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lundi 4 août 2014

Pour une piscine « muslim-friendly »


piscine-musulmane


Le 3 août 2014

   
Le personnel de deux piscines municipales de Châlons-en-Champagne subissent depuis quelques semaines de très fortes revendications communautaires.

Le personnel de deux piscines municipales de Châlons-en-Champagne subissent depuis quelques semaines de très fortes revendications communautaires qui ont conduit à l’agression, à son domicile, d’un des agents de la sécurité (il risque de perdre un œil).
Autorisation du short pour les hommes et de la djellaba pour les femmes sont les principales demandes de la communauté musulmane dont les refus réitérés de la direction à y consentir entraînent menaces et chantage.
 Si dans toutes les piscines municipales ou d’établissements touristiques a été interdit le short de bain par mesure d’hygiène évidente, il est donc logique de refuser aux femmes le port de djellaba, de burkini ou même de survêtement.
Mais jeudi 31 juillet, un homme autoproclamé « le représentant des jeunes qui posent problème » s’est présenté dans les lieux en proposant la solution : faire quelques entorses au règlement.
 Ben, pourquoi pas ?
 Qui ne tente rien n’a rien, comme dirait l’autre !
 Et chacun a appris que les règles sont faites pour être transgressées…
La direction rapporte que « selon lui, les tensions pourraient disparaître s’il y avait un assouplissement des règles pour certains mais également si l’un des agents de sécurité pouvait être remplacé par un représentant de la communauté maghrébine choisi par eux-mêmes ».


En d’autres termes, à l’heure du vivre ensemble et de l’égalité pour tous, il faut des règles pour les uns mais pas pour les autres (short et djellaba pour musulmans et slips de bain pour les mécréants) en plus de suggérer la mise au chômage d’un employé existant.
 De mieux en mieux, le respect et la tolérance vantés de la religion de paix et d’amour !
Qui plus est, les petits arrangements qui avaient été proposés par la direction de la piscine Régis-Fermier n’ont même pas été respectés : l’autorisation d’amener une « robe propre » à montrer avant d’entrer dans la partie baignade a été passée par-dessus la jambe : les femmes, au bout d’un moment, rentreront avec leur robe de ville, laissant la propre dans les vestiaires.
S’agit-il donc de demandes communautaires ou plutôt de demandes incessantes visant à prendre le pouvoir sur les citoyens du pays d’accueil ?
Car on ne voit pas bien pourquoi leur autorisation ferait disparaître les tensions, attendu que ceux qui se revendiquent de la communauté musulmane, un jour, se sentiront ipso facto très offensés à la vue de bikinis.
Pour preuve, les propos d’une touriste musulmane dans un château-table d’hôtes tenu par M. et Mme Azzouzi (madame étant une convertie) :
« Le fait qu’on se retrouve en milieu commun (sans qu’on soit dans des endroits où il y a du tourisme tout venant, entre parenthèses), on n’est pas vraiment à l’aise », a déclaré cette femme au micro de France 24, qui n’a pas réagi à l’insulte.
Une vingtaine de jeunes, donc, pourrissent l’ambiance de la piscine Mengeotte de Châlons-en-Champagne depuis le début de l’été.
 Une minorité, mais une minorité mal agissante.
 Cette minorité – qui ne se revendique d’aucun mouvement extrémiste – fait ainsi partie de cette majorité silencieuse des musulmans, ni AQMI ni Al-Qaïda, dont on ne peut pas dire qu’elle mette du cœur à l’ouvrage dans la dénonciation de l’islam intolérant et meurtrier.
Une majorité pas si silencieuse puisqu’elle n’a de cesse d’imposer ses rites partout dans les espaces publics.
 Une majorité pour laquelle se crée un tourisme « halal compatible » ou « muslim-friendly ».
Eh bien, France 24 voit dans le développement de ces chambres d’hôtes un fantasme pour les « groupes nationalistes » mais… un marché d’avenir pour la France qui compte 6 millions de musulmans !

Les revendications islamiques de plus en plus hargneuses dans les piscines doivent aussi être un fantasme de la part du personnel et de sa direction, et leur mise en pratique représenter… l’avenir de la France ?

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