« Quand on le sait, il faut avoir le courage de le dire. Quand on le dit, il faut avoir le courage de le faire » (Clémenceau)
Pour le premier Ministre, la réponse du Gouvernement sera ferme et implacable. Qu’est-ce qu’ils doivent rire les islamistes !
En réalité, Macron, Castex et les autres, sont tous dépassés par les évènements. Ils ne savent pas mieux régler ce problème de terrorisme, qu’ils ne savent organiser la lutte contre le virus chinois.
Car le confinement, ce n’est pas en France qu’il faudrait l’appliquer mais en Afrique et au Moyen Orient, d’où proviennent les égorgeurs potentiels de nos compatriotes.
On aurait peut-être évité les nombreux assassinats et attentats, tous aussi horribles les uns que les autres. Comme ce dernier en date, qui coûta la vie à trois personnes égorgées comme des moutons le jour de l’Aïd. Un assassin tunisien. On ne sait pas s’il faut l’appeler un homme ou un animal enragé. En tout cas, à l’heure qu’il est, sa vie n’est plus en danger et c’est bien dommage. Il aura droit à une convalescence qui prendra le lit d’hôpital d’un malade du Covid ou d’un cancéreux, avec ensuite tous les frais hospitalisation à la charge du con-tribuable. Sans parler, du coût inhérent aux années de prison qui suivront son jugement.
Et les responsables de ces derniers meurtres rituels halal, qui sont-t-ils ? C’est cette ONG, faussement humaniste, qui a transporté cette ordure depuis les côtes tunisiennes jusqu’à Lampedusa.
C’est ensuite la faute de ces politiciens italiens véreux, qui ont éloigné Salvini, au moment où il était de toute utilité.
Mais comment l’Europe, a-t-elle pu être transformée en un tel foutoir, où n’importe qui entre sans le moindre contrôle. Et comme le dit un certain académicien « C’est le seul endroit de la Terre où les gens payent pour se faire envahir ».
Darmanin a l’air de vouloir faire quelque chose. Il veut durcir les conditions d’accueil et de lutte contre le terrorisme. Mais il oublie que nous sommes prisonniers de la Cour Européenne des Droits de l’homme, du pouvoir des juges, de la Cour Constitutionnelle et d’autres Instances encore.
Autrement dit, la France a les pieds et les mains liés, face à ces agresseurs.
Alors, y aurait-t-il une solution autre que de changer de Constitution ?
Nous sommes en guerre, comme le reconnaissent maintenant les gouvernants. Dans ce cas précis, c’est bien la Loi Martiale qui devrait s’appliquer.
En remplaçant les juges civils par une juridiction militaire, qui aurait les mains libres. Nous sommes en guerre contre un ennemi pervers qui sait habilement retourner nos lois démocratiques contre nous.
Il faut donc, appliquer les lois de la guerre avec la même sévérité qu’elles l’étaient dans les années 40-45 ou pendant la bataille d’Alger.
La police et la gendarmerie seraient délivrées de leur devoir d’accepter les ordres d’un Gouvernement incompétent et pusillanime. Et on ne verrait plus des voyous, qui ont un dossier de délinquance gros comme un annuaire des postes, sortir libres du Tribunal et faire des pieds de nez aux forces de police.
Une guerre d’Algérie à l’envers s’est installée chez nous, elle a ses leaders et ses tueurs. Avec deux mots qui devraient signifier la Paix et qui appellent à tuer « Allahu Akbar ». Avec cette petite phrase qui en donne l’autorisation « Tuez-les tous, où que vous les trouviez » (S 2 Verset 191).
Nous avons réuni sur notre territoire des centaines de « Chevaux de Troie », qui sont des barils de nitroglycérine.
Or il n’y a pas d’autre alternative, que de répondre à de la violence gratuite par une autre violence calculée et intelligente.
A moins que par passivité, peur et laisser faire, on accepte d’avance d’être les vaincus d’un ennemi qui ne nous fera pas de cadeau.
C’est MILLI GORUS, un important mouvement islamo-nationaliste Turc qui le dit: « Chaque individu membre, doit s’engager dans la guerre religieuse et doit se préparer de façon à être prêt, à tout moment pour le DJIHAD ». On ne choisit pas son ennemi, c’est lui qui nous choisit.
« Français vous n’avez encore rien vu » disait JMLP en 1990.
On a toujours tort d’avoir raison trop tôt !
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