Joe Biden
Les thèses gauchistes ne sont pas arrivées toutes seules dans nos sociétés. Des organisations les ont financées. Aujourd’hui, les péchés du candidat démocrate.
Joe l’endormi approche de la sénilité. Plus d’une dizaine de vidéos attestent que l’homme, âgé de 78 ans, n’est plus ce qu’il était. Il y confond ses trois petits enfants entre eux. Il y appelle son fils Beau, mort il y a cinq ans. Il y explique qu’il est candidat pour un poste de sénateur et appelle son adversaire Georges Bush. On ne compte pas les fois où personne, pas même son traducteur en signes pour sourd-muet, ne comprend ce qu’il dit. Il lui arrive même de « boguer », comme un ordinateur. Plus de son ni d’image. Il confond Theresa May et Margaret Thatcher, mord la main de sa femme en train de prononcer un discours et déclare aimer le Vermont alors qu’il se trouve dans le New Hampshire. Il est tellement diminué que Nancy Pelosi, chef de la majorité démocrate au Congrès, a initié en octobre 2020 le vote d’une loi pour examiner la santé mentale de tout président élu et le destituer si besoin.
Biden n’a pas de limite familiale. Sa première épouse est décédée dans un accident de voiture en 1972, quelques jours après sa première élection au Sénat. Ses deux fils ont été blessés dans l’accident. Aux États-Unis, les sénateurs prêtent serment en arrivant à Washington. M. Biden pouvait attendre des mois s’il le fallait. Personne ne lui en aurait voulu. Il a préféré montrer qu’il ne quittait pas la chambre de ses enfants. Il a donc fait venir des caméras devant les lits de ses enfants et a prêté serment devant eux. Les ménagères ont pleuré ce qu’il fallait. Cet homme se déclare catholique, ce qui ne l’empêche pas d’être favorable au remboursement par l’État de l’infanticide prénatal. Mais il faut bien s’adapter quand on est élu du Delaware, paradis fiscal qui vient d’élire le tout premier sénateur US transsexuel.
Biden a soutenu toutes les guerres américaines. Ex-Yougoslavie, Afghanistan, Irak : il ne regrette rien. Vice-Président des États-Unis, il emmenait partout de ses deux derniers fils, qui ont reçu à l’africaine des millions de dollars de gens désireux de rencontrer leur père. Face aux preuves, le FBI a fini par ouvrir une enquête. Si Biden est élu, cette affaire va empoisonner son mandat.
Non-scalable' barrier goes up around White House before election | WDTN.com
Biden ment et triche depuis des décennies. Déjà candidat à la présidentielle en 1988, il a dû se retirer honteusement avant la fin de la primaire. Pour plusieurs discours de campagne, il avait copié mot pour mot ceux d’un travailliste anglais. Et il avait également menti sur ses résultats en école de droit, se targuant d’avoir plusieurs diplômes quand il n’en avait qu’un, et d’être sorti dans les premiers, quand il fut diplômé de justesse, au fond du classement. Pendant la campagne 2020, il a relaté une remise de décoration en Afghanistan à laquelle il n’a en réalité jamais participé, et encore qu'il a rencontré les survivants de la fusillade de Parkland avant même qu’elle n’intervienne. Mais ce sont ses changements de position sur l’industrie pétrolière, habilement utilisés par Trump pendant le 2ème débat, qui lui auront fait le plus de mal.
D.C. on Election Day: Businesses boarded up, non-scalable fencing erected at White House | WJLA
Joe Biden n’est pas l’ami des minorités. En 1994, face à un pic de criminalité liée à la drogue, il a coécrit et voté une loi destiné à durcir considérablement les mesures de répression. A cette occasion, il a appelé les noirs « super prédateurs ». Un garçon noir sur trois s’est retrouvé avec la probabilité d’un passage en prison pendant sa vie. Des internautes ont par ailleurs retrouvé des auditions de 1985 où Biden use et abuse du qualificatif « nègre ». En 2019, il a osé « les enfants pauvres sont aussi intelligents que les enfants blancs ». Naturellement, il soutient les Black Lives Matter et a attendu plusieurs semaines pour condamner leurs pillages. À Washington, les magasins ont fermé d’eux-mêmes et ont protégé leur vitrine. La Maison Blanche a dû être ceinturée par des barrières. Ce n’est pas par crainte des partisans de Trump.
Son programme est socialiste. S’il perd, comptez sur des troubles. S’il gagne, il pourrait amener la guerre civile.
Par Sylvain de Mullenheim
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