Hommes en armes dans les rues, fusillades... : un habitant filme son quotidien terrifiant au quartier Pissevin à Nîmes pic.twitter.com/pB6cqZIobs
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) August 24, 2023
Marque des règlements de compte, la Kalachnikov est de plus en plus utilisée par les dealers, y compris des équipes de moyenne envergure.
Des douilles de 7,62 mm entourées à la bombe de peinture ou symbolisées par de petits chevalets jaunes. Cette marque des règlements de compte à l’arme de guerre a depuis longtemps franchi les frontières des Bouches-du-Rhône ou de l’Île-de-France. Rien que depuis le début de l’été, les fusils d’assaut ou leurs munitions ont claqué en rafales à Hyères (Var), Valence (Drôme), Grenoble (Isère) ou encore Châtellerault (Vienne) pour ne citer que ces communes.
La « Kalach » s’est démocratisée. Les derniers rapports sur la criminalité organisée en France notent que la prolifération de ces armes extrêmement létales s’est intensifiée depuis les années 2010-2015. « Il y a encore 15 ans, détenir une kalachnikov ou un fusil d’assaut du même type était signe de puissance, aujourd’hui ce n’est plus un signe extérieur de force, c’est presque devenue l’arme commune », analyse un officier de PJ. (…)
(…) « La guerre en Ukraine, c’est à dire la prolifération de fusils d’assaut aux portes de l’Europe, va immanquablement nourrir ce commerce dans les années à venir. »
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