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samedi 8 juin 2013

Retour sur la mort de Clément Méric: pourquoi, ce que cela implique, ce que cela cache…



Cela lance un débat certes délicat mais justifié: qui sont réellement les plus violents dans cette histoire?

Les « antifas » qui représentent la tolérance, le respect de l’autre et qui sont sensés être « du bon côté » ou les « skinheads » qui sont censés être systématiquement violents plutôt que enclin à fuir pour éviter les problèmes, pleins de haine et forcément dangereux?

Le souci, c’est que les témoignages et les articles commencent à pointer du doigt les provocations et incitations à se battre des antifas. Qui est donc réellement responsable dans cette histoire?

L’un de ces deux « clans » ou ceux qui derrière, tirent des ficelles et ont provoqué de telles tensions?




Un témoignage exclusif publié par le site du Point révèle que les skinheads, soupçonnés d’être responsable de la bagarre qui a coûté la vie à Clément Méric, ne l’ont pas provoquée. Selon le vigile présent lors du drame, c’est l’un des acolytes du militant anti-fascistes qui les aurait nargués.

Retournement de situation dans l’affaire Clément Méric. Si l’on en croit l’article publié par Le Point, un témoin met en cause les quatre militants antifascistes, parmi lesquels se trouvait Clément Méric, décédé des suites d’une bagarre entre les deux clans.
D’après le vigile, qualifié par la police de « témoin principal », l’un des membres du groupe aurait incité les autres à se battre avec les skinheads. Ces derniers auraient même tout fait pour éviter l’affrontement en tentant de s’éclipser avec discrétion.

Selon lui, Clément Méric, qui ne semble pas avoir suivi l’appel à la provocation lancé par son ami, aurait lâché:
« Ce sont des gens (les skinheads) qui ne devraient même pas être vivants ».
Toutefois, il insiste en faisant porter la responsabilité au « meneur » des quatre militants d’extrême gauche, prétextant que si l’un d’eux n’avait pas poussé à se battre, rien ne se serait passé. Les images des caméras de surveillance devraient permettre de confronter les versions sur le déroulement de l’incident qui a eu lieu mercredi soir à la sortie d’une vente privée à Paris.

À cette heure, on apprenait que Serge Ayoub, le leader des Jeunesses nationalistes Révolutionnaires (JNR), était entendu par la police. Huit autres personnes, associées au milieu d’extrême droite, étaient en garde à vue vendredi matin. Dont l’auteur présumé du coup mortel.

Source: 7sur7.be

D’autres articles mettent en avant les provocations des antifas ayant amené à cette fin funeste pour un gosse de 18 ans, comme ici dans le journal Le Monde. Le souci n’est d’ailleurs plus de savoir qui a provoqué qui, qui est coupable ou non, mais ce que cela implique et la récupération qui en est faite.

Car si nous avons des médias qui en font les Unes, à savoir qui récoltera le plus grand nombre de lecteurs ou qui se montrera le plus indigné, les politiques n’oublient pas de faire leur cinéma, allant jusqu’à pleurer sur des plateaux-télé, accusant l’extrême droite, folle meurtrière intolérante et complètement condamnable.

Au niveau manip et récupération du drame, on se croirait presque revenus au début des années 80 avec SOS racisme qui inventait des agressions xénophobes pour justifier ses actions et ses passages télé, entre autres manips et bidonnagesdénoncés par Serge Malik, un des fondateurs de Sos Racisme avec Harlem Desir, mais également parOmar Djellil qui à sa manière, est « un des extra-terrestres » de la scène politique en France.

Pourtant, ces groupuscules ont toujours plus ou moins existé, ils ont toujours été connus et surveillés, et ont même été utilisés comme des pièces d’un jeu d’échec au fil des années par les politiques durant leurs campagnes pour appuyer tel ou tel argument, faire passer telle loi, orienter l’opinion des français, etc…
 
Si le danger était aussi réel que cela, pourquoi ne jamais les avoir interdit?
Pourquoi attendre aujourd’hui et cet événement tragique pour vouloir les faire interdire?

Car c’est également la suite logique proposée par nos politique, faire interdire ces groupuscules haineux, en même temps que l’Union Européenne cherche à faire sauter l’immunité parlementaire de Marine Le Pen, une simple coïncidence surement…
 
Par contre, aucune interdiction contre les groupuscules d’extrême gauche comme le Parti des Indigènes de la République qui est considéré par le journal Marianne comme étant haineux, faisant du racisme anti-blancs, anti « français de souche » appelés aussi « souchiens » (comprendre sous-chiens), etc… Il y a une différence de traitement, et pas des moindres, il suffit simplement de chercher à comprendre ce qui se cache réellement derrière tout cela.

Car derrière cette envie d’interdire tout ce qui se rapporte aux groupes et mouvements racistes, ce qui serait une erreur monstrueuse puisqu’ils ne pourraient plus être surveillés ni contrôlés, il y a une autre motivation d’agir.

Ce n’est pas réellement le « racisme » qui représente un danger pour eux mais ce qu’il reste de « nationaliste » en France, la seule chose pouvant représenter un rempart, aussi fin et fragile soit-il, contre la mise en place complète d’un accord transatlantique.
N’oublions pas l’éternel raccourci qui fait que le nationalisme est obligatoirement raciste, alors que ce sont deux choses bien distinctes, une bonne occasion de lire ou relire cet article expliquant ce qu’est réellement le nationalisme.

Depuis des décennies, les politiques qui se sont succédé ont tout fait pour détruire la France et ce qu’elle représente: ses frontières qui n’existent plus, sa banque centrale (maintenant gérée par Bruxelles, merci François Hollande), sa dette (possédée par des investisseurs étrangers), sa bourse (possédée par Wall stret), ses régions (actuellement en cours), sa monnaie (et vive l’euro qui explose…), depuis tout ce temps, c’est toujours plus d’Europe et toujours moins de France pour que l’accord transatlantique puisse être mis complètement en place.

Il n’y a plus réellement besoin des pions de l’extrême droite sur l’échiquier mondialiste, alors qu’ils soient interdits pour que le reste s’accomplisse, à la gloire des USA…

Aussi terrible que cela puisse paraître, toute cette histoire, la mort de ce gosse ne s’annonce que comme étant une justification pour virer un extrême encore souverainiste de la scène politique, une orientation politique qui prend un peu plus de pouvoir chaque semaine et qui met nombre d’intérêts mondialistes en danger…

Vous l’aurez surement compris, il n’est pas question ici de défendre l’extrême droite quelle qu’elle soit, un extrême reste un extrême et peut être potentiellement dangereux, radical dans ses opinions, quel que soit le bord politique pointé.

Ce n’est pas ici une chasse au raciste qui est lancée mais une chasse au souverainiste, et bien malgré lui, un jeune de 18 ans, convaincu par ses idées, est devenu post-mortem un pion sur un jeu d’échec que nous ne sommes pas censé voir…

http://lesmoutonsenrages.fr/2013/06/07/retour-sur-la-mort-de-clement-meric-pourquoi-ce-que-cela-implique-ce-que-cela-cache-2/comment-page-1/#comment-194306

1 commentaire:

  1. Je pense qu'il ne faut pas chercher de responsable à l'histoire. Si un événement se produit, c'est que tout le monde a contribué à sa réalisation, consciemment ou inconsciemment. Il faut juste en tirer des leçons pour forger un bel avenir.

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