Les plus grandes banques canadiennes se déconnectent mystérieusement
Les institutions financières touchées par la panne du 16 février 2022 comprenaient la Banque Royale du Canada (RBC), BMO (Banque de Montréal), la Banque Scotia, la Banque TD Canada et la Banque Canadienne Impériale de Commerce (CIBC).
Le nombre de plaintes de personnes éprouvant des difficultés à accéder à leurs services bancaires en ligne a culminé entre 17 h et 18 h, heure de l’Est, le mercredi 16 février, tandis que des comptes rendus sur ce problème se produisaient encore le jeudi 17 février, selon un rapport de BleepingComputer .
« Nous rencontrons actuellement des problèmes techniques avec nos services bancaires en ligne et mobiles, ainsi qu’avec nos systèmes téléphoniques », a confirmé un représentant de RBC.
“Nos experts enquêtent et travaillent pour résoudre ce problème le plus rapidement possible, mais nous n’avons pas d’ETA à fournir pour le moment. Nous apprécions votre patience.”
Les clients de BMO ont également signalé des problèmes. Un client a déclaré : “J’ai des problèmes et le transfert d’argent automatique est rejeté sans raison. Je ne dépasse pas ma limite, toutes les informations sont vérifiées et la banque réceptrice indique qu’il n’y a aucun problème de leur côté.”
Il y a eu d’innombrables histoires de clients qui ont eu du mal à accéder à leurs fonds. Aucune banque n’a expliqué les raisons de ces pannes, mais il est essentiel de noter qu’elles sont survenues quelques jours après que Trudeau ait invoqué la « Loi sur les mesures d’urgence ».
Par ailleurs, Finbold avait signalé, le 16 février, que la police canadienne avait bloqué plus de 30 portefeuilles cryptographiques associés aux camionneurs du « Freedom Convoy » après avoir émis une ordonnance obligeant toutes les organisations réglementées par CANAFE au Canada à cesser d’interagir avec les portefeuilles.
Les banques doivent, même, signaler aux services secrets les participants aux manifestations parmi leurs clients.
Y aura-t-il une énorme ruée vers les banques au Canada ? Le système bancaire est-il défaillant ? Est-ce le début de la « grande réinitialisation » ? Nous ne le savons pas, mais les gens signalent des problèmes de retrait et de nombreuses banques sont hors ligne.
Trudeau provoque un « Bank Run »
Il y a eu beaucoup de spéculations sur les pannes. Certains utilisateurs de Twitter ont déclaré que les banques simulent des pannes pour minimiser les ruées bancaires alors que les gens perdent confiance dans le secteur bancaire, à la suite des commentaires de Trudeau plus tôt dans la semaine.
« Pensez-vous que les gens garderont leur argent dans des institutions qui peuvent maintenant facilement le leur confisquer ? » a déclaré un utilisateur de Twitter.
En invoquant des pouvoirs de « guerre » par la loi d’urgence et son ordonnance de saisie des comptes bancaires de toute personne effectuant un don au convoi de la liberté, le premier ministre canadien a (apparemment) déclenché une BANK RUN au Canada.
En effet, les retraits sont si répandus que les plus grandes banques du Canada se sont retrouvées hors ligne.
Il semblerait que les Canadiens comprennent que leur gouvernement s’est transformé en tyrannie et ils ne font tout simplement plus confiance aux politiques ou aux banques. Étant donné que les banques du pays se sont rangées aux ordres de Trudeau pour saisir les fonds de manifestants pacifistes, les Canadiens commencent à réaliser que les banques pourraient tout aussi facilement se retourner contre eux !
De fait, beaucoup de personnes commencent à mettre leurs précieuses économies à l’abri, avant que l’État ne s’en empare. Les distributeurs automatiques de billets sont vidés dans tout le pays, plusieurs grandes banques ont enregistré une augmentation sensible des pannes de guichets automatiques. Selon les premières informations, certaines banques ont déjà commencé à bloquer tous les retraits de tous leurs clients.
Dans une dernière action désespérée, Trudeau et sa clique assimilent désormais les manifestants pacifiques à des terroristes ou des criminels et veulent confisquer leur argent. Mais le peuple semble avoir devancé le plan totalitaire du “Young Global Leader” de Davos en prenant d’assaut les banques.Trudeau en bon petit soldat de Davos
Le petit Justin entretient depuis son élection une relation étroite avec Davos. Il est passé par l’école de cadres du WEF, les “Young Global Leaders” et figure sur son site en tant que “Agenda Contributor”. Quelques mois après son entrée en fonction, il s’était déjà rendu à la réunion de 2016. Deux ans plus tard, il a renouvelé sa visite. Il avait alors surtout fait l’éloge des plans du WEF visant à développer l’intelligence artificielle et avait parlé de “l’importance des valeurs progressistes dans le contexte de la mondialisation”.
Il était alors accompagné de Chrystia Freeland, qui n’est justement pas seulement “vice-première ministre et ministre des finances”. Elle dispose en effet d’un excellent réseau parmi les mondialistes.
L’ancienne ministre des Affaires étrangères et du Commerce a été le moteur de l’accord de libre-échange CETA avec l’UE et a reçu un prix de l’influent “Atlantik-Brücke”. Elle est en outre membre du conseil d’administration de la fondation de ce même Forum économique mondial autour de l’architecte du “Great Reset” Klaus Schwab. Elle est donc le choix idéal pour être le bras droit de Trudeau.
Le fait que le WEF s’engage en faveur de la surveillance des monnaies numériques par les banques centrales s’inscrit parfaitement dans les évènements récents qui ont lieu au Canada. Cela faciliterait encore plus l’élimination les « dissidents » de la vie économique.
Les masques tombent et la tentative des élites « davosiennes » de subvertir la démocratie locale est pleinement visible et bien en vue. Trudeau, en grand admirateur de la dictature du PCC, a montré au monde entier comment cette caste tente, par la force, de mettre en place le crédit social.
Mais avec le succès des camionneurs, cette fraude intellectuelle du consentement « unanime » commence à tomber. Cette fraude devenue difficile à faire perdurer, il ne reste plus que la violence au gouvernement de Trudeau.
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