« Dès lors que vous faites croire à quelqu’un qu’il est en danger de mort, vous en faites ce que vous voulez », explique l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel, dans ce film (bande-annonce ici) qui sort le 11 novembre.
Produit par Pierre Barnérias et Christophe Cossé, Hold-up met en lumière les nombreuses contradictions et restrictions de liberté occasionnées avec cette crise pandémique.
« Devons-nous céder à la peur, au besoin de sécurité, ou préférer embrasser la vie et la liberté ? Ma démarche, notre démarche commune tant avec mes coproducteurs qu’avec toutes celles et ceux venus témoigner, c’est avant tout d’avertir sinon d’alerter, d’interpeller, d’informer le plus grand nombre », écrit Christophe Cossé dans une tribune dans France-Soir.
Pourquoi confiner toute une population saine et non malade tandis que les études ont démontré l’inefficacité et l’inutilité de cette mesure ? Pourquoi alerter sur la saturation de nos hôpitaux alors qu’elle est habituelle à cette saison de l’année ? Le producteur de continuer à s’interroger : « Que dire du bilan médical des malades admis en ce début du mois de novembre en réanimation ou en soins intensifs, si ce n’est un profil type d’individus de plus de 65 ans affectés par la comorbidité, victimes de saturation de leur système immunitaire ? Que dire du nombre réel de victimes du Covid alors que l’on recense comme tels les décès dus aux maladies cardio-vasculaires, aux cancers, aux diabètes ? »
Dénonçant également le manque de moyens de la médecine libérale, le fait que le gouvernement soit doté d’un Conseil scientifique dont les membres sont majoritairement proches des laboratoires pharmaceutiques, que nos libertés soient de nouveau restreintes, ce film, qui aurait aussi pu s’appeler « Coup d’État », écrit Christophe Cossé, choisit de donner la parole à ceux qui sont trop souvent censurés, faute de délivrer le discours sanitairement correct : le professeur Perronne, d’autres grands scientifiques de renom, des urgentistes, des médecins généralistes, des députés, dont Martine Wonner affirmant que « la démocratie a été totalement bafouée en France », et à des experts de la santé mondiale.
Alors oui, il y aurait matière à s’alarmer in fine, mais pas tant de l’aggravation de l’épidémie que des mesures disproportionnées qui nous sont imposées. Plus ou moins consentants, nous serions manipulés, prêts à tout accepter de cette technocratie sanitaire et ce bio-pouvoir mis en place avec, en ligne de mire, « la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu […] le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine… »
Christophe Cossé conclue sa tribune en présentant ce film (disponible en ligne le 11 novembre, à visionner sur le site de TPROD ou sur leur page Facebook) comme « un engagement pour la vie, le respect du vivant, [ses] enfants, parents, amis. Hymne à la vie, à l’amour, à l’âme humaine. »
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