Publiée le 6 mai 2013
http://fr.euronews.com/ Les suspicions d'usage d'armes chimiques en Syrie se transforment en accusations. Cette fois c'est Carla del Ponte, membre de la Commission d'enquête de l'ONU sur les violations des droits de l'homme en Syrie, qui l'affirme :
"Nous avons rassemblé des témoignages qui laissent apparaître que certaines armes chimiques ont été utilisées, en particulier du gaz innervant, et ce qui apparaît dans notre enquête c'est que ces gaz ont été utilisés par les opposants, les rebelles".
Carla del Ponte parle ainsi du gaz sarin, un puissant neurotoxique qui bloque le système nerveux et entraîne la mort par asphyxie.
Des accusations qui semblent en tous cas confirmer des éléments venus de la frontière avec la Turquie, où la semaine dernière des blessés arrivant de Syrie semblaient montrer les symptômes d'empoisennement au gaz innervant.
"Nous avons rassemblé des témoignages qui laissent apparaître que certaines armes chimiques ont été utilisées, en particulier du gaz innervant, et ce qui apparaît dans notre enquête c'est que ces gaz ont été utilisés par les opposants, les rebelles".
Carla del Ponte parle ainsi du gaz sarin, un puissant neurotoxique qui bloque le système nerveux et entraîne la mort par asphyxie.
Des accusations qui semblent en tous cas confirmer des éléments venus de la frontière avec la Turquie, où la semaine dernière des blessés arrivant de Syrie semblaient montrer les symptômes d'empoisennement au gaz innervant.
Les gouvernements sont au courant, mais quel est l'intérêt de fermer les yeux, de continuer d'accuser Bachar al-Assad et de fournir des armes aux rebelles islamiques?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.