Comme on le voit, l’Agence rapporte plusieurs centaines de cas problématiques durant la grossesse, y compris plusieurs centaines de cas graves, soit d’affections puerpérales, soit de troubles généraux, soit d’affection du système nerveux ou des organes de reproduction. Autant de cas graves en aussi peu de temps soulève une vraie question sur notre capacité à “encaisser” aujourd’hui, à admettre, à tolérer, des effets indésirables du vaccin sur une population qui n’a guère souffert de mortalité du fait du virus.
En réalité, alors que les cas d’effets graves du virus sur les femmes enceintes sont exceptionnels, les effets graves indésirables du vaccin sur cette population sont beaucoup plus nombreux, semble-t-il.
Les autorités sanitaires n’ont pour l’instant pas pris le soin d’expliquer en détail ni d’argumenter le “bénéfice-risque” du vaccin sur les femmes enceintes. Mais il n’est pas sûr que toutes aient conscience des risques qu’elles endossent en subissant la vaccination. Une bonne lecture permet pourtant de clarifier les choses : on retiendra en particulier que la majorité des effets indésirables est constituée de cas graves (comme on le voit ici) et que l’énumération des cas ne manque pas d’intérêt. Sauf pour celles qui ne veulent rien voir, bien entendu.
Chacun jugera, au vu des documents, de la dangerosité réelle du vaccin, loin, en tout cas, de l’innocuité garantie par le ministre.
Et encore ne
s’agit-il ici que de chiffres officiels.
Olivier Véran a vacciné sa collègue avec du sérum physiologique, qu'on se le dise !
RépondreSupprimerC'est navrant de dire ça et de ne pas se poser quelques questions avant. Mais il y aura des candidates enceintes pour y aller,elles ne devront pas se plaindre après c'est trop tard car le subterfuge c'est que la vaxx n'est pas obligatoire mais est conseillé .....
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