En juillet 2014, Richard Trinquier, maire UMP de Wissous dans l’Essonne, interdisait la présence de femmes voilées à Wissous-Plage.
C’était sans compter sans la ténacité bien-pensante de la journaliste du Parisien, Florence Méréo, qui a publié 2 articles pour jeter en pâture Richard Trinquier, le maire de Wissous (ici et là).
Richard Trinquier s’est insurgé immédiatement des accusations portées contre lui en revenant sur des phénomènes inquiétants d’islamisation relevés à Wissous : « Ils cherchent à nous imposer une religion. Ils veulent une école coranique à Wissous, des tribunaux islamiques. Pourquoi 60 des 100 logements HLM ont-ils été attribués à des familles maghrébines ? »
Georges Tron, président de la fédération UMP de l’Essonne, a mis en garde le maire de wissous : « Si Richard Trinquier ne se désolidarise pas et ne désavoue pas ces élus, s’il assume leurs propos ou réitère ceux qu’il aurait lui-même tenus, une exclusion sera demandée », à propos des commentaires postés sur la page Facebook de l’élu.
Ce à quoi Richard Trinquier a rétorqué : « Je ne suis pas responsable des propos des autres, et je défends quiconque de me traiter de raciste comme cela a été fait. J’ai moi-même été assez victime de racisme pour savoir ce que c’est ».
Fin de l’épisode ?
Non, le secrétaire départemental de l’UMP, Jacques Lebigre, qui a déjà traité Jean-Marie Le Pen de nazi, s’en mêle en jetant lui aussi en pâture l’élu de Wissous sur sa page Facebook en précisant qu’il serait convoqué pour s’expliquer…
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