Albert Bourla, le patron de Pfizer, n’a pas vendu ses actions après
l’annonce de son vaccin “miracle”, il a fait l’inverse, il a prévu son
annonce le jour où il pouvait vendre ses actions et celle de ses grands
actionnaires selon le plan de courtage 10b5-1 et fait passer l’argent
avant la santé et l’intérêt général.
Pourtant leur vaccin n’est absolument pas prêt, mais qu’importe, Scott Gottlieb, l’ex-patron de la FDA, l’agence du médicament américaine, a immédiatement rejoint Pfizer à la fin de son mandat de régulateur en 2019 : il saura faire approuver le vaccin.
En France nous avons déjà commandé 50 super-congélateurs pour pouvoir recevoir le vaccin dès la fin de l’année.
Et lorsque nous aurons reçu des centaines de millions de doses de vaccin, ils s’appuieront sur les entreprises et les techniques de contrainte sociales importées de Chine pour forcer la vaccination sans jamais la rendre obligatoire.
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