrémistes de gauche.
En effet, comme un peu partout en France, on doit certainement y trouver des paysans, ouvriers, instituteurs, petits commerçants, etc., c’est-à-dire des hommes qui n’appartenaient pas au grand capital.
Et, à la différence de ces imbéciles du Grand Soir qui viennent d’injurier leur mémoire, ces morts bafoués outre-tombe n’avaient pas, en face d’eux, des forces de l’ordre bridées mais une armée entière qui ne se retenait pas de faire feu.
En effet, ces révolutionnaires plan-plan n’entendent ni ne voient « des vols d’obus [qui] passent, s’abattent, sautent, arrachent des branches, rugissent sous la terre, se vautrent dans la boue, puis tournent comme des toupies et restent là » (Jean Giono, Le Grand Troupeau).
Pire : ils ne risquent pas grand-chose, sauf quelques admonestations, car les pouvoirs publics, malgré les faits, semblent moins craindre leurs débordements violents que les manifestations pacifiques de Génération identitaire, par exemple.

À croire que ce qui penche à l’extrême gauche est oint de l’huile sacrée de la République.
Jusqu’à quand ?
En attendant, j’adresse cette phrase pleine de bons sens à ces révolutionnaires de pacotille : « Nous ne devons point poser l’action révolutionnaire comme moyen de réforme sociale, parce que ce prétendu moyen serait tout simplement un appel à la force, à l’arbitraire, bref, une contradiction » (lettre de Proudhon à Karl Marx).

Incultes antifas de tous les pays, cultivez-vous !

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