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vendredi 6 janvier 2017

Entre deux COP : réchauffement, trou d’ozone et autres phénomènes extrêmes du mensonge médiatique à prétention scientifique

Le 06/01/2017


Réchauffement Mensonge Médiatique Scientifique Phénomènes Extrêmes COP Ozone  

6 janvier 2017
 
En 2016 la COP 22 à Marrakech a salué la COP 21 de 2015 et annoncé la COP 23 de Bonn en 2017 : ces raouts politiques tentent d’accréditer le mensonge du réchauffement climatique, du trou d’ozone, et tous les autres phénomènes extrêmes du bobard médiatique à prétention scientifique.
 
L’encyclique Laudato Si’ du Pape François contribue à ce culte superstitieux.

Il ne s’est rien passé à la COP 22 de Marrakech et il est vraisemblable qu’il ne se passera pas grand-chose à la COP 23 qui se tiendra à Bonn en 2017 (Ce sont les Fidjiens qui l’organisent, mais pas chez eux, le biotope de l’archipel ne résisterait pas à l’irruption de 20.000 congressistes férus d’écologie, surtout si Nicolas Hulot s’invite en Falcon).
Sauf une chose : peu à peu l’opinion s’habitue au mensonge sur le réchauffement climatique, elle fonde sa façon de vivre sur lui.
Et la Chine et les Etats-Unis, qui se fichent de la pollution comme de leur première culotte, ont ratifié l’accord de Paris issu de la COP 21.
 
Au secours de la COP, le pape François confirme le réchauffement

Tout le monde répète les bobards reçus et éco-citoyens, le réchauffement climatique et son incidence sur la pousse des cheveux roux, le monstre du Loch Ness ou l’épaisseur de la peau d’oignon.
Comme tout le monde a cru hier à la disparition de la couche d’ozone, aux cancers subséquents, aux pluies acides, à l’hiver nucléaire.
La religion de l’écologisme est terrible, elle n’en est que plus crue.
 D’ailleurs, au moment où le GIEC faiblissait un peu, où quelques-uns commençaient d’exercer leur esprit critique sur cet étrange objet non scientifique mais identifié politique (ONSIP), le pape François est venu à la rescousse de l’ONU avec son encyclique Laudato Si’.
Voilà l’Eglise catholique transformée en première ONG supplétive du dogme du réchauffement climatique.


Ca explique le regain de ferveur de l’humanité pour le culte de Gaïa.
C’est Woodstock plus les JMJ.
Les jeunes ne partent plus à Katmandou comme nous le fîmes, ils sauvent la planète du réchauffement climatique.
Ils sont prêts à faire du vélo une heure par semaine pour cela, ou à manger du quinoa comme Jean-Luc Mélenchon.

Peut-on changer la couche d’ozone avec des règlements ?

Cela étonnerait un lycéen de seconde qui essaierait pour plaire à ses parents d’acquérir une vague teinture de sciences naturelles, de chimie, de physique et de maths, ou le même qui s’intéresserait un peu aux humanités.
 Il s’étonnerait qu’on puisse mettre sur le même plan l’activité du soleil, ou même celle d’un volcan, et celle de la sidérurgie française, laquelle n’est plus très active, ou d’un embouteillage sur le périphérique.
Il se demanderait comment les guichetiers de la planète prétendent maîtriser le climat avec des écotaxes, des crédits carbone et de la vertu – quand les Grecs donnaient le nom des Dieux les plus puissants aux éléments.
Zeus foudroyant était l’organisateur du monde, Poséïdon, le maître non seulement des océans mais des volcans et des tremblements de terre.
Notre cancre de bonne volonté comparerait les ordres de grandeur, craindrait qu’en se haussant au niveau des Titans l’homme ne ressemble à un têtard qui voudrait se faire aussi gros qu’une baleine. Mais les lycéens sont des naïfs qui mettent une exigence rationnelle et scientifique dans ce qui est politique et appelle donc le mensonge.
 
Le mensonge médiatique du réchauffement est une rigolade scientifique


Ici à Reinformation.tv nous le savons bien, et nous le répétons depuis longtemps, « les calottes polaires » ne fondent pas, l’Antarctique augmente même sa banquise, les ours blancs prolifèrent, les hivers ne vont pas disparaître, ni les mers monter au point de submerger la planète, l’océan alcalin ne va pas devenir acide, etc.
 Mais nous savons aussi que, depuis le temps que nous passons l’aiguille de la raison à travers la baudruche de la propagande du réchauffement, celle-ci n’en éclate pas pour autant.
 Parce que le mensonge n’est pas scientifique, malgré le statut qu’il revendique et l’apparence qu’il se donne, parce que la croyance qui se porte sur lui relève d’une superstition attisée par la terreur, et parce que, pour détourner l’attention de leurs bobards, les propagandistes du réchauffement excellent à parler d’autre chose.
 Oui, par exemple, ils ont raison lorsqu’ils disent qu’il existe des pollutions réelles, qui peuvent être dangereuse : mais ce n’est pas la question.
 Oui, encore, des séries de phénomènes extrêmes peuvent être relevées : mais ce n’est toujours pas la question.

Combattre le bobard du réchauffement par la raison ?

Nous aimerions leur opposer une rhétorique rationnelle, nous sommes persuadés qu’elle serait victorieuse.
Nous savons qu’étant donné le poids relatif des facteurs qui jouent sur le climat, l’évolution de celui-ci est aussi inévitable pour l’homme que la mort et plus que les impôts – en tout cas il ne dépend pas de nous.
Nous savons que les recommandations issues des rapports du GIEC ressemblent à la réclame de certains dentifrices, où des gens en blouse blanche nous expliquent ce qu’est un bon dentifrice – or chacun admettra que la blouse blanche ne fait pas le scientifique, quand la publicité est une affaire de commerce et d’argent.
Nous nous trompons donc complètement : nos arguments, notre ironie, tomberont à plat.
 La foi dans le réchauffement climatique d’origine humaine est partagée par une secte, secte planétaire et nombreuse, d’inspiration maçonnique, mais secte tout de même, avec tous les comportements que cela comporte.

Phénomènes extrêmes et comportement sectaire

Le besoin d’exclure et d’anéantir celui qui met en doute le dogme n’est pas le moindre d’entre eux. Quiconque s’interroge si peu que cela soit sur la véracité du réchauffement devient ipso facto un ennemi de l’Etat, un homme de droite, presque un suppôt de Jean-Marie Le Pen.
 Sarkozy l’a appris à ses dépens.
 Il ne s’en est pas remis.
 On a commencé même, après le livre de Philippe Vernier, chroniqueur à France 2, à utiliser le mot « négationniste » : c’est très grave, c’est le même qu’on emploie contre Faurisson et ceux qui ne croient pas aux chambres à gaz.
C’est un mot qui est synonyme du pire anti-sémitisme. Cela veut dire que si vous mettez en question le réchauffement climatique vous n’êtes pas seulement stupide et fou, vous êtes odieux, criminel !

Tant que subsistera cette reductio ad hitlerum, aucun argument rationnel ne sera reçu dans la question du climat, du réchauffement, et des phénomènes extrêmes de mensonge propres à ravager les esprits. Cela n’empêche pas naturellement d’apporter des informations pertinentes : il faut juste savoir qu’on ne convaincra que très difficilement, un interlocuteur à la fois, avec une pince à escargot, au terme d’une opération douloureuse qui ressemble à une vraie dé-gourouisation.


Pauline Mille


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