Le premier des deux crimes est « l’expropriation sans compensation sous prétexte que les Blancs seraient des voleurs » et qu’il convient « de récupérer » leurs terres, dénonce Ernst Roets dans un entretien à Dallas pour thenewamerican.com.
Le second est « le nombre d’attaques de fermes de plus en plus fréquent qui a atteint, selon les propres statistiques du gouvernement, le nombre de deux par jour, avec deux assassinats de fermiers par semaine ».
Ernst Roets explique ainsi pourquoi il est urgent pour les communautés blanches du pays, jusqu’ici le plus riche d’Afrique, « d’expliquer aux gens, aux journalistes et aux gouvernements » ce qui se passe là-bas où « 20% des victimes de meurtres sont des Boers » alors que les Afrikaners ne forment que 5,2% de la population.
Les Afrikaners sont une communauté, « autochtone » de fait, arrivée dès 1652 dans un pays extrêmement peu peuplé.
Cela risque de transformer cette locomotive du continent en une seconde et aussi sanglante Rhodésie, grenier de l’Afrique devenue le Zimbabwe, pays parmi les plus pauvres.
Des chants appelant à « tuer les Blancs », chantés par les ministres de l’ANC
Les autorités sont complices de cette entreprise « raciste », explique Ernst Roets.
Outre l’appel aux investisseurs, l’autre manière de combattre cette entreprise d’épuration ethnique de la part d’un pouvoir noir issu de communautés elles-mêmes jadis importées en Afrique du Sud depuis le Nord, est de « faire savoir ».
L’Afrique du Sud entreprend aussi, révèle Ernst Roets qui tient cette information de représentants sud-africains à l’ONU, de créer une alliance avec la Chine communiste, Cuba ou le Zimbabwe pour former un bloc politique.
Des chants appelant à « tuer les Blancs », chantés par les ministres de l’ANC
Les autorités sont complices de cette entreprise « raciste », explique Ernst Roets.
« Le gouvernement entretient le climat », avec des ministres de l’ANC qui « entonnent dans les réunions politiques des chants appelant ouvertement au meurtre des Blancs, tel “Tuez les Boers”, qui les taxe de violeurs et de lâches ».
Le gouvernement prétend que ces chants appellent « à la défense des droits ».
Un nouveau parti de gauche marxiste, l’Economic Freedom Fight, vient de lancer un chant appelant à « tuer les Boers, tuer les fermiers ».
« Et nous montrons que même les ministres, même le chef de l’Etat vont entonner ces chants en public », s’indigne Ernst Roets.
La tournée entamée par AfriForum vise « à alerter les gens qui entretiennent des liens avec l’Afrique du Sud ».
La tournée entamée par AfriForum vise « à alerter les gens qui entretiennent des liens avec l’Afrique du Sud ».
« Nous ne voulons pas appeler à désinvestir en Afrique du Sud, au contraire, le pays a beaucoup besoin d’investissements », poursuit-il.
Mais les autorités sud-africaines jouent un double jeu, dénonce-t-il : « Elles viennent aux Etats-Unis ou au Forum économique mondial quêter des investissements en assurant qu’ils seront en sécurité » mais en même temps « soutiennent la spoliation ces investissements ».
« Nous demandons aux investisseurs qui ont l’intention d’investir de faire pression sur le gouvernement, (…) de lui dire que s’il continue de spolier les gens, alors ils ne viendront pas », poursuit-il.
Appel aux investisseurs étrangers, informer pour jouer le rapport de forces avec l’ANCOutre l’appel aux investisseurs, l’autre manière de combattre cette entreprise d’épuration ethnique de la part d’un pouvoir noir issu de communautés elles-mêmes jadis importées en Afrique du Sud depuis le Nord, est de « faire savoir ».
« Ce que le gouvernement et l’ANC évoquent sans arrêt, c’est le rapport de forces » explique Ernst Roets.
« Ils veulent tester les réactions » en avançant leur programme radical, « par exemple changer le nom de la capitale ou changer le droit de la propriété ».
Donc, « rien qu’en en parlant sur les réseaux sociaux, dans les cercles intellectuels, on peut faire beaucoup » contre ce programme marxiste.
De fait, « l’ANC veut aller vers le communisme » avec sa « révolution nationale démocratique ». L’ANC a été fondée « avec l’aide de l’URSS », ses cadres « ont été entraînés au Vietnam », rappelle Ernst Roets.
De fait, « l’ANC veut aller vers le communisme » avec sa « révolution nationale démocratique ». L’ANC a été fondée « avec l’aide de l’URSS », ses cadres « ont été entraînés au Vietnam », rappelle Ernst Roets.
Mais sa tactique fut de se poser « en défenseur de la liberté et des valeurs libérales (…) pour acquérir le soutien du monde » puis « se servir de l’appareil d’Etat » et transformer l’Afrique du Sud en système socialiste avec Hugo Chavez comme exemple.
L’ANC répond aux objections que le véritable socialisme « n’a encore jamais pu être atteint » et justifie des régimes criminels comme celui de Mao, dont l’ANC veut donner le nom à une avenue, en prétextant qu’ils « ont fait face à des circonstances très difficiles ».
Dans sa guerre idéologique, le régime mène « une campagne très agressive qui, par exemple, explique l’effondrement du Zimbabwe par la faute des Américains et d’une conspiration fomentée par la CIA ».
Selon l’AfriForum, l’Afrique du Sud veut une alliance des régimes communistes, avec la Chine, Cuba…L’Afrique du Sud entreprend aussi, révèle Ernst Roets qui tient cette information de représentants sud-africains à l’ONU, de créer une alliance avec la Chine communiste, Cuba ou le Zimbabwe pour former un bloc politique.
L’Afrique du Sud vote continûment aux Nations unies contre les propositions occidentales.
« Nous savons que la condition d’une économie florissante est la protection du droit de propriété », ajoute Ernst Roets pour mettre en garde les Occidentaux, « et nous savons que cette utopie marxiste va échouer ».
« Nous savons que la condition d’une économie florissante est la protection du droit de propriété », ajoute Ernst Roets pour mettre en garde les Occidentaux, « et nous savons que cette utopie marxiste va échouer ».
Or « les effondrements économiques engendrent des flux migratoires qui concernent le monde entier », prévient-il.
L’Afrique du Sud compte 56 millions d’habitants.
Pour Roets, la solution réside dans une décentralisation du pouvoir actuel, extrêmement jacobin, « qui laisse très peu d’initiatives aux collectivités locales », pour rendre aux communautés locales « la possibilité de décider par elles-mêmes » dans un pays qui compte onze langues officielles.
Matthieu Lenoir
Matthieu Lenoir
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