Vladimir Poutine a poussé un ouf de soulagement.
A cause de ces satanés Jeux Olympiques, Emmanuel Macron se voit contraint de reporter sa déclaration de guerre à la Russie. Mais ce n'est que partie remise. Dès septembre, branle-bas de combat. Envahissement de la place rouge, prise du Kremlin et enfin retour à Paris avec le despote ficelé à l'arrière d'un camion.
Dans son QG de crise, le président règle les derniers préparatifs de ces J.O. de malheur, qui viennent retarder l'anéantissement des forces russes. Gérald Darmanin, blanc comme un linge, est venu faire part de ses doutes. Sécuriser les bords de Seine est un casse-tête. Six kilomètres le long desquels des spectateurs se seront amassés. Des deux côtés ! Le niveau Vigipirate a été relevé à son maximum, Anne Hidalgo est écarlate.
Une « coalition internationale » pour sécuriser les JO
Un coup de fil du ministère des Armées vient détendre l'atmosphère. Un futur conquérant des plaines de Sibérie annonce que plusieurs nations étrangères viendront renforcer la sécurité des Jeux de Paris.
Touché par la détresse des organisateurs, le ministre polonais de la Défense annonce sur X que des troupes se préparent à « rejoindre la coalition internationale mise en place par la France pour soutenir la préparation et la sécurité des Jeux olympiques d'été 2024 ».Face au déficit des capacités cynophiles françaises, la Pologne amènera des chiens renifleurs. Un doute assaille Bruno Lemaire. Le stock de croquettes est au plus bas. Peu importe. Ils mangeront les restes des repas des athlètes. Il est capital de les garder en forme pour attaquer les loups qui rodent dans les faubourgs de Moscou.
Sus à Poutine!
Un conseiller de la mairie de Paris arrive essoufflé. On n'a toujours pas retrouvé l'ordinateur et les clés USB contenant des informations sur la sécurisation des JO. Une autre mauvaise nouvelle s'affiche au bas d'un article du JDD. « Un dispositif anti drone s'est montré défaillant lors d'un récent essai ». Mais Emmanuel Macron est confiant. Tout semble réuni pour faire face à une éventuelle attaque venue des sous-sol. Plus aucun doute. Le petit périmètre parisien sera sous contrôle grâce à l'apport de forces extérieures. Les voir partir le 11 août sera un soulagement. Enfin, l'heure de la mobilisation aura sonné. Sus à l'ennemi ! Franchir Saint-Denis, puis La Courneuve, bataille remportée de haute lutte à Sarcelles, encerclement de la cité de Villiers-le-Bel... Un peu de patience, Zélenski ! L'armée du général Macron s'entraîne à libérer l'Ukraine.
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