Des centaines d’envahisseurs non-blancs, non contents de vivre aux frais du contribuable allemand pendant des mois et souvent au final des années, ont désormais commencer à poursuivre le gouvernement en justice pour « mettre trop longtemps » à traiter leurs « demandes d’asile ».
D’après un article dans le journal Rheinische Post, plus de 200 « réfugiés » ont lancé des poursuites judicaires dans la seule région de Rhénanie du Nord-Westphalie.
Les envahisseurs, qui affirment venir de Syrie et d’Erythrée, poursuivent l’Office Fédéral pour la Migration et les Réfugiés (BAMF) parce que leurs demande d’asile sont traitées depuis désormais plus d’un an.
Cet « échec à agir », disent-ils, « poussent les demandeurs au désespoir », alors qu’ils sont fatigués de rester « à ne rien faire » tout en ayant leur hébergement, leur nourriture et leur argent de poche payés.
D’après les chiffres officiels, il y avait quelques 250.000 « demandes d’asile » en attente aux bureaux du BAMF l’été dernier avant l’invasion massive de la fin de l’année, et en janvier 2016 ce nombre aurait cru à 360.000.
D’après un avocat interrogé par le service d’information Focus, le gouvernement est obligé – par rapport à la loi – de prendre une décision dans les six mois.
Ne pas le faire peut résulter en une plainte de la part du « chercheur d’asile ».
Ne pas le faire peut résulter en une plainte de la part du « chercheur d’asile ».
L’état d’esprit des envahisseurs non-blancs est révélé dans un article publié par le journal Die Welt, qui décrit une journée habituelle au centre de traitement [des demandes] d’asile à Berlin, aussi connu sous l’abréviation allemande LaGeSo :
Le jeune homme est difficile à calmer. Gesticulant sauvagement, il crie sur trois policiers en arabes, qui se tiennent stoïqument face à lui. Avec difficulté, deux hommes peuvent le tenir. Quand il réalise que les officiels ne le comprennent pas, ils ne sait dire que deux mots : « M*rde ! F**k ! ». Il crie et essaye de grimper sur la balustrade en face de lui. Trois policiers l’attrapent et le tirent en arrière.
[…]
« C’est un désastre ici », dit un travailleur. « Il y a des combats tout les jours, les réfugiés s’affrontent les uns les autres, puis la police vient, et tout est silencieux pendant une heure. »
Un homme de 28 ans nommé Asa est du Balouchistan, une région frontalière entre le Pakistan et l’Iran. « Je voulais vraiment partir de là-bas », dit-il calmement. « Je veux être impliqué pour les droits de l’Homme, de préférence à Londres. »
Quatre autres jeunes iraniens qui sont venus à Berlin par la route des balkans, se plaignent : « Toujours à attendre, attendre, attendre. Nous n’avons rien à faire ici… » Ils ont un autre objectif : le Canada. En revanche, ils n’ont pas de plans sur comment ils pourraient s’y rendre.
[…]
Un autre se plaint « s’ils ne veulent pas de moi, ils devraient juste le dire ».
Avec au moins 3.000 par jour arrivant encore en Allemagne – avec le refus d’Angela Merkel de prendre des mesures pour stopper l’invasion – les retards ne vont faire qu’empirer.
Ce qui va ensuite probablement attiser les tensions de toute part – et augmenter la probabilité de violence.
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Ce qui va ensuite probablement attiser les tensions de toute part – et augmenter la probabilité de violence.
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