15.11.2013
Le supplétif de la dictature molle mais bien réelle, feint de ne pas voir son idéal projet de société marxiste s’écrouler devant la colère du peuple de France.
En bon stalinien, il réclame des purges, le peuple ne peut voter Front national, il faut que le peuple fasse son autocritique qu’il avoue son racisme latent et son amour pour l’économie des kolkhozes que lui Jean-Luc le dangereux parasite lui promet.
Il faut quand-même souligner que le grand défenseur de l’ouvrier n’a jamais travaillé vivant des subsides de la République tantôt syndicale ou politicienne.
Après avoir une fois de plus salué le courage du militant Méric, qui a vaillamment tenté d’attaquer par derrière un type déjà aux prises avec trois autres bolcheviks, Jean-Luc ressort le vieux refrain anti-clérical en dénonçant « la bien-pensance, catholique, apostolique et romaine » qui ont transformée une enfant de douze ans en raciste au passage de la Garde des sceaux, avec bien entendu la bénédiction des parents nazis notoires de l’UMP, plus c’est grotesque plus ça passe.
Décidément, avec de tels argumentaires, on peut se demander comment le PC à encore plus de huit cent communes sous sa coupe, exception française peut-être.
Les temps sont difficiles pour les camarades de l’internationale, qui à défaut de projet n’ont d’autre manière d’exister que l’insulte et la provocation.
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