Deux poneys ont été blessés. Le responsable du refuge est parvenu à faire fuir les agresseurs. Les gendarmes ont mis au point et diffusé un portrait-robot, ce jeudi.
Alors
que des équidés sont régulièrement tués ou retrouvés gravement mutilés
depuis plusieurs mois dans toute la France, un témoignage capital vient
étoffer l’enquête en cours.
De tels faits ont été recensés en Vendée, dans le Jura, la Somme, le Rhône ou encore le Puy-de-Dôme, la Normandie et le Sud-Ouest de la France.
Cette fois, c’est dans un refuge de Charny-Orée-de-Puisaye, près d’Auxerre dans l’Yonne, que les agresseurs ont frappé.
Lundi vers 21h30, l’attention de Nicolas Demajean, bénévole et président de l’association du « Ranch de l’espoir », a été attirée par une agitation anormale et les cris de ses cochons et des chevaux, relate France 3.
En sortant pour voir ce qu’il se passait, il a surpris deux hommes armés de couteaux.
Ils étaient en train de commettre des actes de cruauté sur deux poneys.
L’un des deux suspects l’a pris à partie et un échange de coups a eu lieu. « La bagarre a éclaté dans la mini-ferme en bas, et j’ai ma chienne qui a pu poursuivre le deuxième agresseur » a-t-il témoigné auprès de de la chaîne.
Le duo s’est enfuit à bord d’un véhicule de type 4×4, abandonnant sur place Nicolas Demajean, blessé au bras gauche par un coup de serpette, et deux de ses poneys mutilés et traumatisés.
4 jours d’ITT
De tels faits ont été recensés en Vendée, dans le Jura, la Somme, le Rhône ou encore le Puy-de-Dôme, la Normandie et le Sud-Ouest de la France.
Cette fois, c’est dans un refuge de Charny-Orée-de-Puisaye, près d’Auxerre dans l’Yonne, que les agresseurs ont frappé.
Lundi vers 21h30, l’attention de Nicolas Demajean, bénévole et président de l’association du « Ranch de l’espoir », a été attirée par une agitation anormale et les cris de ses cochons et des chevaux, relate France 3.
En sortant pour voir ce qu’il se passait, il a surpris deux hommes armés de couteaux.
Ils étaient en train de commettre des actes de cruauté sur deux poneys.
L’un des deux suspects l’a pris à partie et un échange de coups a eu lieu. « La bagarre a éclaté dans la mini-ferme en bas, et j’ai ma chienne qui a pu poursuivre le deuxième agresseur » a-t-il témoigné auprès de de la chaîne.
Le duo s’est enfuit à bord d’un véhicule de type 4×4, abandonnant sur place Nicolas Demajean, blessé au bras gauche par un coup de serpette, et deux de ses poneys mutilés et traumatisés.
4 jours d’ITT
Alertés, les pompiers et les
gendarmes sont rapidement intervenus.
Ils ont pris en charge la victime, qui a été hospitalisée et s’est vu délivrer 4 jours d’Incapacité totale de travail (ITT).
Les deux poneys, Biscotte et Pony, ont été grièvement blessés par des lacérations de 25 à 50 cm.
« Il n’y a pas de mots. C’est de la barbarie, de la cruauté. Et un acte gratuit car ces animaux ne peuvent se défendre », a déclaré Nicolas Demajean, cité par Le Parisien.
Grâce
à son témoignage recueilli dès son dépôt de plainte le lendemain, les
gendarmes de la brigade de recherches d’Auxerre ont établi un
portrait-robot de l’un des deux assaillants.
Cet élément pourrait s’avérer déterminant dans l’enquête.
La piste d’une dérive sectaire étudiée
Ils ont pris en charge la victime, qui a été hospitalisée et s’est vu délivrer 4 jours d’Incapacité totale de travail (ITT).
Les deux poneys, Biscotte et Pony, ont été grièvement blessés par des lacérations de 25 à 50 cm.
« Il n’y a pas de mots. C’est de la barbarie, de la cruauté. Et un acte gratuit car ces animaux ne peuvent se défendre », a déclaré Nicolas Demajean, cité par Le Parisien.
Cet élément pourrait s’avérer déterminant dans l’enquête.
La piste d’une dérive sectaire étudiée
Dans le cadre des investigations en cours sur tout le territoire national,
les gendarmes locaux peuvent compter sur le soutien opérationnel de
leurs camarades de l’Office central de lutte contre les atteintes à
l’environnement et à la santé publique (OCLAESP), qui centralisent les
informations recueillies.
Ce jeudi, la ministre déléguée à la Citoyenneté Marlène Schiappa a annoncé que la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) allait « apporter son concours » à l’enquête.
Concernant l’enquête dans l’Yonne, toute personne en possession de renseignements qui pourraient s’avérer utiles peut contacter les gendarmes : via la page Facebook de la gendarmerie de l’Yonne.
Ce jeudi, la ministre déléguée à la Citoyenneté Marlène Schiappa a annoncé que la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) allait « apporter son concours » à l’enquête.
Concernant l’enquête dans l’Yonne, toute personne en possession de renseignements qui pourraient s’avérer utiles peut contacter les gendarmes : via la page Facebook de la gendarmerie de l’Yonne.
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