Le 17/12/206
par Francesca de Villasmundo — 16 décembre 2016
Chaque jour apporte son lot d’extravagances humanistes en ce monde où progrès rime avec folie !
En Italie, plus précisément à Cagliari en Sardaigne, la direction de l’hôpital a envoyé une circulaire, signée par le directeur Giuseppe Ortu, datée du 13 décembre 2016 (même date que la lettre ahurissante du pape à Anne Hidalgo au sujet de ces mêmes migrants!) aux chefs de service leur demandant de libérer des places pour les migrants :
« En prévision du débarquement des migrants prévu pour la journée d’aujourd’hui, nous vous invitons à faire le nécessaire pour bloquer les hospitalisations programmées et renvoyer les patients en état de rentrer chez eux, afin de pouvoir affronter l’éventuelle situation d’urgence. »
L’hôpital a donc choisi de soigner en priorité les migrants avant les Italiens sans tenir compte des impératifs de ces derniers, de leur état de santé qui les oblige à être hospitalisés, des opérations prévues, de leur agenda, etc.
Toutes considérations qui auraient du freiner leur élan humaniste envers des étrangers clandestins.
Le dicton « l’hôpital qui se moque de la charité » va comme un gant à cette direction inhumaine !
Toutes considérations qui auraient du freiner leur élan humaniste envers des étrangers clandestins.
Le dicton « l’hôpital qui se moque de la charité » va comme un gant à cette direction inhumaine !
« Une action qui frise la folie, s’emporte le députe autonomiste sarde Marco Pili, et la dégénérescence dans la gestion de cette immigration. C’est tout simplement incroyable qu’une note officielle ait mis en place cette folie sanitaire. Nous sommes devant des mesures qui laissent stupéfaits et soulèvent des doutes sérieux sur la capacité de gestion de la Santé. »
Un autre doute nous envahit : comment cela se fait-il que l’hôpital connaisse à l’avance le débarquement des clandestins et s’organise en conséquences ?
Si la direction hospitalière est au courant, l’État italien l’est nécessairement également.
Alors ! Ne serait-ce pas là une preuve supplémentaire de la complicité du système politique actuel dans l’invasion migratoire qui submerge l’Europe, de sa connivence avec les forces mondiales qui ont planifié ce Grand Remplacement ?
Si un hôpital est capable de prévoir un débarquement combien plus un État devrait être capable d’empêcher ce même débarquement…
Si la direction hospitalière est au courant, l’État italien l’est nécessairement également.
Alors ! Ne serait-ce pas là une preuve supplémentaire de la complicité du système politique actuel dans l’invasion migratoire qui submerge l’Europe, de sa connivence avec les forces mondiales qui ont planifié ce Grand Remplacement ?
Si un hôpital est capable de prévoir un débarquement combien plus un État devrait être capable d’empêcher ce même débarquement…
Francesca de Villasmundo
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