Les violences à Rennes
sont de plus en plus fréquentes, notamment dans le grand centre-ville,
devenu un terrain de jeu pour des immigrés « mineurs non accompagnés », «
mineurs isolés étrangers », « migrants », qui font régner la terreur
dans le centre-ville depuis plusieurs années déjà, sans que les
autorités ne fassent quoi que ce soit, prisonnières qu’elles sont de
lois qui protègent ces racailles.
Depuis des années que notre rédaction
alerte sur ce qu’il s’y passe, désormais, même la presse mainstream ne
peut plus se permettre de cacher les faits.
Vols, violences, rackets,
agressions en sortie de bars, trafics en tout genre, tel est le
quotidien des riverains du centre-ville et des commerçants, dont
certains sont à bout.
Ils ne sont pas les seuls.
Certaines
victimes de ces mineurs non accompagnés, majoritairement originaires du
Maghreb et d’Afrique noire, commencent à ne plus vouloir être des
victimes.
Récemment, des règlements de comptes ont opposés des Kurdes et
des Tchétchènes à des migrants qui s’étaient attaqués à leurs
communautés respectives.
Mais du côté des Bretons aussi, la colère
gronde.
Julien (NDLR : le prénom a été modifié
pour préserver son anonymat) fait partie de ces victimes.
Il ne veut
plus baisser la tête. Il est révolté.
« Je sortais d’un bar de nuit bien
connu à Rennes. J’étais ivre. Trois Noirs parlant à peine le français
m’ont demandé une cigarette, ce que j’ai refusé, le ton est monté, j’ai
pris un coup de poing, j’en ai rendu un. Un des agresseurs a cassé une
bouteille en verre et a tenté de m’égorger avec. Je me suis protégé avec
ma main, coupée elle aussi » nous dit-il.
« J’ai couru, car
j’ai senti ma dernière heure arriver. J’ai réussi à me réfugier chez un
ami. J’ai appelé la police, on m’a répondu qu’il n y avait pas de
patrouille de disponible. Je suis allé ensuite me faire recoudre à
Pontchaillou »
Julien en veut aux autorités : « Ils
ne font rien du tout contre ces types là. Tous les soirs, ils sont en
ville. Il suffirait d’arrêter tout le monde pour le bon et de les mettre
en prison ou de les renvoyer dans leur pays. Ils n’ont rien à faire là,
ils nous empoisonnent la vie ».
Ce dernier pense qu’un drame arrivera
si rien n’est fait « Il ne manque pas grand chose pour qu’un drame se
produise à Rennes à cause d’eux. Ils vont finir par tuer quelqu’un, ou
quelqu’un va finir par ne pas se laisser faire et user de son droit à la
légitime défense. Il faudrait s’organiser et obliger les autorités à
réagir. On a le droit d’être en sécurité non ? »
Aux derniers décomptes, ils seraient 41 000 sur le territoire français : «
les “mineurs non accompagnés”, dont la prise en charge d’une partie
d’entre eux coûte 2 milliards d’euros par an aux collectivités, sombrent
souvent dans la délinquance, complices de l’ensauvagement de la société » indique Valeurs actuelles.
Ou plutôt une partie de ces mineurs non accompagnés, car bon nombre
d’entre eux, dont par définition on ne connait pas le nombre, ère sur le
territoire sans vouloir se faire recenser et sans être inquiétés (ou si
peu).
« A partir du moment où des mineurs mettent pied en Europe,
les instances et lois obligent à les garder : ils deviennent des MNA en
jargon administratif. Comme ils brûlent leurs papiers d’identité, on ne
sait pas quel âge ils ont. Certains « mineurs » auraient pratiquement
trente ans…» indique Pierre Vermeren, historien des sociétés arabo-berbères contemporaines.
Tous les retours que nous avons
confirment d’ailleurs, depuis des années, les dires de cet historien.
A
Rennes, une grosse partie de ces racailles qui pourrissent la vie des
Rennais vient d’Afrique du Nord.
Ils sont arrêtés, puis relâchés.
Jamais
expulsés, très peu condamnés.
Ils se moquent ouvertement des autorités,
et la municipalité (réélue par une minorité de Rennais lors des
dernières élections en raison de l’abstention) est idéologiquement très
gênée par ce dossier de plus en plus sensible.
A Nantes, c’est la même chose depuis des années.
Une situation « Orange
Mécanique » permise parce que nos lois sont obsolètes pour gérer la
question de l’immigration, et parce que plus globalement, tout débat sur
l’immigration, l’une des priorités des Français, est interdit (quand 78% des Français réclament un référendum sur ce sujet).
La population subit finalement les
conséquences de la prise d’otage politique et idéologique orchestrée
depuis des années par les socialistes et les faux écologistes, avec la
complicité par son silence de la droite.
Des conséquences qui, dans le
concret, permettent à des milliers d’individus venus d’ailleurs (et
parfois entretenus avec nos impôts) de se livrer à des exactions dans
l’ensemble des grandes métropoles, sans jamais être inquiétés par les
autorités (ou si peu).
« La rhétorique traditionnelle de l’extrême droite » diront les nouveaux censeurs drapés des habits de « l’humanisme et du progressisme ».
Les tessons de bouteille dans la gorge comme ici à Rennes, les femmes
agressées sexuellement en bas d’immeubles (comme à Pontivy récemment),
les habitants poignardés à Bordeaux, les faits divers sordides qui se
multiplient partout, un fantasme d’extrême droite ?
Ou bien une réalité
qui va amener les citoyens à exiger que les pouvoirs publics traitent la
question rapidement et prioritairement, sous peine de devoir assurer
eux mêmes leur sécurité.
Pour rappel, la loi indique : «
est un devoir pour l’État, qui veille sur l’ensemble du territoire de
la République, à la protection des personnes, de leur biens et des
prérogatives de leur citoyenneté, à la défense de leur institution et
des intérêts nationaux, au respect des lois, au maintien de la paix et de l’ordre publics ».
Nul n’est censé ignorer la loi, pas même ceux qui ont en charge le bon fonctionnement d’un pays…
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
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