Le 08/03/2015
La mixité sociale est possible, si elle n’implique pas une mixité ethnique car les communautarismes ont été trop longtemps acceptés.
Deux mois après les attentats et le déclenchement de Vipirate Alerte Attentat à Paris et Nice, les forces de l’ordre et les 10.000 soldats de nos armées qui doivent se relayer devant les sites choisis sensibles par nos élus, n’en peuvent plus et police et gendarmerie sont épuisées.
Les défauts de vigilance risquent de se multiplier et le risque d’accident lié aux armes augmente.
Les syndicats de police proposent de sous-traiter la mission à des sociétés de sécurité.
Nonobstant le coût et le bien fondé discutable de ce plan, qui n’assure la sécurité que d’une partie choisie de la population et non de tous ses citoyens, cela semble indiquer que l’État ne serait pas en mesure d’assurer notre sécurité sur du long terme.
Ne faut-il pas enfin songer à une sécurité plus agressive, assorti d’une politique pénale qui arrête de permettre à des délinquants de récidiver aussitôt qu’ils ont été relâchés ?
Ne faut-il pas enfin parler d’éradication des islamo-terroristes avec des mesures qui permettent de couper la délinquance des recruteurs ou propagandistes ?
En deux mois, avec les mêmes effectifs, combien de cités auraient pu être fouillées et réinvesties par le droit républicain avec une mission claire de soutien de la police par nos militaires.
Le 11 janvier aurait pu permettre cela avec un assentiment général.
Les déclarations fracassantes de notre Premier ministre, ovationnées par l’assemblée, ont évité tout débat sur le « quoi faire ».
Pire, elles continuent à nous expliquer que la prévention est possible sans répression, pendant que notre Garde des Sceaux insulte un député parce qu’il affirme qu’elle fait le lit du FN par la politique pénale, pendant que le général numéro 3 de la gendarmerie est placardisé après son audition par la commission de l’Assemblée sur la délinquance, parce qu’il a osé dire que le nombre de délinquants a très peu augmenté mais que le nombre de délits ne cesse de croître parce que les coupables sont libres dès leur arrestation ?
La mixité sociale est possible, si elle n’implique pas une mixité ethnique car les communautarismes ont été trop longtemps acceptés.
Le travail doit se faire en étapes, intégration puis mixité, au risque de créer autant de Sarajevo et de Mostar qu’en 1992 -1993 en Bosnie et Herzégovine et dont le bilan est éloquent : tous les couples multiconfessionnels ont dû émigrer, les familles homogènes culturellement se battre dans leur cage d’escalier ou fuir vers des zones homogènes.
Un État en déliquescence et affaibli, des communautarismes inconciliables et une volonté de mettre la tête dans le trou et d’appliquer des mesures de compromis.
La guerre civile est pour bientôt.
Les Bisounours pyromanes vont-ils enfin réaliser cela et en parler ouvertement ?
Le seul moyen d’éviter le racisme est d’accueillir des gens en les amenant à abandonner les traits de leurs communautarismes incompatibles avec nos choix de société.
Cela se fait avec fermeté et intransigeance.
La paix a un prix.
Les défauts de vigilance risquent de se multiplier et le risque d’accident lié aux armes augmente.
Les syndicats de police proposent de sous-traiter la mission à des sociétés de sécurité.
Nonobstant le coût et le bien fondé discutable de ce plan, qui n’assure la sécurité que d’une partie choisie de la population et non de tous ses citoyens, cela semble indiquer que l’État ne serait pas en mesure d’assurer notre sécurité sur du long terme.
Ne faut-il pas enfin songer à une sécurité plus agressive, assorti d’une politique pénale qui arrête de permettre à des délinquants de récidiver aussitôt qu’ils ont été relâchés ?
Ne faut-il pas enfin parler d’éradication des islamo-terroristes avec des mesures qui permettent de couper la délinquance des recruteurs ou propagandistes ?
En deux mois, avec les mêmes effectifs, combien de cités auraient pu être fouillées et réinvesties par le droit républicain avec une mission claire de soutien de la police par nos militaires.
Le 11 janvier aurait pu permettre cela avec un assentiment général.
Les déclarations fracassantes de notre Premier ministre, ovationnées par l’assemblée, ont évité tout débat sur le « quoi faire ».
Pire, elles continuent à nous expliquer que la prévention est possible sans répression, pendant que notre Garde des Sceaux insulte un député parce qu’il affirme qu’elle fait le lit du FN par la politique pénale, pendant que le général numéro 3 de la gendarmerie est placardisé après son audition par la commission de l’Assemblée sur la délinquance, parce qu’il a osé dire que le nombre de délinquants a très peu augmenté mais que le nombre de délits ne cesse de croître parce que les coupables sont libres dès leur arrestation ?
La mixité sociale est possible, si elle n’implique pas une mixité ethnique car les communautarismes ont été trop longtemps acceptés.
Le travail doit se faire en étapes, intégration puis mixité, au risque de créer autant de Sarajevo et de Mostar qu’en 1992 -1993 en Bosnie et Herzégovine et dont le bilan est éloquent : tous les couples multiconfessionnels ont dû émigrer, les familles homogènes culturellement se battre dans leur cage d’escalier ou fuir vers des zones homogènes.
Un État en déliquescence et affaibli, des communautarismes inconciliables et une volonté de mettre la tête dans le trou et d’appliquer des mesures de compromis.
La guerre civile est pour bientôt.
Les Bisounours pyromanes vont-ils enfin réaliser cela et en parler ouvertement ?
Le seul moyen d’éviter le racisme est d’accueillir des gens en les amenant à abandonner les traits de leurs communautarismes incompatibles avec nos choix de société.
Cela se fait avec fermeté et intransigeance.
La paix a un prix.
Nous sommes en cours de guerre civile et personne ne se rend compte ..
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