Mardi 8 mai, la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) a de nouveau rendu un arrêt qui dicte aux nations ce qu’elles doivent faire
en matière d’immigration.
Elle juge cette fois-ci que le regroupement familial, c’est-à-dire l’obligation qu’ont les États d’autoriser la venue d’immigrés dont un membre de la famille proche est en situation régulière sur leur sol, doit s’étendre même aux individus interdits de séjour !
Le 12 avril, la CJUE avait déjà imposé que les « migrants » clandestins qui deviendront majeurs au cours de la procédure de demande d’asile garderont le droit de faire venir leurs parents.
S’abritant derrière la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), elle empêche donc les États membres de l’UE de choisir qui ils peuvent accueillir ou refuser chez eux.
La CJUE outrepasse la souveraineté des nations européennes et leur retire les moyens de protéger leurs citoyens.
S’abritant derrière la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), elle empêche donc les États membres de l’UE de choisir qui ils peuvent accueillir ou refuser chez eux.
La CJUE outrepasse la souveraineté des nations européennes et leur retire les moyens de protéger leurs citoyens.
Instance supranationale, hors-sol et politiquement orientée vers la destruction de nos nations, la CJUE n’a pas la légitimité nécessaire pour se substituer aux nations souveraines, tout comme la CEDH et les traités internationaux qui les privent de leurs prérogatives fondamentales.
C’est aux États et à eux seuls de décider qui ils acceptent, qui ils refusent et qui ils renvoient chez eux !
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