Nous sommes un jour ordinaire en France, pays de la laïcité, des vins, des fromages et des clochers.
Je suis assise dans le bus, un bus de Seine-St-Denis à quelques centaines de mètres seulement de Paris. L’ambiance y est tellement islamo-ethnique que je me dis qu’il faut que je régurgite sur papier ce que je vois et entends.
A l’arrêt de bus déjà, j’avais vu passer des hommes en kamis, jeunes et adolescents, qui se dirigeaient avec fébrilité vers la mosquée juste à côté. Nous sommes vendredi, il est 13h20.
J’ai immortalisé la précipitation d’un gamin qui ne doit pas avoir plus de 13 ans.
Quand on se rend dans un pays étranger on a coutume de photographier tout ce qui nous paraît inhabituel, n’est-ce pas.
Monter dans un bus de Seine-St-Denis c’est se rendre en territoire étranger, passer la frontière sans passeport, se mettre dans la peau d’un clandestin solitaire en pertes de repères, à la différence que là on n’a pas la moindre envie de faire du chantage pour obtenir des papiers, on a juste envie de rentrer au pays, en France.
Au moins pour une fois ce n’est pas un islamiste à barbe tolérant que ses coreligionnaires montent sans titre de transport, puis discutant avec eux dans la langue de leur pays (qui n’est évidemment pas la France, ça va de soi).
Des voilées sont assises, les considérant comme des curiosités touristiques puisqu’elles choisissent de se comporter comme telles en n’ayant rien de français dans leur attitude, j’entre dans leur jeu et me transforme en touriste.
Et comme on se doit de le faire quand on se trouve en pays étranger, je dégaine mon téléphone pour immortaliser la population locale, pour les figer et attester de l’horreur qu’est devenu mon pays à ceux encore nombreux qui nient notre remplacement.
Si des pygmées ou des inuits débarquaient en France, tout le monde les photographierait sans se poser de question.
Là c’est exactement pareil. Après tout, s’ils ne veulent pas qu’on les remarque et qu’on les photographie, ils n’ont qu’à porter des tenues françaises puisqu’ils ont les papiers indiquant qu’ils sont français.
Quand on devient français, on accepte le package complet, pas seulement le sésame en carton qui donne tous les droits…
A droite une jolie jeune femme noire avec un voile de la même couleur s’apprête à descendre, debout une femme d’âge mûr portant une abaya avec un voile bleu clair vient s’installer sur le siège à côté de moi.
Pour ne plus les voir je détourne les yeux afin de regarder dehors et savourer le soleil. Grossière erreur, sur les trottoirs les silhouettes sont identiques, partout des voiles, des barbes, des chemises de nuit, des djellabas, des boubous. Pas de blancs, pas de robes courtes. Nous sommes pourtant en août… en France…
Il y a un vacarme pas possible dans ce bus et je réalise tout à coup que je ne comprends rien de ce qui se dit. Ce bus est bondé et pas une seule personne ne parle français ! C’est une tour de Babel sur roues.
La voilée vêtue de bleu descend. Une femme, Française de souche, avec une béquille tente de descendre, suivie d’une dame âgée qui a du mal à se mouvoir.
Elles en sont empêchées par deux femmes roms, dont une vieille femme, qui montent par l’arrière en fraudant et les poussent pour entrer, manquant de les faire tomber. Les deux passagères protestent dans le vide ne suscitant qu’une indifférence méprisante des deux Roms qui se jettent sur les sièges.
Les sons arrivent de toute part, arabe, wolof et autres dialectes inconnus.
Un Africain en kami avec une serviette de chef de tribu discute avec sa voisine en boubou, tandis qu’une énième voilée accompagnée d’une petite fille et d’un bébé dans sa poussette s’installe en poussant tout le monde.
Les autres voilées la regardent avec la bienveillance due à celle qui a bien œuvré à l’expansion de l’islam.
Elle est chargée de gros sacs et s’octroie toute la place devant la porte, telle une reine dans sa ruche.
A un arrêt je vois débouler vers la porte une huitaine de petits noirs tout seuls, sortis d’on ne sait où.
Puis le conducteur de bus descend, il a fini sa journée et cède sa place à une collègue, elle aussi issue de la diversité.
Un bus est à l’arrêt dans l’autre sens et là aussi les conducteurs se relaient. Ce sont quatre personnes originaires d’ailleurs.
Mais où sont donc passés les Français de souche ?
En ce moment ils sont plus de trois millions à faire la queue au Pôle Emploi, mis à l’écart du marché du travail à coups de pieds dans le fion et de discrimination positive pour privilégier plutôt l’embauche d’immigrés.
Si leurs remplaçants sont discriminés positivement, il faut bien que les « de souche » soient discriminés négativement… dans leur propre pays !!!
Un peu plus tard dans l’après-midi je me retrouve dans un célèbre magasin de meubles et là c’est un festival.
Des voilées enceintes, des niqabées, des rideaux de corbillard mobiles gantés de noir ne laissant apparaître que les pupilles à travers une minuscule fente.
C’est interdit, c’est illégal, c’est sexiste, c’est monstrueux, abject, contraire aux droits humains. Que fait la LDH ? Que font les associations prétendument féministes ?
Que font Badinter, Veil, Halimi, Roudy, Alonso ? Que font les garants de la loi salariés par le peuple pour la faire respecter ? Que fait la justice ? Que fait la police ?
En France la loi ne s’applique que pour les non-islamistes, elle ne s’applique pas pour ces femmes que l’Etat place de fait au-dessus des lois.
En France, la loi islamique, la charia, prime donc sur la loi républicaine.
C’est officiel puisque la police ne fait rien contre cela, que des ordres sont donnés pour qu’elle ne fasse rien. J’ai une multitude de photos pour en attester…
Oui, la charia est bel et bien devenue la référence légale en France.
Caroline Alamachère
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