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vendredi 8 janvier 2016

À Versailles comme à Cologne

                                                    

Le 08/01/2016
Cindy, une jeune femme de 28 ans qui travaille dans une supérette de Versailles, monte dans la voiture presque déserte du train qui se dirige vers Houdan...
   
« Terreur dans le train entre Paris et Dreux. »

Ce titre particulièrement fort n’est pas dû à un collaborateur du « site de l’intolérance », comme Le Monde nomme Boulevard Voltaire, mais au Parisien. Il faut avouer qu’il s’adapte parfaitement à la situation.
Le 9 décembre au soir, comme chaque jour, Cindy, une jeune femme de 28 ans qui travaille dans une supérette de Versailles, monte dans la voiture presque déserte du train qui se dirige vers Houdan.
 Une dizaine d’Afghans qui ont pris cette même rame à la gare de Paris-Montparnasse s’y trouvent déjà.
 Trois d’entre eux, profitant de son esseulement, commencent à l’importuner.
Cindy change de place, le trio la suit.
La jeune femme sentant la menace se préciser, terrorisée, n’ose plus faire un geste.
L’un des trois hommes en profite pour se livrer à des attouchements tandis qu’un autre l’étrangle en serrant son écharpe.
Le troisième sort un couteau et l’approche de son visage.
Les agresseurs commencent à la déshabiller.
Ils auraient certainement continué leur forfait si un voyageur n’avait pas surpris la scène.
Le passager, courageusement, n’hésite pas à intervenir et parvient à la faire descendre du train à la gare de Houdan (Yvelines).
Cette dernière se réfugie alors dans un restaurant.
Une source proche de l’affaire explique : « Elle a été très traumatisée par cette agression. Les urgences médico-légales lui ont accordé dix jours d’incapacité totale de travail (ITT). »
Les enquêteurs de la brigade des transports sont chargés des investigations.
 Les trois suspects sont identifiés grâce aux images de vidéosurveillance recueillies à la gare Montparnasse.
Ces migrants ont élu domicile dans un foyer où ils partagent une chambre.
Le 17 décembre, deux des trois violeurs présumés sont interpellés et placés en garde à vue à Paris.
 Les deux hommes nient avoir commis l’agression sexuelle.
 Mais Cindy les a formellement identifiés.
Ils expliquent que, ce jour-là, le groupe était parti en virée au bois de Boulogne pour rencontrer des homosexuels et des travestis afin d’avoir des relations sexuelles « tarifées ou consenties ».

 Ces hommes se présentent comme des réfugiés politiques et expliquent avoir quitté l’Afghanistan à cause des talibans qui leur auraient demandé de commettre des crimes contre l’Occident !

Agés de 21 et 45 ans, ils ont été mis en examen à Versailles (Yvelines) le 19 décembre pour tentative de viol puis écroués.
 Question : pourquoi le parquet n’a-t-il pas retenu la tentative de viol en bande organisée ?
L’enquête confiée à un juge d’instruction le dira.
 Aujourd’hui, le but est de retrouver le troisième agresseur toujours en fuite.

Que retenir de ce tragique enchaînement des faits ?

Que nous soyons en France, en Allemagne ou dans d’autres pays d’Europe, les mêmes scènes se reproduisent : des migrants s’en prennent régulièrement à des jeunes femmes.
En laissant pénétrer dans les pays occidentaux une majorité d’hommes seuls, il fallait s’attendre à ce genre de comportement.
 Cherchant par tous les moyens à satisfaire leur libido, ils n’hésitent pas lorsqu’ils sont en groupe à s’en prendre à l’autre sexe.
De plus, leur vision archaïque de la femme ne fait qu’assimiler celles-ci à des proies faciles.
D’autant plus que la tenue vestimentaire d’une occidentale est très éloignée du niqab.

À souligner que les sept autres Afghans qui pouvaient être poursuivis pour non-assistance à personne en danger n’ont pas été inquiétés.

Enfin, terminons sur une note d’espoir.
 La conduite héroïque de l’homme présent dans le wagon qui n’a pas hésité, malgré le nombre de prédateurs, à s’opposer à eux et à secourir la jeune femme.

Tout n’est peut-être pas perdu dans cette France du début du XXIe siècle !

1 commentaire:

  1. Pas d’amalgame camarade, pas d’amalgame, ce sont des chances pour la France, il faut être tolèrent avec eux qui sont sevrés de relations sexuelles peut-être depuis des mois ! Et puis, cette femme n’est-elle pas habillée de manière aguicheuse pour eux ?
    C’est ELLE qui est la fautive la maire de Cologne a tout à fait raison d’avertir les femmes allemandes qu’elles doivent s’habiller avec des sacs à patates, et la personne qui est intervenue n’a fait que perturber un jeu sexuel un peu poussé. Je te le mettrai au trou ce trublion !
    N’oublions pas qu’ils sont le grand remplacement !

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