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mardi 24 mars 2020

On patauge dans la semoule


rever-de-boue-signification


La France a confié son destin à des gens, lesquels, à mesure que le temps passe s’avèrent dépassés par la situation sanitaire.

A des ordres succèdent des contre-ordres et ce qui est autorisé aujourd’hui ne le sera plus demain.
Déjà au départ, si l’on en croit certaines informations, cette épidémie aurait pu rester localisée à son point de départ, c’est-à-dire dans la province chinoise de Wuhan.
Le premier cas de Covid-19 daterait du 17 novembre, et le 15 décembre, le nombre total d’infectés, se serait élevé à 27, puis le 20 à 60.
Fin décembre, le chiffre s’élevait à 266 malades et le mal devenait exponentiel.
Or ce n’est que le 30 décembre que le premier rapport de séquençage génétique (il s’agit des mots techniques employés) de l’agent pathogène indique la découverte du coronavirus, précise l’information.
Les autorités chinoises ont donc tu cette infection, jusqu’au moment où ce n’était plus possible.
On se souvient du jeune médecin chinois qui avait déjà mis en garde les autorités médicales de la grande dangerosité de ce virus et qui d’ailleurs en est décédé.
Le Gouvernement chinois a donc, (si l’on en croit) les journalistes San You et Tom Hanckock dissimulé l’épidémie en cours, par un plan qui lui a permis d’en minimiser la gravité.
Commercialement parlant, il était préféré pour la Chine de ne porter à la connaissance du monde, le drame qui commençait à s’étendre que le plus tard possible.
Peut-être ont ils cru qu’ils allaient le juguler plus rapidement avec des moyens extrêmes.

En tout cas, ils portent quand même, une grande responsabilité dans le développement de l’épidémie, si l’on en croit ces deux investigateurs.
Mais par contre, lorsque le virus est arrivé en Europe, en Italie en l’occurrence, notre Gouvernement reste responsable du désastre sanitaire, par son impréparation et sa négligence.
M. Philippe et Mme Buzyn avaient parfaitement conscience du péril et auraient du multiplier les moyens d’action.
Pourquoi n’ont-ils rien fait ?
Comment pouvaient-ils faire passer une infection qui avait déjà tué beaucoup de monde pour une simple grippe habituelle ?
Pour le Collectif des 600 médecins qui maintenant portent plainte contre les deux principaux responsables, il fallait réagir le 30 janvier, quand l’OMS sonnait le tocsin.
Le 24 février, Mme Buzyn déclarait que le virus avait peu de chances d’arriver en France, alors qu’il flambait déjà en Italie.
Alors inconscience ou mensonge ?
Dans les deux cas, elle se montrait incapable d’assurer sa fonction !
Pour le professeur Hamon, touché par la maladie, l’Administration devra rendre des comptes : « Je veux dit-il, une Commission d’enquête pour savoir comment on a pu laisser la France sans protection ».
Nous avons été le dernier pays à fermer les frontières.
Pour ça, Macron devra j’espère rendre des comptes.
Comme si tout allait bien, 30 000 supporters italiens sont arrivés à Lyon, en pleine recrudescence de l’épidémie en Italie.
Ils ont fait croire qu’ils maîtrisaient la situation, alors que les services sanitaires manquaient de tout.
Peut-être s’est-on trop pressé pour classer ce médicament, proche de la Nivaquine comme étant vénéneux.
Après tout, en dernier recours, pourquoi ne pas l’avoir employé ?
Mais pour ces gouvernants, le danger immédiat, ce n’était pas le Covid-19, non c’était le populisme, les Gilets jaunes, « l’extrême-droite ».
Il n’y avait pas d’argent pour les masques de protection, les gants, les blouses et les matériel médical, mais il y en avait pour l’immigration.

Savez-vous combien coûte un « mineur isolé » par exemple ?
La bagatelle de 50 000 € par an pour chacun, plus de 50 000 qui sont sur le territoire.
Chaque français de condition modeste sacrifie un mois de son salaire pour entretenir des ados et des adultes qui n’ont rien à faire en France.
Et ce n’est pas tout, puisque le chiffre total de l’immigration s’élève à 130 milliards d’€uros par an.
Alors en plus de ce gouffre financier, la France est en guerre microbienne avec sur le dos de 2 500 milliards, une économie en panne et une banlieue radicalisée ou racaillisée qui refuse toute mesure contraignante et  de protection contre cette pandémie.
Dans ces conditions, nous ne sommes encore pas sortis de l’auberge !
Onyx

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