Monsieur Hollande et ses acolytes ont beaucoup travaillé cet été pour réserver aux contribuables que nous sommes une belle rentrée, placée sous le signe d’une fiscalité plus juste, plus sociale, plus égalitaire, en un mot plus spoliatrice !
- 1 milliard d’euros : c’est ce que vient de dépenser Monsieur Hollande au début du mois d’août. Personne n’a suivi ses péripéties et pourtant elles nous ont coûté très cher !
Si 150.000 emplois de ce type sont créés, le coût pour les contribuables serait donc de 1 milliard d’euros.
- 5 milliards d’euros : c’est bien le coût total des emplois aidés.
Quant au retour sur investissement, n’en parlons pas car il n’y en a pas !
L’emploi aidé n’est pas autre chose qu’un emploi assisté qui n’a pas de pérennité, qui coûte cher et se solde par une perte financière doublée d’une perte de temps pour le jeune qui n’aura rien ou presque rien appris.
- 50 millions d’euros : c’est la facture de la « garantie-jeune » elle aussi promue par Monsieur Hollande cet été dans les banlieues.
En 2013, 100.000 jeunes devraient bénéficier de cette garantie et par la suite le dispositif s’étendra à 100.000 jeunes supplémentaires par an. Bien entendu, tout cela financé avec l’argent des contribuables.
- 300 euros de dépenses en plus par mois : c’est donc ce que coûterait le Made in France d’Arnaud Montebourg si nous achetions uniquement français.
Car soyons clair : si les produits français coûtent plus chers, c’est bien parce que le coût du travail et le coût de notre système social sont répercutés sur le prix final. C’est aussi simple que ça.
N’oublions pas qu’à chaque achat d’un produit français, nous contribuons encore et malgré nous au modèle social français.
Et la rentrée s’annonce pire, car malgré la situation de notre pays et l’épuisement évident des contribuables, Monsieur Hollande n’en démord pas :
« C’est la vocation du pouvoir politique que de définir une stratégie nationale, dans le même temps où il prend en charge les problèmes du quotidien » a-t-il déclaré lors du séminaire gouvernemental du 19 août.
Il continuera donc dans la voie tracée durant le mois d’août : celle de la dépense publique et de l’augmentation de la pression fiscale.
A nous de nous mobiliser d’urgence pour faire sentir au gouvernement la pression des contribuables et pour en finir avec ses politiques dépensières et spoliatrice.
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