06/11/2013 – 20h25
PARIS (NOVOpress) – La crise sociale et économique s’accentue, l’exécutif et la majorité législative n’ont jamais été aussi impopulaires, la crainte d’une contagion de la révolte des Bonnets rouges associant révolte sociale et fiscale et problématique identitaire n’a jamais été si forte, mais que fait le gouvernement ?
Eh bien, ils nous ressort les gros sabots d’une propagande d’un supposé racisme de la société française et des Français.
Cela a commencé hier avec la tribune publiée par Le Monde du journaliste vedette de TF1 Harry Roselmack
La Une du “Parisien” qui s’interroge sur une France raciste.
Un Harry Roselmack qui fustige « la France raciste », mais qui doit son poste à TF1 à un lobby très efficace quant à la discrimination positive, le Club Averroes, suite à une promesse de Nicolas Sarkozy.
Et Harry Roselmack est lui-même membre de ce lobby qui vise à faciliter l’intégration des minorités au sein des postes d’influence.
Dans cette tribune Harry Roselmack indique s’insurger contre le « racisme » dont serait victime Christiane Taubira.
Et là patatras, Libération fait sa Une aujourd’hui avec un entretien où le garde des Sceaux fait aussi part d’un supposé racisme des Français.
Sans oublier la Une du Parisien d’aujourd’hui.
Entretien avec Libération au cours duquel elle s’insurge contre une soi-disant libération de la parole, et de politiques responsables de la montée de ce prétendu racisme.
Et pis que tout, Christiane Taubira s’offusque du peu de réactions face aux attaques « racistes » qu’elle aurait subies depuis les manifestations contre le mariage gay.
Et si c’était cela le vrai fond de l’affaire ?
Trouver l’argument ultime pour sauver le soldat Taubira. Surtout quand les conséquences délétères de ses réformes laxistes, positives pour les bourreaux et négatives pour les victimes, vont se faire sentir.
Oui, trouver la parade sidérante comme le décrit si bien la fondation Polémia.
Celle qui vous oblige à justifier à chaque fois que vous critiquez un fait ou un projet que vous n’êtes pas raciste.
Justification qui malgré tout vous rend suspect.
Et cet énième procès en racisme des Français arrive opportunément face à une réaction des Français, qui confrontés à la réalité hyperviolente du Grand remplacement veulent tenter autre chose.
Pour tant le réel est bien là, et comme l’indique Gabriel Maztneff dans a tribune pour Le Point : « La première fois que, regagnant ma garçonnière après un dîner chez des amis, je me rendis compte que dans le wagon de métro (entre la station Gare-de-l’Est et la station Odéon) j’étais l’unique voyageur blanc, que tous les autres étaient soit noirs soit café au lait, cela me surprit tant, je sortis mon carnet, mon stylo, et je le notai. C’était en 1977 ou 1978. Je le notai sans acrimonie, comme j’aurais noté n’importe quelle autre bizarrerie ou curiosité, mais aujourd’hui cette phrase, lue par un oeil malveillant, pourrait assurément être interprétée comme un aveu de racisme. En effet, si nous avions été tous blancs, je n’aurais rien noté. Je n’ai sorti mon carnet et mon stylo que parce que j’étais le seul et que c’était la première fois. »
Et comme le fait remarquer Fabrice Robert ce combat contre le racisme sert aussi à nier la réalité de sociétés multiraciales.
Et ce d’autant que Christiane Taubira expliquait lors de la dernière élection présidentielle que le mot race allait disparaître (ce qui a été fait).
Mais alors si le mot race n’existe plus, cela voudrait-il que le racisme n’a plus de raison d’exister, et qu’il n’a plus à être utilisé ?
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