La ville de Beaumont-sur-Oise est plongée dans le chaos depuis la mort d’Adama Traoré.
Plus précisément, le quartier Boyenval semble bien être en pleine partition.
Des milices ont remplacé la police et même les pompiers sont chassés par les habitants qui éteignent eux-mêmes les incendies qu’ils allument.
80% des gendarmes ont demandé leur mutation
Selon Le Monde, pas moins de 80% des gendarmes à Beaumont-sur-Oise ont demandé leur mutation.
De grands renforts ont été déployés et ce sont jusqu’à 170 hommes qui quadrillent la ville pendant la nuit.
Toutefois, la présence est moins forte dans le quartier de la famille Traoré.
À Boyenval, c’est le clan malien qui bat le pavé.
Le délinquant décédé est en effet issu d’une gigantesque famille de musulmans polygames : ils sont 17 enfants officiels, tous basés dans leur ghetto.
Un père pour quatre mères.
On peut imaginer que ce noyau n’est que le coeur de la famille Traoré : le quartier doit être infesté de cousins en tout genre.
Cet aspect tribal explique comment la situation a pu devenir si incontrôlable : des dizaines voire des centaines d’habitants sont liés à Adama par le sang.
En conséquence, ces spécimens mécontents de la justice française ont chassé les représentants de l’État hors de leur quartier.
Les gendarmes évitent au maximum de patrouiller dans Boyenval.
Tout au plus le traversent-ils rapidement en fourgonnette.
La sécurité des habitants est désormais assurée par des milices d’Africains.
Gilets jaunes sur le dos et lampe à la main, ils sillonnent en duo ou en trio les rues et les parkings autour des résidences et des maisonnettes pour aller à la rencontre des jeunes. « On leur explique que rien de tout ça ne nous aide. (…) Un rôle de grand frère ? « Non, mais celui d’amis qui ne veut pas les laisser faire n’importe quoi. »
Un ami qui vous veut du bien…
Le journaliste joue sur les mots mais il s’agit bien de brigade civiles, du même type que celles que l’on trouve en Afrique, dans les pays instables et dont l’État frôle l’implosion.
Devant l’épicerie du quartier, Samba Traoré pose un Thermos de café sur un petit plot, enfile un gilet jaune fluo et attrape une lampe torche. Dès le 24 novembre, il a constitué une équipe de médiateurs volontaires chargés de faire des rondes, tous les soirs, de 20 heures à 2 heures, histoire de s’assurer qu’aucun jeune ne traîne dans les rues.
Samba n’est autre que l’un des multiples frères du délinquant décédé…
On est vraiment dans une logique tribale.
Précisons que si les Traoré maintenaient vraiment l’ordre, les gendarmes n’auraient pas eu besoin d’en jeter deux en prison, courant novembre.
Alors maintenant, leur sécurité, ils préfèrent la confier à des jeunes de Beaumont qui font des rondes le soir, ils ont même collé des affiches dans les halls d’immeubles avec un numéro d’urgence à appeler en cas de problème.
En réaction, la gendarmerie a dû préciser que c’était « aux limites de la légalité », ce qui est un euphémisme pour minimiser leur faillite.
Dans les faits, des groupes d’hommes d’origine africaine distribuent leur numéro de téléphone « en cas de problème » et se substituent à la police : ambiance Bamako.
Tout cela va plus loin : même les pompiers n’interviennent plus dans Boyenval, le « quartier Traoré ».
Ce soir-là, les gendarmes et les pompiers sont intervenus très tard. Craignant d’être « caillassés », ils ont laissé aux habitants le soin d’éteindre le feu, seuls, pendant près de deux heures, avec des seaux d’eau.
Les habitants du quartier sont donc livrés à eux-mêmes et abandonnés : l’État français a démissionné, même lorsqu’un bus brûle.
Moins l’État intervient, moins il peut intervenir et plus les habitants sont mécontents : c’est par ce cercle vicieux que se profile la partition.
Philippe de Villiers passe toujours pour un paranoïaque et les médias tournent en ridicule chacune de ses prédictions.
En 2006, la France entière lui a ri au nez parce qu’il dénonçait l’islamisation de Roissy et de ses mosquées souterraines.
Pourtant, la suite lui a donné raison.
Le 05/12/2016
Dans son dernier ouvrage et au cours de ses apparitions médiatiques récentes, Philippe de Villiers a évoqué un plan de partition : dans un futur hypothétique, l’État français finirait par céder des bouts de territoires aux musulmans qui pourraient ainsi vivre en vase clos, en se mariant entre cousins comme ils l’ont toujours fait.
La presse a été interloquée par ces révélations.
Le journal Libération a ainsi consacré deux articles en quelques jours à peine, pour soi-disant démonter les argument de Villiers.
Le point crucial est l’évocation du risque de partition dans le livre de révélations de François Hollande.
Selon Libération, Hollande évoque une partition entre Français de base, Français « des quartiers » et Français FN.
Le journaliste confident du président est même appelé à la rescousse pour expliquer qu’il ne s’agit : «pas une partition ethnique ni encore moins territoriale».
Bah voyons : les ghettos des quartiers ne sont pas ethniques, c’est bien connu.
Et les banlieues, ce n’est pas territorial non plus ?
Au-delà des professions de foi de Libé qui insultent et diffament Villiers sur des dizaines de paragraphes, il est plus simple de poser une question claire : la situation à Beaumont-sur-Oise ne préfigure-t-elle pas ce risque de partition ?
Des milices qui quadrillent un quartier où les gendarmes et les pompiers ne vont plus, suite à la mort d’un délinquant qui avait pris la fuite deux fois de suite, cela n’est-il pas une partition ?
L’aspect religieux est bel et bien là : le père polygame avec ses 17 enfants nous le rappelle.
Ce sont des musulmans.
Conclusion : la partition est déjà là, sous nos yeux dans un endroit particulier et ces endroits vont se multiplier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.