Malgré tous ses efforts de fayot du premier rang, François Hollande vient de se faire rudement tancer par son maître Obama.
Les années de Gaulle, durant lesquelles la France ne recevait les remontrances de personne, sont bien loin.
Pourtant, François Hollande est l’élève le plus consciencieux dans la flagornerie, prêt à vendre père et mère — et à ne pas vendre le Mistral — pour une bonne note.
Mais il a fauté.
Gravement.
Et le prof, il était pas content.
C’est le New York Times, bulletin scolaire de l’intelligentsia world, qui nous donne l’info.
Obama en a tout simplement assez que le gouvernement français continue de payer les rançons pour libérer les otages des islamistes.
La ligne – pour le coup sanglante — des États-Unis est « on ne paye pas ».
C’est aussi, officiellement, la ligne de tous les sarkollande qui se succèdent à l’Élysée.
Mais – secret de polichinelle – tout le monde sait que la France paye les terroristes qui, en conséquence, ont compris le message : l’otage français est sonnant et trébuchant.
Défendant une certaine cohérence stratégique, le président américain aimerait que ses alliés le suivent dans la voie du « no money ».
Évidemment, me direz-vous, si on devient par malchance otage de ces dégénérés, on vote Hollande illico.
Mais on ne fait pas de la politique, et encore moins de la Weltpolitik, avec des sentiments humains trop humains.
Face aux barbares, il ne peut pas y avoir d’autre choix que la répression féroce.
Nous l’avons fait, sans pitié, avec les nazis.
Pourquoi ne pas recommencer ?
De toute façon, les « musulmans radicaux », comme on dit, sont gagnants sur tous les plans.
Soit ils empochent joyeusement l’argent déversé par des États faibles (près de 60 millions de dollars versés par la France depuis 2008 d’après le New York Times), soit ils répandent la terreur avec leurs vidéos d’éxécutions complaisamment diffusées par nos médias.
La position de François Hollande et du gouvernement devient qui plus est intenable face au cancer islamique : en payant systématiquement les rançons, l’État français finance de facto les organisations terroristes.
En pleine contradiction, devant l’inquiétant phénomène des départs de Français au djihad, ce même État continue d’ouvrir à plein les vannes de l’immigration musulmane… et signe moult accords avec son ami qatari.
Au même moment – diplomatie guignol –, il participe à la coalition anti-islamique et va bombarder l’Iraq.
Cette politique qui part dans tous les sens va-t-elle durer longtemps ?
On le saura quand viendra l’heure terrible des attentats dans Paris…
Pourtant, François Hollande est l’élève le plus consciencieux dans la flagornerie, prêt à vendre père et mère — et à ne pas vendre le Mistral — pour une bonne note.
Mais il a fauté.
Gravement.
Et le prof, il était pas content.
C’est le New York Times, bulletin scolaire de l’intelligentsia world, qui nous donne l’info.
Obama en a tout simplement assez que le gouvernement français continue de payer les rançons pour libérer les otages des islamistes.
La ligne – pour le coup sanglante — des États-Unis est « on ne paye pas ».
C’est aussi, officiellement, la ligne de tous les sarkollande qui se succèdent à l’Élysée.
Mais – secret de polichinelle – tout le monde sait que la France paye les terroristes qui, en conséquence, ont compris le message : l’otage français est sonnant et trébuchant.
Défendant une certaine cohérence stratégique, le président américain aimerait que ses alliés le suivent dans la voie du « no money ».
Évidemment, me direz-vous, si on devient par malchance otage de ces dégénérés, on vote Hollande illico.
Mais on ne fait pas de la politique, et encore moins de la Weltpolitik, avec des sentiments humains trop humains.
Face aux barbares, il ne peut pas y avoir d’autre choix que la répression féroce.
Nous l’avons fait, sans pitié, avec les nazis.
Pourquoi ne pas recommencer ?
De toute façon, les « musulmans radicaux », comme on dit, sont gagnants sur tous les plans.
Soit ils empochent joyeusement l’argent déversé par des États faibles (près de 60 millions de dollars versés par la France depuis 2008 d’après le New York Times), soit ils répandent la terreur avec leurs vidéos d’éxécutions complaisamment diffusées par nos médias.
La position de François Hollande et du gouvernement devient qui plus est intenable face au cancer islamique : en payant systématiquement les rançons, l’État français finance de facto les organisations terroristes.
En pleine contradiction, devant l’inquiétant phénomène des départs de Français au djihad, ce même État continue d’ouvrir à plein les vannes de l’immigration musulmane… et signe moult accords avec son ami qatari.
Au même moment – diplomatie guignol –, il participe à la coalition anti-islamique et va bombarder l’Iraq.
Cette politique qui part dans tous les sens va-t-elle durer longtemps ?
On le saura quand viendra l’heure terrible des attentats dans Paris…
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