Les enfants suédois du quartier de Björkhagen, à 10 minutes du centre de Stockholm, n’osent plus sortir ni même signaler à la police les extorsions, délits, agressions, vols et menaces dont ils sont la cible, par crainte de représailles.
Les dénonciations à la police ont diminué, car ni les enfants ni les parents n’osent signaler ces délits, même s’il s’agit souvent de coups de couteau.
Les contacts antérieurs avec la police et le centre de services sociaux n’ont fait qu’accroître le harcèlement.
Les contacts antérieurs avec la police et le centre de services sociaux n’ont fait qu’accroître le harcèlement.
Un parent décrit une vie quotidienne où il conduit partout ses enfants en voiture de peur qu’ils ne soient agressés.
Une vie dans l’angoisse constante quand leurs enfants ne sont pas à la maison, et où la seule solution au problème semble être de déménager.
Une vie dans l’angoisse constante quand leurs enfants ne sont pas à la maison, et où la seule solution au problème semble être de déménager.
Aucune mesure n’a été prise en dépit des rapports adressés aux autorités sociales.
Les agresseurs filment les jeunes victimes pour leur faire du chantage plus tard.
Un parent dont l’enfant a été victime de vol dit :
Les agresseurs filment les jeunes victimes pour leur faire du chantage plus tard.
Un parent dont l’enfant a été victime de vol dit :
« Ces jeunes font peur aux autres enfants, qui se sentent mal à l’aise car ils ne peuvent pas marcher librement sans « payer ».
Ils rasent les murs et ils ont honte de ne pas pouvoir se défendre.
Il ne s’agit pas de farces entre garçons.
Dans cinq ans, ce sera un réseau criminel. »
Ils rasent les murs et ils ont honte de ne pas pouvoir se défendre.
Il ne s’agit pas de farces entre garçons.
Dans cinq ans, ce sera un réseau criminel. »
Les parents n’ont reçu aucune réponse du centre de services sociaux.
Ils se disent « désemparés » et ont l’impression que « rien ne se passera tant que les jeunes n’auront pas poignardé quelqu’un ».
Ils se disent « désemparés » et ont l’impression que « rien ne se passera tant que les jeunes n’auront pas poignardé quelqu’un ».
L’administration du district a lancé des activités sportives à Björkhagen, mais les parents disent qu’il est trop tard.
Source : Samtiden via Voice of EuropeTraduction Cenator pour lesobservateurs.ch
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