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lundi 18 janvier 2016

Pro-loups, pro-migrants : mêmes manipulations

 
18 janvier 2016
 
Pro-loups Nice 17 janvier 2016   

 
Le Collectif des Associations pour la Protection du Loup en France organisait ce week-end deux manifestations, l’une samedi à Lyon, l’autre hier dimanche à Nice.
 
Au moment où l’actualité est imprégnée par une intrusion migratoire imposée par les pouvoirs en place, le parallèle entre la démarche des pro-loups et des pro-migrants nous est apparue comme une évidence.
Ce rapprochement ne manquera pas de surprendre, voire d’offusquer nombre de nos lecteurs, mais lisez d’abord.
Cette similitude est flagrante.
 
C’est une intrusion non voulue par le peuple et décidée « en haut lieu »

Que le loup ait été réintroduit par l’homme ou qu’il soit arrivé des Apennins ou des Abruzzes en Italie – on ne sait pas vraiment – il a bénéficié d’une bienveillance immédiate et orchestrée des pouvoirs publics contre les éleveurs.
Pour quelles raisons ?
Le parallèle est troublant avec les flux migratoires intrusifs qui trouvent immédiatement un appui de nos dirigeants contre l’avis des Français.
 
Il s’agit de populations prédatrices

Nul ne contestera chez les pro-loups la nature prédatrice de leur fétiche.
C’est du reste pour ce comportement prédateur que les loups sont réintroduits, nous explique-t-on.
 Le loup est un chaînon manquant de la nature, sa réintroduction rétablirait un équilibre par le retour à une régulation naturelle.
Pourquoi pas ?
 Sauf que les loups préfèrent s’en prendre aux troupeaux.
Comment ne pas faire le parallèle là aussi avec les migrants qui déferlent alors que notre pays connait un chômage structurel lourd depuis plusieurs décennies ?
Si on connait un peu l’histoire, force est de reconnaître que ces populations ont une culture de razzia.

 
« Une chance pour la France »

Le loup serait une chance pour nos alpages comme les immigrés seraient une chance pour la France.
 Le parallèle est ici aussi évident.
 La manipulation s’appuie dans les deux cas sur l’affectif : l’amour pour une nature bucolique dans un cas, l’amour pour une humanité pacifique de l’autre.
Les premières personnes concernées par la réintroduction du loup, les éleveurs, y sont opposées.
 Qu’importe !
De même les travailleurs français qui voient arriver une main-d’œuvre concurrente à bon marché sont-ils bousculés et bafoués dans leur vote.
Qu’importe leur vote !
 
Un traitement social très coûteux

Comme à leur habitude, les Pouvoirs calment les oppositions par des indemnités.
Puisqu’il n’est pas question de remettre en cause le dogme du loup, un mécanisme de remboursement des brebis est mis en place.
Comme si le problème pouvait se régler par de l’argent.
Outre le fait que les indemnités crèvent tous les plafonds budgétaires, la dimension humaine est occultée.
Un loup abattu est devenu plus dramatique qu’un éleveur qui se suicide(1).
Pour imposer coûte que coûte cette réintroduction contre nature, nos dirigeants ont mis en place une gigantesque machine bureaucratique, sans même compter les associations subventionnées.
Combien de fonctionnaires d’État ou départementaux pour quelques centaines de loups ?
Sachant que les loups sont décomptés à l’unité près – ils seraient 282 en France – parions qu’il y a plus de fonctionnaires à s’occuper des loups que de loups !
Malgré tout cet argent versé, le problème n’est pas réglé pour autant.
 Comme pour le chômage.
 
Des partisans pas ou peu concernés

Parmi les manifestants d’hier à Nice, combien ont vu pour de vrai un loup dans la nature ?
Combien montent à la montagne et se promènent dans les territoires des loups ?
 S’ils ont vu des loups, c’est à la télé. Au mieux c’est au zoo. Au Parc Alpha, bien à l’abri derrière de hautes barrières ou des vitres et où les loups sont nourris par les gardiens.
 Et ils paniquent pour un gros matou entre-aperçu en liberté.
Comme pour les migrants : ceux qui leur souhaitent la bienvenue ne sont pas concernés par le chômage, protégés qu’ils sont par leur statut qui les met bien à l’abri.
 Les migrants, on leur souhaite la bienvenue « Refugees welcome here ».
 Puis les bobos retournent dans leurs quartiers résidentiels où il n’y en a pas, leurs enfants fréquentent des écoles qu’ils ont choisies pour bien rester entre eux.
 
Pourquoi cette propagande d’État contre son peuple ?

C’est LA question qu’il faut se poser.
 Pourquoi toutes ces ressources financières, toutes ces manipulations au travers d’associations et d’influences dans les médias pour imposer quelquechose dont les premières personnes concernées ne veulent pas ?
Que ce soit pour l’introduction forcée du loup ou l’immigration de masse imposée, la démarche idéologique est la même : détruire les environnements naturels et ancestraux, briser les peuples enracinés, mépriser les cultures populaires. Les méthodes aussi sont les mêmes : s’appuyer sur les relais médiatiques et des associations complices et complaisantes.
Maintenant vous savez.
 
 Massimo Luce
 
(1) Un agriculteur se suicide tous les deux jours en France, selon l’Institut de veille sanitaire (INVS)
On se référera par ailleurs à un excellent site de « contre-propagande » : Le loup dans le Haut Diois

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