Le lanceur d'alerte a dit la vérité, "Il doit être exécuté"... *
À Julian Assange, emprisonné pour avoir dit la vérité.
Les temps sont durs pour les lanceurs d’alerte.
Ils ont toujours été durs, comme en témoigne le calvaire du plus symbolique d’entre eux, Julian Assange, emprisonné en Angleterre et menacé d’extradition aux États-Unis pour ses révélations notamment de crimes de guerre commis par l’armée états-unienne.
Emprisonné, torturé psychologiquement, menacé de mort.
Pour avoir ‘simplement’ révélé quelque chose de vrai. Si monsieur Assange avait visé la Chine ou la Russie, les États-Unis l’auraient décoré et Le Monde, encensé.
Comme Julian Assange le dit : « en fin de compte, la vérité est tout ce que nous avons » et la vérité n’a pas de camp, seulement des relais courageux.
Aujourd’hui, il ne fait vraiment pas bon être lanceur d’alerte.
Dans les bons jours, les journalistes les appellent « complotistes », les amalgamant aux dingues ou aux charlatans.
Dans les mauvais jours, de plus en plus en fait, ces journalistes, ces scientifiques ou conseillers gouvernementaux les traitent d’extrémistes (en général de droite, j’ignore pourquoi), de manipulateurs pervers, de gourous aux intentions sectaires, d’irresponsables, voire ils recourent carrément aux injures et aux menaces.
Le pire est que ces accusateurs retournent la situation en faisant passer les lanceurs d’alerte jugés, harcelés, vilipendés pour les troubles fêtes agressifs qui feraient cela pour …
Pour quoi finalement ?
C’est vrai, c’est la bonne question.
Pour le plaisir de perdre son emploi ? Pour le bonheur d’être diffamé, sali, jugé dans la presse ?
Pour ceux qui ont été licenciés, menacés de mort, qui ont subi l’exclusion, la diffamation, l’injure, le mépris, la violence verbale, pour quoi donc feraient-ils cela ?
Une carrière politique ?
De l’argent ?
Être sous les projecteurs devant une foule en liesse ?
Vraiment ?
Sérieusement ?
À quoi pensent ces personnes quand elles affirment que des lanceurs d’alerte surfent sur la vague du complotisme pour faire de l’argent, amalgamant ceux qui tentent peut-être de le faire avec ceux qui n’ont pas pu mentir, se taire, risquant tout pour cela, leur travail, leur réputation, leur vie de famille, leur vie sociale, leur vie même ?
Le prix disproportionné de leur intégrité et de leur sincérité.
Les critiques ne considèrent jamais le message, tout occupés qu’ils sont à fusiller le messager.
Ainsi, cette lanceuse d’alerte qui révèle sur l’Organisation Mondiale de la Santé, l’OMS, ce rapport publié en 1992, à Gênes, sur les vaccins régulateurs de fertilité.
Ce document appuie indiscutablement la thèse de la corruption de cette organisation depuis au moins 30 ans, organisation que nous laissons pourtant prendre la gestion de la crise du COVID-19 en main.
Son but est et a toujours été de nous stériliser au travers des vaccins.
Rapport de l’OMS : les vaccins régulateurs de la fécondité – IFN (ifamnews.com)
Cela fera-t-il l’objet d’une réflexion rigoureuse, impartiale de la part des vérificateurs de faits ? On peut toujours rêver. Comme à leur habitude, ils préféreront diffamer l’auteur de cet article.
Tiens, et celui-ci qui démontre que le passe sanitaire est le premier rouage du processus de gestion totalitaire mondialisé ?
Le passe sanitaire premier stade du processus de gestion totalitaire mondialisé – les 7 du quebec
Qu’en feront les vérificateurs de faits ? Rien.
Si, un prétexte à diffamer son auteur, ou le site hébergeur qu’ils rattachent en général à l’extrême droite, tant que cela les diabolise dans l’esprit des profanes qui lisent et croient encore les médias « mainstream ».
Les cerveaux des gens sont LE terrain de bataille, l’enjeu que le système totalitaire mondial (STM) veut s’approprier définitivement, ne supportant aucune concurrence dans cette course à la pensée unique.
Tiens, et que feront les vérificateurs de faits et ces journalistes autorisés, les professionnels de la bonne information, de celle-ci :
COVID-19 : l’étau se resserre autour du menteur Anthony Fauci.
Covid-19 : l’étau se resserre autour du docteur Anthony Fauci (voltairenet.org)
On y lit que Monsieur COVID-19 aux États-Unis a détourné de l’argent public US pour financer des recherches —illégales aux États-Unis— effectuées par le laboratoire P4 de Wuhan (Chine).
Cela sent le soufre mais ce sera bien plus facile d’attaquer son auteur et le site qui l’héberge sans jamais s’attarder sur le fond pourtant bien sourcé et recoupé par d’autres articles.
Voilà des révélations capitales pour comprendre l’actualité, des révélations parmi beaucoup d’autres qui mériteraient un débat approfondi, des recherches poussées, des enquêtes solides.
Non, la seule réaction des vérificateurs de faits officiels et de ceux qui leur emboîtent le pas sera de s’en prendre violemment à l’auteur et de diaboliser le site qui aura osé le publier. Car il s’agit de monsieur Fauci, tout de même, le Van Ranst* américain.
En attendant, des personnes comme moi, récoltant sans tarder l’anathème habituel, ont perdu leur emploi, d’autres comme Laurent Muchielli, directeur de recherches au CNRS en France, ont été traînés dans la boue, et d’autres comme Louis Fouché sont présentés comme des gourous extrémistes.
Jusque-là, Louis et moi étions des anesthésistes compétents, honnêtes et appréciés.
Que s’est-il passé ?
Nous avons osé parler, alerter, discuter les diktats et fournir des analyses solides opposées à celles des gouvernements et de leurs conseillers.
Sans être (encore), pourtant, en Chine, en Corée du Nord ou dans la Russie que nos pays diabolisent, à tort, justement pour cela, la censure de toute dissidence.
En fait, si, chers lecteurs, nous y sommes, dans une dictature qui se révèle chaque jour un peu plus, et la censure, le comportement vis-à-vis des lanceurs d’alerte en est la preuve.
Quel cynisme de la part de ces mêmes gens qui ont contribué à nos malheurs, de faire croire à leur public profane que nous aurions fait tout cela pour de l’argent, pour entrer en politique ou pour créer une secte.
Les temps sont durs pour les lanceurs d’alerte.
Pourtant, le monde n’en n’a jamais eu autant besoin.
*Marc Van Ranst, l’un des virologues conseillers du gouvernement belge pour la gestion du COVID-19
Dr Pascal Sacré
*Se réfère à la chanson de Guy Béart écrite en 1967 « La vérité«
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