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jeudi 21 octobre 2021

Italie, Antilles, Telegram : aucun vaccin n’arrête le virus de la révolte


La ville de Trieste (Italie) en colère


Apparemment, il n’existe aucun vaccin pour arrêter le virus de la révolte. À mesure que l’exaspération monte, il se répand et fait des ravages – salutaires ! Exemples : l’Italie et les Antilles françaises. Plus un nouvel outil de diffusion de ce venin si craint par les Tartuffe du vieux monde : Telegram.

Les mutins obstinés des ports italiens

Lorsqu’ils apprirent que le pass sanitaire allait devenir obligatoire dès le 15 octobre pour exercer leur emploi, les Italiens firent la seule chose qu’il y avait à faire (tels nos chers Gilets jaunes) : descendre dans la rue. Mais attention, pas pour défiler le samedi en criant des slogans sans lendemain. Non, ils entreprirent de bloquer le pays jours et nuits. Les ports pour commencer : Trieste, Gênes…


 Le lundi 18 octobre, sentant le danger, le gouvernement (non élu) de Mario Draghi (l’ancien de la BCE, c’est tout dire) fit donner ses chiens pour libérer les lieux.


 Mais peine perdue, chassés par la porte, les mutins revinrent en nombre par la fenêtre, au grand dam des médias de propagande.


 


Les grandes “petites victoires” des rebelles guadeloupéens et martiniquais

Pendant qu’en métropole française, une majorité de citoyens tétanisés cédait peu à peu à l’injonction du pass sanitaire et à ses contraintes, nos concitoyens de Guadeloupe et de Martinique sonnaient la charge de la révolte contre l’inquisition politique à prétexte sanitaire.

Les soignants, surtout, refusèrent et refusent toujours l’obligation vaccinale avec une telle farouche énergie que les autorités furent contraintes de suspendre la suspension du personnel récalcitrant, sans lequel les hôpitaux n’avaient plus qu’à fermer boutique.

 

 

Telegram ou l’apprentissage du maquis

Ces infos, évidemment, ce n’est pas sur nos tristes médias de propagande que vous risquez de les découvrir. Même plus, en tout cas de moins en moins, sur les réseaux sociaux mainstream. Je vous en parlais dans un billet précédent, Facebook et Twitter font des misères au yetiblog en réduisant sournoisement la portée de ses posts. Et je suis loin d’être le seul concerné. Pas grave, en résistance, un maquis tombe, tu passes à un autre. Voilà pourquoi j’ai choisi de rejoindre le réseau Telegram (sans bien sûr abandonner les deux premiers : j’y suis j’y reste et vous pouvez gueuler).

Mais un maquis, comme son nom l’indique, faut d’abord s’y retrouver. Je vous ai invité à me rejoindre dans le yetigroup. Ce n’était pas une bonne idée. Un groupe, c’est un endroit où tous les membres peuvent intervenir sans trop de contrôle. Ça n’a pas manqué, à peine créé, deux malins s’y sont introduits pour diffuser des… pubs et des appels à financement ! Donc exit, le yetigroup disparaîtra définitivement le 31 octobre.

Et bienvenue sur le yeticanal, plus facilement maîtrisable, et qui relaiera tous les billets du yetiblog, mais plus encore : de l’info dont vous en êtes privées par la Sainte-église médiatique.

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