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jeudi 25 septembre 2014

Fascisme ordinaire - tortures du bataillon Aïdar

lundi 22 septembre 2014

Ce que les bourreaux du bataillon « Aïdar » ont laissé derrière eux (vidéo 18+)
21.09.2014

 


L’unité du commandant à l’indicatif "Lechy" (sylvain, NDT) (RPL) a enregistré une vidéo près de l’ancien terrain de golf à 10 km de Lougansk, abandonné par les bourreaux du bataillon "Aïdar". Les témoignages de leurs crimes sont fixés dans l’objectif.


Transcription de la vidéo

 Le 19 septembre 2014.
 
En ce moment, nous sommes dans le golf-club qui se trouve approximativement à 10 km de Lougansk.

Après le retrait du bataillon Aïdar qui était là, nous avons découvert ceci. Venez, je vais vous montrer.
C’est le bâtiment du golf-club, ils étaient basés ici. Un autre bâtiment, de petites maisons à côté. Voici, ce qui s’est passé avec eux.
Ici, nous avons trouvé un cadavre. Il était noyé, la pierre est attachée aux pieds. Les pieds sont enroulés de scotch, les mains étaient ligotées. Visiblement, c’est le cadavre d’une jeune femme, civile, vous voyez – habillée en civil, t-shirt rayé et jogging.

Sur le pied gauche, manque le pouce. Visiblement, soit arraché par le tir d’une arme à feu, soit coupé. C’est le cadavre d’une jeune femme, car nous avons observé les ongles des mains – soignés, très probablement, vernis.

Visiblement, on l’a très fortement battue, car il manque la moitié du crâne, la mâchoire est cassée. Voilà, comme ça, ils martyrisent la population civile. 

Encore, voyez que le cadavre, très probablement, a été sorti (de l’eau), car, depuis l’eau, il y a une trace, comme si on l’avait tiré. Là-bas, une trace sur le matériau noir.

Après cela, nous avons découvert ceci. Ce sont des rations sèches américaines. Une, deux.

Ici, un petit bouquin, je tourne – c’est un dictionnaire tchèque – anglais.

Le 19 septembre, en face du golf-club, la route Stchastié – Lougansk.
Là, comment ils abandonnent les leurs en fuyant.

Juste avant nous, nous sommes arrivés un peu trop tard (avec la caméra), on a sorti les documents, c’était un Polonais.

Je pense qu’il y a quelque chose dans la poche. De toute évidence, c’est un homme du bataillon Aïdar.

Un viseur de mitrailleuse, euh, avec des larves. Viseur, clés, couteau, plein de larves.

Il faut ouvrir. Il y a encore quelque chose. Téléphone, un beau Samsung. On demandera aux spécialistes de l’allumer.

Comme vous voyez, il n’y a pas de tête. Des gants…

Pas de papier

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