18 décembre 2016
Obama reste décidément déterminé à utiliser chaque heure qui reste de son mandat de président pour continuer sa charge pathétique contre la Russie et son Président.
Il a ainsi accusé publiquement la Russie d’avoir mené une campagne informatique visant le Parti démocrate pendant la campagne électorale aux États-Unis, et mis en cause Vladimir Poutine qui aurait dirige personnellement les cyber-attaques!
Dans la foulee, Obama a menaçé Vladimir Poutine de représailles pour son ingérence présumée dans les élections.
Aujourd’hui, nouvelle déclaration fracassante « la Russie est un petit pays qui vend du pétrole, du gaz et des armes ».
Selon une source bien informée, Vladimir Poutine se serait étranglé de rire en dégustant un bortsch.
Mais ses crises de délire déclenchées par le dépit d’avoir vu sa protégée Clinton se faire renvoyer chez elle par les électeurs pourrait avoir de graves conséquences de par certains de ses actes.
C’est ainsi que pour envoyer « un signal clair à la Russie », Obama envoie en Hollande des chars Abrams, des véhicules de combat d’infanterie Bradley, des obusiers M109 Paladin pour former encore une brigade lourde en renfort de la 173e brigade aéroportée US et du 2e régiment de cavalerie qui y sont déployés.
Egalement, Obama, qui se plaint régulièrement des « provocations Russes », envoie ses forces stratégiques aériennes aux frontières de la Russie, visites qui se sont intensifiées ces 3 dernières semaines.
On notera que les services se sécurité Russes, y compris les forces armées, ont reçu des consignes d’ « extrême vigilance » plus particulièrement jusqu’au 20 décembre.
Ce jour est en effet en principe le jour ou Donald Trump sera officiellement prochain Président des Etats-Unis et aura donc son mot à dire sur toute action présidentielle.
Bien qu’un coup d’éclat d’Obama soit plus que très improbable, la Russie est prête à tout.
Comme a très justement déclaré Alexandre Orlova, ambassadeur de Russie en France, «Barack Obama n’est plus président des États-Unis.
Enfin si, mais seulement officiellement.
Il peut dire tout ce qu’il veut», a estimé M. Orlov.
En d’autres termes « Cause toujours, on s’en fiche ».
Le cas Obama relève sans doute aujourd’hui de la psychiatrie.
Espérons que le Président Trump accordera à son prédecesseur un accès gratuit aux meilleurs spécialistes!
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