Le 06/06/2015
Faut-il rappeler à notre président de la République que la normalité n’est pas incompatible avec une bonne tenue vestimentaire ?
Faut-il rappeler à notre président de la République que la normalité n’est pas incompatible avec une bonne tenue vestimentaire ?
Il en va d’une forme de respect, mot très usité dans « le camp du bien », envers sa fonction, ses administrés et ses illustres hôtes.
Sa Majesté Normal Ier, sur le perron de l’Élysée à l’occasion du dîner d’État en l’honneur du roi et de la reine d’Espagne, est un affront au bon goût français.
Engoncé dans une veste froissée qui souligne maladroitement son embonpoint, le prince de Tulle en aura préalablement fermé tous les boutons, contrevenant aux règles élémentaires de style.
Le pantalon, mal ajusté, tire-bouchonne dans mille plis.
La cravate noire, plus adaptée à une mise en bière qu’à un dîner d’État, dénote une volonté d’enterrer définitivement l’élégance masculine.
Enfin, l’absence de boutons de manchette sonne le glas du bon goût.
Le contraste est saisissant entre le très distingué descendant de Louis XIV et l’ex-marquis de Solférino qui incarne plus un représentant de commerce après deux jours de séminaire arrosé que le chef de la 6e puissance mondiale.
Deux options viennent à l’esprit au regard de ce tableau raté.
En formulant une première hypothèse, la stratégie de l’impétrant, allergique au smoking en pareille circonstance, consisterait à un certain « laisser-aller » vestimentaire socialo-écolo compatible, à l’image d’une Cécile Duflot en jean sur la photo officielle du gouvernement Zayrault 1.
Mais l’hypothèse la plus probable est que notre triste sire, aveuglé par son autosatisfaction, ne trouve personne parmi la trentaine de conseillers composant son cabinet de courtisan pour lui faire remarquer que sa tenue négligée est insulte au protocole.
Son service de communication, le nez dans les réseaux sociaux, est donc incapable de corriger des éléments aussi basiques que la garde-robe présidentielle ?
Manque de professionnalisme ou nihilisme vestimentaire ?
Cela laisse songeur…
Anecdotique, direz-vous, certes, mais anecdote à l’image de cette politique brouillonne et négligée que le Président casqué inflige à la France depuis trois ans.
Il en va d’une forme de respect, mot très usité dans « le camp du bien », envers sa fonction, ses administrés et ses illustres hôtes.
Sa Majesté Normal Ier, sur le perron de l’Élysée à l’occasion du dîner d’État en l’honneur du roi et de la reine d’Espagne, est un affront au bon goût français.
Engoncé dans une veste froissée qui souligne maladroitement son embonpoint, le prince de Tulle en aura préalablement fermé tous les boutons, contrevenant aux règles élémentaires de style.
Le pantalon, mal ajusté, tire-bouchonne dans mille plis.
La cravate noire, plus adaptée à une mise en bière qu’à un dîner d’État, dénote une volonté d’enterrer définitivement l’élégance masculine.
Enfin, l’absence de boutons de manchette sonne le glas du bon goût.
Le contraste est saisissant entre le très distingué descendant de Louis XIV et l’ex-marquis de Solférino qui incarne plus un représentant de commerce après deux jours de séminaire arrosé que le chef de la 6e puissance mondiale.
Deux options viennent à l’esprit au regard de ce tableau raté.
En formulant une première hypothèse, la stratégie de l’impétrant, allergique au smoking en pareille circonstance, consisterait à un certain « laisser-aller » vestimentaire socialo-écolo compatible, à l’image d’une Cécile Duflot en jean sur la photo officielle du gouvernement Zayrault 1.
Mais l’hypothèse la plus probable est que notre triste sire, aveuglé par son autosatisfaction, ne trouve personne parmi la trentaine de conseillers composant son cabinet de courtisan pour lui faire remarquer que sa tenue négligée est insulte au protocole.
Son service de communication, le nez dans les réseaux sociaux, est donc incapable de corriger des éléments aussi basiques que la garde-robe présidentielle ?
Manque de professionnalisme ou nihilisme vestimentaire ?
Cela laisse songeur…
Anecdotique, direz-vous, certes, mais anecdote à l’image de cette politique brouillonne et négligée que le Président casqué inflige à la France depuis trois ans.
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