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jeudi 23 novembre 2017

Rennes. Immigration, islamisme et « White flight » progressif dans le quartier du Blosne

 
 
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23/11/2017 – 07h00 Rennes (Breizh-info.com) – 


Le quartier du Blosne à Rennes ne souffre pas – comme de nombreux quartiers en périphérie des centres ville bretons – d’une bonne réputation.

Trafics de stupéfiants, incendies, délinquance organisée, islamisme, tels sont les maux que vivent, au quotidien, les habitants de ce quartier.
Dans le silence.
Ou pas, comme a décidé de le faire cet habitant du quartier, entendant dénoncer l’omerta qui y règne.
Pour des raisons évidentes de sécurité, nous avons tenu à préserver son anonymat.
Nous l’appellerons donc Hervé.
 
Breizh-info.com : Depuis quand habitez vous au Blosne ?
 
Hervé : Je suis né à Rennes dans les années 70, j’y ai été élevé, et tout le temps domicilié dans cette ville (ou presque) ces 40 dernières années.
J’habite au Blosne depuis l’automne 2005, automne des émeutes …
 
Breizh-info.com : Avez vous constaté des évolutions ces dernières années ? Si oui dans quel sens ?
 
Hervé : J’ai constaté une islamisation galopante du quartier ( 20.000 habitants sur quelques km2 ) depuis une grosse demi-douzaine d’années à la louche.
Avec un islam radical de plus en plus ostentatoire, et visible dans la rue.
Cela concordait par ailleurs avec l’augmentation des arrivées d’immigrés d’Afrique noire, mais aussi de populations turques, kurdes, albanophones, « caucasiennes », le tout en fonction des soubresauts géopolitiques.
Par ailleurs, les trafics de stupéfiants y sont de plus en plus visibles .
L’incendie y devient une tradition folklorique microlocale : des voitures ont été incendiées dans le parking de mon immeuble dans la nuit d’Halloween.
Une quarantaine rien que dans le courant du mois d’août.
Qui s’en souvient encore en dehors du quartier ?
En respectant les proportions, quel aurait été l’écho national si 20 bagnoles avaient flambé à Dinard en un seul mois ?
Le problème par ailleurs est le monopole de l’activité éducative , sociale et culturelle dans les mains d’associations gauchistes immigrationnistes animées par des individus n’ayant aucune légitimité dans un quartier où ils ne sont présents qu’aux heures de bureau et où ils n’ont jamais vécu .
Cette réalité est également celle d’autres quartiers rennais ( Bréquigny, Maurepas … ) .
 
Breizh-info.com : Et plus globalement, quelle atmosphère à Rennes, ville citée pour être l’une des villes où il y ferait le plus bon vivre ?
 
Hervé : Ce fut le cas dans l’hypercentre et les quartiers résidentiels bourgeois.
Il semblerait toutefois que les Charlies de Boboland reviennent sur leurs certitudes depuis l’arrivée des « mineurs étrangers » ces dernières années .
Dans nos « quartiers périphériques populaires », cela fait longtemps que l’atmosphère est suffisamment pesante pour que ceux qui ont les moyens de partir le fassent ; le fameux « white flight » y est une réalité .
 
Breizh-info.com : Comment pouvez vous dire qu’il y a un white flight ? Quels chiffres  ou preuves ?
 
Hervé : Je n’ai pas de statistiques.
J’ai observé sur le terrain durant toutes ces années.
Ne restent dans ma cage d’escalier, douze ans après mon arrivée, que les plus vieux ( souvent isolés socialement ) , les allocataires de minima sociaux, ceux qui voient poindre la retraite à court terme ( et retourneront dans leur commune d’origine ) et les populations extra européennes.
Les locataires qui arrivent sont quasi systématiquement extra européens.
On les retrouve dans tous les immeubles du parc HLM qui constituent la très grande majorité des logements du quartier ) .
Les familles avec enfants en âge d’aller à l’école sont les premières à partir : qui voudrait élever ses gosses au Blosne ?
Certainement pas les gauchistes de l’Éducation nationale ou du secteur socio-culturel ( les plus prompts à pratiquer les « stratégies d’évitement » ) …
Les commerces traditionnels sont repris par des commerçants communautaires et les boucheries halal qui étaient absentes il y a encore dix ans seront bientôt les seules du quartier .
 
Breizh-info.com : Quelles responsabilités portent les politiques ?
 
Hervé : L’entière responsabilité, pleinement partagée avec leurs électeurs.
Lorsque l’on refuse d’entendre,  pendant des années et des décennies, que l’immigration pourrit, de manière exponentielle, la vie des « toubabs » qui la côtoient, cela veut dire que l’on se réjouit de pourrir, par procuration, la vie des classes populaires endogènes citadines …
Malheureusement, une majorité des « Gaulois » dans nos quartiers espère encore ménager leurs intérêts en votant « utile » ( chrétiens démocrates avant-hier, socialos hier, macronie ce matin … ) ; dans notre circonscription, une chaise estampillée LREM aurait été élue député … la macronie a décidé que ce devait être Mustapha Laabid .
 
Breizh-info.com : Vous évoquez La République en marche, mais pas du tout le PS, aux manettes depuis des décennies, pourquoi ?
 
Hervé : Je ne fais aucune différence entre les macronistes et le PS au gouvernail municipal depuis 1977 ! 
Le député LREM de la circonscription, Mustapha Laabid, a pour attachée parlementaire Hind Saoud : une adhérente du PS qui était, il y encore quelques mois, conseillère municipale déléguée à la « médiation et prévention de la délinquance »  à la mairie de Rennes et est toujours conseillère régionale PS …
 
Breizh-info.com : Quelles seraient les mesures à prendre selon vous pour endiguer les phénomènes que vous dénoncez ?
 
Hervé : Je n’ai plus aucune confiance dans le processus électoral, même si je vote FN, résigné. Seules des mesures radicales, et donc douloureuses, auraient permises  il y a longtemps déjà à nos quartiers de recouvrer un caractère français .
Nos concitoyens ont préféré continuer à se mentir et à se gargariser du niais prêchi-prêcha immigrationniste : ceux qui, hier encore, se croyaient irrémédiablement du bon côté de la ligne de démarcation vont morfler également dans les années à venir.
Je m’en réjouirais presque, en souvenir de cette zélée fonctionnaire de la mairie – une rurale à la limite de la caricature – qui, dans le cadre d’un recrutement d’agent de médiation, me convoqua et me demanda si j’étais « néonazi » ( sic ) car les apparatchiks municipaux avaient en mémoire que j’avais distribué… des tracts du FN … cinq ans plus tôt !
Tant que les gauchistes seront en capacité de pourrir la vie des patriotes au quotidien, je ne vois pas de lueur d’espoir poindre à l’horizon .
Les « chances pour la France » le disent et le répètent : ils sont « dans la place » ; ils seront bientôt dans le lit de Bécassine à Penfoët-la-Galette : après les discours lénifiants sur le « vivre ensemble », place aux exercices pratiques .
 
Propos recueillis par Yann Vallerie
 
Crédit photo :DR
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