6 octobre 2021
C’est la nouvelle alerte lancée par l’OMS par le biais de Maria Van Kerkhove, la responsable de la gestion de l’épidémie, lors des échanges en direct sur les réseaux sociaux. Elle tient à conscientiser tout le monde que la situation est encore dangereuse et qu’il est difficile d’évaluer à quel stade de la pandémie on est actuellement.
Autrement dit, le danger est toujours présent dans nos murs. Selon l’épidémiologiste américaine 3,1 millions nouvelles contaminations et 54.000 décès ont été enregistrés dans le monde la semaine dernière. En outre, dans plusieurs villes, les hôpitaux et les unités de soins intensifs sont encore débordés.
Aussi, Maria Van Kerkhove a largement déploré les comportements irresponsables de certaines personnes. Elles ont tendance à négliger les gestes barrières et les mesures de protection en vigueur, en croyant que le combat est déjà gagné.
En fait, cette rhétorique finit par lasser. Il s’agit du recyclage du discours de peur qui est râbaché par les origanisations internationales et les gouvernements d’un certain nombre de pays occidentaux depuis dix-huit mois.
En réalité, des modèles fabriqués par des mathématiciens américains prévoient un recul de la maladie régulier jusqu’en mars prochain et une absence de résurgence à l’hiver 2022. D’autres anticipations parlent de variants récurrents mais de moins en moins dangereux.Depuis le début d’année, les décès dus au COVID ont baissé de façon spectaculaire, tout spécialement en Europe. Alors pourquoi Maria Van Kerkhove a-t-elle souligné que le nombre de décès et de forme grave est particulièrement élevé chez les individus non vaccinés? On comprend que le discours de l’OMS est simplement de la propagande pro-vaccinale.
L’experte a dénoncé les “fausses informations” concernant les vaccins. Elle incite la population à compléter leur schéma vaccinal. Pour le moment, l’OMS continue à prétendre que le vaccin est le seul moyen de se protéger contre la Covid-19, alors que l’OMS a reconnu les effets secondaires du vaccin (ou des vaccins) contre le COVID.
Cependant, on peut constater que si le gouvernement utilisait le recours aux traitements précoces, la dangerosité du COVID diminuerait et la mortalité avec elle, très probablement.
Le cas le plus flagrant est celui de l’Inde où l’ivermectine s’est révélée bien plus efficace que les vaccins pour vaincre le variant Delta..
Evidemment, l’OMS nie farouchement cette réalité qui l’obligerait à abandonner son rôle de légitimation des politiques sanitaires coercitives
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